Marie, éducation d’une soumise
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Son petit ami est quelqu’un de très doux, attentionné et surtout de docile. Comme on le dit si bien, c’est elle qui porte la culotte dans le couple. Mais Marie s’ennuie chez elle, la vie est monotone. Elle se donne du plaisir en lisant des histoires de soumission quand il n’est pas là.
Un soir, tandis qu’elle s’endort rapidement, il consulta le téléphone de Marie. Un brin de vérification inopiné ne fait soit disant jamais de mal.
Quand Marie se réveilla, Mathieu n’était pas dans l’appartement. Elle prit alors sa douche habituelle du matin et se dirigea, en survêtement, comme elle a l’habitude de s’habiller les weekends, vers la cuisine.
Son cher et tendre revint quelques minutes après avec les pâtisseries.
Ils déjeunèrent.
Engourdie, elle tenta de bouger son bras droit, puis le gauche. Elle ouvrit alors les yeux mais se trouva dans le noir. Après quelques secondes nécessaires à son réveil, elle se rendit compte que quelque chose n’était pas normal. Elle tenta de bouger. Plus elle bougeait, plus la pression devenait forte l’empêchant de bouger.
Mathieu a toujours fantasmé sur la domination. Peut être une revanche sur ceux qui profitent de sa gentillesse, sur sa docilité en couple avec Marie.
Les croissants, dont elle raffole contenaient une forte dose de décontractant musculaire, ayant fait dormir Marie pendant plusieurs heures. Depuis des mois, il préparait tout. Le moindre détail était pensé. Une fois endormi, il mit celle-ci dans la voiture. Il avait hérité de ses parents, une belle demeure situé à seulement 10 kilomètres de chez eux. La villa, entourée d’un magnifique jardin protégé par de hauts murs, était composée de nombreuses pièces.
Arrivés, il l’avait porté jusqu’à une pièce qu’il préparait pour elle depuis des semaines.
Elle était relativement légère avec ses 45 kilos pour 1 mètre 69.
Il la déposa sur une large poutre en bois. Elle ressemblait à une poutre de gymnastique et était large de 27 centimètres. Elle faisait deux mètres de long.
Il lui banda alors les yeux et la déshabilla. Lui attacha à chaque poignet un bracelet de cuir, comme à ses chevilles. Grâce à des cordes et un ingénieux système de poulies, ses bras et jambes était attachés vers le sol. Il laissa beaucoup de mou aux cordes. Mais chaque mouvement bloquait les cordes et le mou laissé au départ ne serait que rétréci.
Marie mit quelques minutes à comprendre cela. De plus, son corps lui semblait très instable, au bord du précipice.
Elle voulut crier mais elle n’y parvint pas. La peur lui enleva sa voix. Mathieu rentra dans la pièce. Il déclara alors :
— Ma chère, ma tendre, ma petite Marie. Je sais que tu fautes depuis des mois en regardant divers sites te permettant d’obtenir du plaisir. Je sais que tu abuses de moi, que tu me diriges et je souhaite aujourd’hui reprendre notre relation. A partir de maintenant c’est moi qui décide. Tâche bien de te rappeler de ces règles sinon cela ira mal pour toi : tu ne me nommeras que Maître, tu ne parleras que lorsque je te l’aurais demandé, tu ne vivras qu’à travers moi et uniquement moi, ainsi j’ai déjà fais le nécessaire auprès de ton boulot, tu devras m’être soumise jour et nuit, tu accepteras les différentes phases de ta soumission.« Il avait bien plus d’idée qu’elle ne le pensait. Elle sentit le rouge lui monter aux joues, l’envie de lui dire »mais ça va pas !!!", se disait qu’il ne tiendrait ce rôle que quelques jours puis qu’il aurait besoin de quelqu’un pour gérer, qu’il ne raconte qu’un texte lu et appris par cœur sans intérêt, qu’elle ne lui seras pas soumise.
Elle ouvrit donc la bouche pour protester, comme elle savait si bien le faire. Il avait imaginé sa réaction et il avait donc préparé son coup. Lorsqu’elle ouvrit la bouche, il lui enfila un entonnoir, plus gros que le simple entonnoir de cuisine, dans la bouche. Elle tenta de se débattre mais avait pris le soin de lui accrocher la tête à la poutre avant son réveil. Il continua son monologue.
— Je ne crois pas t’avoir autorisé à parler. La première étape de la soumission est l’éducation. Je sais que tu en as envie, je vois bien ton sexe s’humidifier.
Manque de chance pour elle, il avait la chance de voir ces signes.
— Je vais alors t’éduquer entièrement pendant 2 mois et ensuite tu pourras donner ton avis et m’autoriser à poursuivre, ou non, ta soumission. Es tu d’accord ?"
Elle acquiesça.
Il déclara
— La soumission que je t’impose est une soumission totale : physique et mentale. Le mental viendra avec le physique. Je contrôle tout chez toi".
Dans le même temps il remplit l’entonnoir d’eau. Et ordonna « bois ». Elle du absorber, non sans ménagement, 3 litres d’eau. Il enleva l’entonnoir et quitta la pièce.
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