Virginie - espionne pour la CIA
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Après avoir crashé mon bâillon, je finis par dormir quelques heures nue enchaînée en hogtied couchée sur le ventre. Je me réveillai entre 6 h et 7 h du matin. Pour éviter les crampes, je réussis à me tourner sur le dos ce qui m’obligea à maintenir mes jambes très écartées. La première personne qui entrerait dans ma suite aurait une vue imprenable sur ma chatte et mes seins irrités et rougis après avoir été couchés plusieurs heures sur la moquette. Je commençais à trouver le temps long lorsque j’entendis quelqu’un frapper à la porte. La porte s’ouvrit et une employée de l’hôtel entra. Vêtue d’un uniforme de l’hôtel, elle me regarda puis dans un mauvais français me dit :
– Ma pauvre. Tu as dû t’ennuyer cette nuit attachée comme cela.…
Si j’ai toujours su jouer avec les hommes pour arriver à mes fins, j’ai par contre horreur d’être touchée par une femme, c’est une chose que je ne supporte pas. Ce matin-là, je fus bien obligée de subir les attouchements d’une femme : l’employée d’hôtel me massa pendant plusieurs minutes la vulve tout en faisant des mouvements tournants sur mon clitoris. J’avais beau bouger dans tous les sens pour essayer de me soustraire à ces attouchements intimes, mais mes chaînes limitaient fortement mes mouvements et je fus incapable de résister à la montée du plaisir. Juste avant l’orgasme cette salope de femme de chambre pinça fortement mon sein gauche et mon clitoris. La douleur aussi subite qu’intense stoppa net la montée de l’orgasme. Sans dire un mot, la femme de chambre prit mon string qui traînait par terre et l’utilisa pour sécher mon vagin humide. Elle l’essuya sur mon visage, l’inséra dans ma bouche puis partit en ajoutant que la chambre devait être libérée à 11 h. Je me trouvai à nouveau bâillonnée de la façon la plus humiliante que l’on puisse imaginer.
Le colonel Abdirad vint me libérer vers 9 h du matin. J’étais nue, bâillonnée et enchaînée depuis le milieu de la nuit et j’en avais vraiment marre : plus tard en prison, je devais réaliser qu’être enchaînée pendant une journée est une chose normale. Nous mangeâmes le breakfast à l’hôtel sur une terrasse avec une vue magnifique sur le lac et le jet d’eau de Genève. Habillée avec jupe et tailleur (mais sans aucun sous-vêtement), j’avais un look de femme d’affaires sexy. C’est lors de ce repas que le contrat d’esclavage sexuel pour une période de trois mois fut discuté. Le colonel signa le contrat (où il était clairement précisé que je ne faisais pas de fellation) et effectua un virement de 200 000 $ sur mon compte privé dans une banque suisse. La mission semblait se dérouler comme prévu. J’étais confiante et satisfaite : une fois de plus, utiliser le charme pour tromper un homme semblait être une chose facile.
Avant de quitter la terrasse, je voulus me venger de la femme de chambre. Je demandai au serveur de l’appeler pour que je puisse lui remettre un pourboire en main propre (en fait, je voulais lui jeter mon café à la figure et profiter de sa stupeur pour la gifler en public). Le serveur revint quelques minutes après ma demande :
– Mademoiselle, aucune employée de notre hôtel n’est passée dans votre suite depuis hier soir.
Étonnée, je crus Abdirad qui dit d’un air désinvolte : hélas même en Suisse les systèmes informatiques ne sont jamais à jour, dommage pour cette employée. Avec plus d’expérience, j’aurais dû comprendre que quelque chose d’anormal se passait dans le déroulement de ma mission.
Nous partîmes pour l’aéroport de Genève vers midi. Mon seul bagage était une valise Samsonite contenant plusieurs sous-vêtements de call-girl (mini jupes, strings, lingerie, porte-jarretelles, soutien gorges sexy) et des équipements pour des jeux SM (menottes, pinces à seins, gode). Comme demandé par Abdirad, je troquai mes habits de femme d’affaires pour des habits d’escort girl de la jet set : bas nylons noirs avec coutures apparentes, mini-jupe au ras de ma chatte en cuir noir avec une fermeture éclair sur le ventre (un appel au viol) et un top blanc avec un profond décolleté mettant très en valeur mes seins en forme de poire. Toujours pas de petite culotte (depuis ce jour et pour les quatre prochaines années, je ne fus plus jamais autorisée à porter des sous-vêtements). Je fis remarquer à Abdirat que, dans cette tenue, l’immigration dans son pays pourrait être problématique. LIRE LA SUITE
Partie 3 : Interrogée par les services secret du colonel
Partie 4 : Le procès de Virginie
Partie 5 : 4 ans de centre d’éducation pour femmes débauchées
Partie 6 : Transfert aux USA
Partie 7 : 6 ans de pénitencier en Floride
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