La transformation de Lola
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La pièce venait de prendre fin, avec pas mal de retard. Lola se rendit compte qu’elle aurait beaucoup de mal à atteindre le dernier métro, et qu’elle devrait se résoudre à prendre un taxi. Par malheur, elle était sortie parmi les dernières spectatrices, et plus aucun taxi n’attendait la clientèle. Elle se décida à tenter sa chance et à rentrer à pied chez elle, espérant trouver l’un ou l’autre taxi en maraude. Elle était fatiguée par une rude journée de travail, et pesta contre cette contrariété. Par chance, quelques centaines de mètres plus loin, elle vit arriver dans le lointain une voiture qui peut-être lui permettrait de rejoindre sans trop de mal son domicile. Elle avait de la chance, ce fut un taxi qui arriva. Il était vide, et s’arrêta à côté de la jeune fille. Soulagée, elle s’y installa. Le chauffeur était un homme d’une quarantaine d’années, souriant. Lola lui donna son adresse et se casa confortablement sur la banquette arrière. Le chauffeur restait silencieux, ce qui arrangeait Lola, désireuse de se rappeler les meilleurs moments de la pièce. A un moment donné, elle constata que la voiture ne prenait pas la direction indiquée. Elle se pencha pour le faire remarquer au chauffeur, et reçut en pleine figure le produit d’un vaporisateur qui la fit s’endormir.
Quand elle se réveilla, ce fut pour constater que le taxi s’était arrêté sur un petit parking cerné de bois. Sur ce parking se trouvaient quelques gros camions routiers, et une assez grosse bâtisse mal éclairée. Lola, encore engourdie, ouvrit la portière pour descendre, mais toute étourdie se retrouva par terre. Deux hommes vinrent la secourir pour avec l’aide du chauffeur la transporter dans le couloir d’entrée du bâtiment. Là, une femme vint parler au chauffeur, et Lola fut amenée dans un petit local où se trouvait un canapé sur lequel on la coucha. Elle se sentit appliquer un mouchoir sur le nez, et plongea dans un profond sommeil. On ne la réveilla que dans l’après-midi du lendemain. Elle était totalement nue sur un épais matelas couché sur une grande table. Ses mains étaient menottées, et elle était ainsi totalement incapable de cacher une quelconque partie de son corps. On avait également bandé ses yeux. Elle entendit la voix de son chauffeur demander à une interlocutrice qu’elle ne pouvait voir
« Alors, qu’en pensez-vous ? Combien allez-vous me donner pour cette petite demoiselle ? »
Et la réponse terrorisa Lola.
« C’est vrai, elle est très jolie. Mais vous permettrez que je l’examine en détail avant de pouvoir vous faire une offre. Pour le moment, je ne sais trop comment l’utiliser. Travailler ici serait la solution la plus facile, et vous savez ce qu’elle aurait à subir. Mais je crois qu’elle vaut beaucoup mieux, et vous devinez sans doute à quoi je pense. Dans un premier temps, nous allons donc l’examiner. »
L’examen que dut subir Lola fut pénible pour elle, tout y passa. Tout d’abord, elle sentit des doigts caresser sa poitrine et en pincer les tétons. Puis, les doigts descendirent le long de son ventre, écartèrent ses lèvres sexuelles, et s’introduisirent dans l’entrée du vagin. Le verdict ne se fit pas attendre :
« Un bon point, elle est encore vierge. Une jolie plus-value. Voyons maintenant l’arrière. »
Lola sentit des mains la saisir, et la retourner sur le ventre. Les mêmes mains écartèrent ses fesses, et elle sentit un doigt tenter de se glisser dans son anus. Le commentaire fut aussi rapide que le précédent
« Là aussi, elle n’a jamais été présentée. Oui, c’est une réelle affaire. Je vous propose donc la somme de trois mille euros, payable immédiatement. Ou préférez-vous trouver une autre solution et un autre mode de paiement ? »
La femme savait pertinemment bien que le chauffeur préférerait toucher de suite la somme annoncée, et ce fut le cas. Lola entendit alors la femme et le chauffeur sortir. Elle tenta de se relever, mais une voix féminine l’arrêta.
