La soumission de Laure

lundi 4 mai 2015
par  Franck
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Je m’appelle Laure, j’ai 24 ans, blonde, 1,68 / 52 kilos.
Tout à commencé par un jour ensoleillé du mois de juin. Delphine m’a appelé en fin de matinée pour me convier à une sortie shopping.
— Il fait chaud, fais-moi le plaisir de t’habiller en conséquence.
Elle passera me prendre à 14h00.
A peine arrivée, Delphine me fit immédiatement des reproches sur ma tenue vestimentaire, je portais un pantalon léger en toile et un caraco.
— Il va falloir que je m’occupe sérieusement de toi, me dit-elle.
Elle s’habillait toujours avec élégance et féminité. Elle avait déjà ouvert sa garde robe d’été. Elle portait ce jour là une robe légère, un peu courte à mon goût. Elle ne resta pas longtemps et un quart d’heure plus tard, nous étions dans l’avenue Victor Hugo, à pied d’œuvre pour faire les magasins.
Nous entrâmes dans un magasin de vêtements, d’autorité elle choisit trois robes toutes aussi courtes les une que les autres. Elle me les tendit et m’indiqua du regard la cabine d’essayage. Je pris les vêtements et marchais d’un pas un peu lent.
— Dépêche-toi, nous n’avons pas toute la journée.
Je tirai le rideau, posais avec soin les morceaux de tissu qui me semblaient de plus en plus légers. Je me décidai enfin à ôter mon pantalon puis mon haut. Je me saisis d’une robe bleue très évasée. Elle dévoilait très haut mes cuisses mais me donnait une allure de Lolita. Delphine ouvrit le rideau et admira le résultat.
— Enlève ton soutien gorge, on ne voit que lui.
Maladroitement je défis l’attache et accrochai mon soutien gorge à une patère. L’étoffe tomba, Delphine le ramassa et le jeta sur la barre du rideau. Elle me fit sortir et faire quelques pas dans le magasin.
— La suite, dit-elle sèchement.
Il s’agissait d’une robe fourreau blanche très moulante et aussi courte que la précédente. Elle resta dans l’entrebâillement du rideau pendant l’essayage. J’allais sortir de la cabine quand elle me fit remarquer que ma culotte noire était bien trop visible et me suggéra de l’enlever. Comme elle sentit que je n’étais pas très emballée, elle insista fermement :
— Ne fait pas l’enfant, dépêche-toi.
Rouge de honte j’enlevai ma culotte et devant mon embarras pour l’accrocher au portemanteau elle me tendit la main.
— Donne-la moi, je la garde.
Je la lui tendis sans hésiter tout en me traitant de sotte.
Je me rajustai, pris ma respiration et sorti. La sensation de nudité fut totale quand j’aperçus mon reflet dans la glace. Delphine avait remarqué mon trouble et en profita, elle me fit aller et venir dans le magasin. Quand je suis passée à côté d’elle, elle lâcha ma culotte qu’elle avait toujours en main. Je me précipitai pour la ramasser et mon empressement me fit dévoiler fesses et pubis. Je me dirigeais à toute hâte dans la cabine en me traitant à nouveau de sotte, j’avais envie de fuir cet endroit et en même temps une chaleur intérieure me disait de rester pour voir la suite.
— Essaie la troisième, me dit-elle.
J’ôtai cette robe et, nue, cherchais un endroit pour la poser, Delphine avait largement entrouvert le rideau et ne me proposait pas son aide. Maladroitement je parvins à tout accrocher et enfilai la troisième robe. Le tissu très léger était agréable à porter, une rangée de boutons nacrés agrémentait le devant. Côté longueur c’était nettement mieux que les robes précédentes. Le seul hic est que les boutons ne montaient pas très haut et ne descendaient pas bien bas. Delphine me pressa de sortir pour jugé de l’effet. Elle me fit virevolter sur place et acquiesça l’air satisfait. Elle pris mes vêtements, y compris culotte et soutien gorge, et m’annonça :
— Attends moi je reviens.
J’étais vraiment cruche, elle me laissait à moitié nue dans le magasin et moi j’obéissais comme une idiote. Pour me donner de la convenance, je fis mine de chercher un vêtement et évitais mon reflet dans les glaces.
Au bout de 5 minutes, elle revint avec une vendeuse, la quarantaine, très élégante et me lança :
— Viens nous allons faire quelques retouches, cette robe est un peu longue.
Je me suis immédiatement souvenue de l’absence de sous-vêtements et j’en fus gênée. La vendeuse me fit placer devant une glace et s’accroupit pour faire un pli. A un moment, le contact de la pelote d’épingles sur ma cuisse me fit tressaillir ; Delphine n’en perdait pas une miette. Apparemment la vendeuse n’a pas remarqué ma nudité. Elle prit les mesures et proposa de faire le pli immédiatement.
— C’est une chance inouïe, s’exclama Delphine. Comme ça tu pourras la mettre immédiatement.
— Où sont mes affaires ? chuchotais-je à l’oreille de Delphine.
— Je les ai laissées à la caisse, va dans la cabine et donne-nous cette robe que nous en finissions, dit elle plus fort pour être sûre que la vendeuse ai bien entendu.
Elle m’avait piégée. Devant l’air interrogateur de la vendeuse qui ne comprenait pas ma réticence à enlever cette robe, je me résolus à entrer dans la cabine et retirai la robe. Delphine me l’arracha des mains et me dit :
— Reste comme ça, ce ne sera pas long.
C’est la première fois que je me sentais aussi nue, uniquement séparée du monde extérieur par un rideau. J’aurai pu, il est vrai, enfiler une des deux robes des essayages précédents, je n’en fis rien. Les mots de Delphine « Reste comme ça » résonnaient encore dans ma tête. J’étais dans un état second, envahie d’une sensation troublante, le sexe lourd et les joues en feu. Les pointes des seins érigées, je ne pouvais rien dissimuler de mon état. Je regardais les deux robes accrochées au portemanteau et restai abasourdie devant l’impossibilité de les mettre.
— Alors miss cul nu, comment te sens-tu ? me lança Delphine. Tu aurais au moins pu enfiler quelque chose en attendant, imagine si quelqu’un avait ouvert le rideau.
Comme je tendais la main vers la robe bleue elle m’arrêta :
— Non, reste nue, ça me plait que tu m’aies obéi et puis la retoucheuse ne devrait plus tarder.
Elle entra un peu plus dans la cabine, huma l’atmosphère remplie de mes odeurs intimes et me toisa, elle ne pouvait ignorer l’état d’excitation dans lequel je me trouvais.
— Mets tes mains sur la tête et ne bouge pas.
Telle une automate, je lui obéis.
— Tourne-toi et colle ton visage à la cloison.
Je m’abandonnais complètement et fis ce qu’elle dit. Elle recula jusqu’à sortir de la cabine, je sentais ses yeux fixés sur mes fesses. LIRE LA SUITE




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Commentaires

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vendredi 22 avril 2022 à 09h07 - par  Henic

C’est frais et classique, un début de relation de soumission qui se déroule presque trop bien.
C’est une bonne introduction, dommage que la suite ne soit pas (encore ?) venue.

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