Week-end de feu
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Je m’appelle Flavio, suis âgé de vingt ans, mesure un mètre quatre-vingt-dix pour un poids de quatre-vingt-cinq kilogrammes. Mes cheveux châtain clair, mes yeux verts, séduisent les femmes, surtout celles de trente à quarante ans que je préfère.
Je suis au bar du Corso Sempione lorsque mon portable vibre. D’un signe je préviens le barman que je sors, afin qu’il diffère mon caffè ristretto.
J’appuie sur le bouton de réponse, annonce :
— Flavio, j’écoute.
— Où es-tu ?
C’est la voix de mon employeur.
— Au bar…
— Ne traîne pas ! Carla t’attend à Palermo. Tu décolles de Linate à 13h15. Elle t’accueillera à Punta Raisi à 14h50. Un billet en première t’attend à ton nom au comptoir d’Alitalia. Des questions ?
Je consulte machinalement mon chronomètre : ouf ! Il est tout juste 11h.
— Aucune.
— Bon voyage !
Je vais couper quand j’entends sa voix :
— Hep !
— Quoi ?
— Elle te veut à poil sous le pantalon de cuir qu’elle t’a offert lors de votre dernière rencontre.
Il coupe la communication.
Je rentre dans le bar, prends le temps de boire mon caffè…
L’aéroport de Palermo est un des plus dangereux du monde. Le pilote de l’Airbus A 320 s’y pose tout en douceur.
A cette période de l’année, il ne fait pas trop chaud dans l’île. Mon voisin de vol, certainement séduit par mon allure et aussi ce cuir qui me moule, a tenté de me draguer, mais je ne l’ai pas encouragé, même si je suis bisexuel.
Carla, une femme de trente-cinq ans, blonde aux durs yeux verts, est bien présente, très féminine avec sa jupe de cuir blanche. Un sourire éclaire son visage en constatant que j’ai respecté la tenue imposée.
Bien qu’elle m’arrive à peine à l’épaule, elle prend mon visage entre ses deux fines mains, m’embrasse à pleine bouche, mêlant sa langue à la mienne en un ardent baiser. Puis elle me dit :
— As-tu déjeuné dans l’avion ?
— Oui.
— Tsss… N’oublies-tu pas quelque chose ?
— Oh oui ! (Merde ! C’est vrai) Maîtresse.
— Je préfère. Ton derrière payera la note tout à l’heure, bien sûr…
Un grand sourire éclaire son visage, elle ajoute :
— … En te voyant avec ton cuir, j’ai cru ne pas avoir de motif pour te fesser. C’était sans compter sur toi.
Nous rejoignons le parking où l’attend sa limousine Mercédès, climatisée, avec Piero, le chauffeur qui la suit partout. Carla possède quatre limousines : une à Milano, une à Firenze, une à Roma et celle-ci qui reste en Sicile. Une pour chacune des succursales de sa société de mode. Elle seule l’utilise.
Tout l’intérieur est en cuir noir : revêtement des sièges, capitonnage.
Piero lui ouvre la porte arrière, Carla s’y engouffre et alors que je vais contourner le véhicule pour prendre place à côté du chauffeur, elle commande :
— Flavio, viens avec moi derrière.
Cette fois, je ne manque pas :
— Oui, Maîtresse !
Piero ferme la portière dans mon dos.
Je n’ai pas le temps de m’asseoir sur la banquette parallèle à celle de Carla : elle m’attire par un bras, m’enlace fougueusement. Je réponds à son ardent baiser. Une de ses mains passe sous la ceinture de mon pantalon de cuir moulant, s’insinue vers mon derrière nu.
Tout en m’embrassant, Carla me pelote les fesses.
Notre baiser se prolonge, alors que la main quitte mon cul, passe sur le devant, décroche la ceinture, baisse mon pantalon.
Je bande ferme sous ce double assaut linguale et manuel.
Carla délaisse ma bouche, me bascule sur ses cuisses, je me retrouve à plat ventre sur sa jupe de cuir. Elle appuie sur le bouton de l’interphone qui la relie au chauffeur :
— Ne te presse pas, Piero. Je dois fesser Flavio avant notre arrivée à la succursale.
— Bien, Madame.
Sans préavis, la fine main de Carla claque à toute volée ma paire de fesses largement étalée sans défense sur la jupe de cuir.
Le bruit de la claque résonne lugubrement dans le silence ouaté de la Mercédès capitonnée.
Sous la violente smaquée, mon globe s’écrase et se marbre, j’en suis sûr, de l’empreinte des cinq doigts fins.
Une seconde, une troisième, puis d’autres gifles s’abattent sur mes belles fesses musclées.
Je me crispe de souffrance tant l’impact de la main de Carla sur ma peau est forte, puissante, douloureuse, brûlante aussi.
J’exhale ma souffrance en criant :
— Nooooooon... Maîtresse !... Aaaaaaaye !.... Pas la fesssssssée !... S’il vous plaît !...
Sous l’avalanche des claques distribuée par cette terrible main féminine, je projette littéralement mon cul en l’air, avec mes fesses qui s’ouvrent comme si elles veulent aspirer l’air climatisé de la limousine.
Ce n’est pas la première fois que Carla me fesse, mais je suis surpris à chaque fois de la puissance des claques données par sa main qui semble si fine, si peu capable de donner des gifles avec une telle force.
Je me contorsionne sur les cuisses de ma fesseuse.
En vain.
Ma Maîtresse me ceinture solidement, continue de me fesser, sans hâte, sans faiblir la cadence, ni la force d’impact de ses claques.
J’ai beau crier, supplier ma fesseuse, rien n’y fait :
— Asssssssez…. Maîtresse !... Pluuuuuuus… La fesssssssée !... S’il vous plaît !... Vous me faîtes trooooooop… Maaaaaaal !...
Alors que toujours implacable, la fine main continue de percuter mes tendres fesses avec la force et le claquement d’un battoir de chair et d’os, Maîtresse Carla dit :
— Je sais, Flavio, que tu n’aimes pas quand je fesse ton beau derrière. Néanmoins, c’est la seule façon de te rappeler qu’en toutes circonstances JE DECIDE et dirige notre couple. Rien de tel qu’une bonne fessée sur ton cul nu pour te le rappeler…
Pleurant, braillant, je remue mes jambes en tous sens, rue, pédale dans le vide, comme un véritable jeune étalon fougueux.
Maîtresse Clara termine par :
— As-tu bien compris ce que je viens de te dire,
— Ouiiiiiii… Maîtresse !...
— En es-tu bien sûr ?
— Ouiiiiiii… Maîtresse !
J’ajoute toutes les promesses possibles et inimaginables, supplie mon bourreau de cesser cette horrible et terrible fessée :
— Pitiiiiiiié… Maîtresse !... Arrrrrrrêtez… La fesssssssée !... Je vous en suppliiiiiiie !...
Cette fois la fessée s’arrête.
Maîtresse Carla ne me lâche pas pour autant, approche sa main tiède de mon visage vers ma bouche :
— Embrasse cette main qui vient de claquer ton derrière !
Malgré mon envie de la mordre, je me retiens et pose mes lèvres sur la paume chaude.
Maîtresse Carla retire sa main, caresse mon cul chaud bouillant, puis, appuyant sur le bouton de l’interphone, commande :
— Piero, tu peux allez vers la succursale, Flavio a pris sa fessée.
Elle coupe la transmission, me dit :
— Rhabille-toi ! LIRE LA SUITE
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