« Ne sois pas trop pressée. Maintenant que ton cas est réglé, je vais t’enlever ton bandeau et te menotter les mains derrière ton dos. »
Apparemment, une seconde femme était aussi présente, et Lola ne put que se laisser faire. Elle était toujours couchée sur la table quand elle entendit rentrer celle qui venait de l’acheter.
L’arrivante donna un ordre à ses deux aides et quand ce fut fait retira le bandeau qui aveuglait la jeune fille. Elle découvrit alors le visage de sa nouvelle maîtresse. La femme était imposante, âgée d’une bonne trentaine d’années. Elle avait de courts cheveux noirs, une frange masquait son front. Les yeux étaient violets, et la figure entière souriait. Certainement, la femme venait de réaliser une affaire juteuse, et Lola comprit que son avenir ne serait pas des plus souriants.
« Bonjour, ma chérie. Tu as un fort joli prénom, je viens de le découvrir sur tes papiers d’identité. Comme tu l’as entendu, je viens de te payer fort cher, et il me faudra pas mal de temps pour récupérer cet investissement. J’ai pu constater que tu ne connais pas encore l’homme. Cette lacune sera vite comblée. Après quelques semaines de préparation, je pourrai vendre aux enchères tes deux pucelages. Une fois la chose accomplie, tu commenceras à travailler pour moi. Je déciderai alors de quelle manière tu me rapporteras le plus de fric, car je ne suis pas philanthrope. C’est vrai que tu es très belle. Je dirige deux affaires, l’une dont la clientèle est très fortunée, et se disputera ta location ou même ton achat. L’autre a pour clientèle celle des conducteurs de camions, bien moins soignés et à vrai dire beaucoup moins tendres. Mais je me demande s’il ne serait pas préférable dans ton propre intérêt de t’offrir dans un premier temps à cette clientèle. Tu serais ainsi bien plus rapidement formée à l’amour sous toutes ses formes, et ainsi mieux en mesure de contenter plus tard une clientèle huppée, mais aussi plus exigeante. Nous allons te préparer à tout cela. Mais je dois pouvoir mieux te cerner. Je ne connais rien de toi, alors pendant quinze jours, tu vivras en permanence à mes côtés, et j’espère que je n’aurai pas à le regretter. Je te rappelle que désormais ton corps m’appartient, et que le moindre refus de ta part te vaudrait d’être sévèrement punie. Tu seras toujours nue, comme le sont les autres filles qui travaillent pour moi. Ne songe pas à fuir, et abandonne de suite cet espoir. Aucune des filles qui ont travaillé pour moi ne m’a quittée que pour aller travailler chez une autre maîtresse, et dans une clientèle loin d’être aussi raffinée. Lève-toi maintenant, nous allons passer dans mon appartement, où je vais pouvoir t’examiner de manière plus approfondie. »
Une autre fille était revenue. Sur ordre de sa Maîtresse, elle passa un collier au cou de Lola et après avoir attaché une laisse à ce collier, elle tendit la laisse à sa maîtresse qui s’en saisit. Tirant derrière elle Lola, elle sortit du bâtiment. Sur le parking en face venaient d’arriver deux camions, et leurs chauffeurs venaient de descendre de leurs véhicules.
Ils regardèrent amusés le trio qui passa à côté d’eux. Lola était rouge de honte de se voir ainsi exposée nue à des inconnus. Sa Maîtresse s’en aperçut et la taquina :
« Tu vois, si je te fais rester ici, ce sera à des hommes comme ceux-ci que tu auras affaire, et ils ne sont pas très tendres avec les filles qu’ils choisissent. Chaque vendredi, ils sont une dizaine et du samedi au dimanche après-midi, ils sont encore plus nombreux. Comme je n’ai jamais que huit filles à leur présenter, elles ne sont jamais inactives, et sont régulièrement prises par deux hommes en même temps. J’ai toujours trouvé ces doubles pénétrations très excitantes à regarder, et je m’imagine le plaisir que j’aurais à te voir prise au même moment par devant et par derrière. Mais rentrons chez moi. »
Le trio était arrivé à un petit bâtiment annexe. La Maîtresse envoya sa soumise recevoir les deux arrivants dans le bâtiment central, et lui dit :
« C’est l’heure de travailler, ne perds pas de temps. Je passerai plus tard présenter Lola aux clients dans la grande salle. »
Elle tira derrière elle Lola et pénétra avec elle dans l’annexe. La salle où elle amena Lola était assez vaste, mais n’avait pas de fenêtre. Elle contenait de nombreux miroirs et il y avait plusieurs anneaux aux murs. Dans un coin de la salle, une grande croix de St André à laquelle elle alla attacher Lola, bras et jambes écartées, et dos contre le bois. Elle se plaça alors face à sa prisonnière et lui dit :
« Je m’appelle Léa, et n’oublie pas ce nom. Tu te trouves dans un endroit bien particulier, inconnu de tous. La police y vient parfois, mais comme nous ne gênons pas l’ordre public, et que nous accordons à ses hommes certains privilèges, elle nous laisse tranquilles. Cet endroit est strictement réservé aux routiers qui viennent ici pour se détendre à des prix défiant toute concurrence. Tu as eu la malchance de tomber sur un chauffeur de taxi qui régulièrement vient nous présenter l’une ou l’autre proie, et gagne ainsi largement sa vie. En fait, il existe en Europe quelques bâtiments de ce genre, et les filles passent dans chacun d’entre eux une période de six mois. Notre clientèle aime le changement ! Plus tard dans la soirée, quand le gros de la clientèle sera là, je t’emmènerai dans la grande salle où tu découvriras ce qui deviendra ton proche avenir. De toute manière, que ce soit ici ou dans une autre société où je te placerai, il me faudra te préparer. Comme je te l’ai déjà dit, dans quelques semaines je vendrai aux enchères tes deux pucelages. Puis, tu entreras réellement en fonction. En attendant ma décision, et pour te faire perdre tout sentiment de pudeur qui ne sera pas de mise ici, tu seras chaque soir en heure de pointe exposée nue à ceux qui peut-être seront un jour tes clients. Même s’ils ne peuvent pas s’en servir, le spectacle de la chair fraîche les réjouit toujours.
Parlons maintenant un peu de toi. Tu es plus que jolie, tu es très belle. Je vais tantôt t’apprendre à faire l’amour avec une femme. Je vais aussi, mais de façon très modérée, te faire découvrir le fouet. Demain, je raserai moi-même tous les poils de ton corps. Puis, je fixerai à tes tétons, à tes lèvres sexuelles et à ton clitoris des bijoux montés sur pinces qui permettront de voir ce qui te conviendra le mieux quant plus tard il nous faudra t’anneler. Et comme je ne veux pas perdre de temps, dès ta présentation de ce soir, tu auras dans le cul un gode qui commencera à augmenter la souplesse de ta petite rosette. Tu pourras être fière de devoir laisser des hommes admirer tes attraits sans que tu puisses les en empêcher. Ils ne parlent pas tous la même langue, mais ils sauront par gestes te faire comprendre ce qu’ils pensent de toi. »
Léa alla prendre alors une boîte qu’elle posa sur un guéridon à côté de Lola, et en sortit quelques pinces. Elle en plaça deux aux tétons de Lola qui ne put s’empêcher de gémir. Elle fit de même avec le clitoris et les petites lèvres de la crucifiée, puis se recula pour juger de l’effet. Celui-ci lui plut. Elle tira une grande psyché face à Lola, et lui dit :
« Regarde comme tu es belle, et demain, quand tu seras rasée, tu seras encore plus belle. »
Lola se voyant se mit à pleurer. Elle vit Léa prendre une cravache, et trembla, suppliant sa Maîtresse :
« Non, Madame, pas cela s’il vous plait. Ne me faites pas mal. »
Léa sourit et lui répondit :
« Je veux bien attendre, mais alors tu dois me faire jouir. Et si tu ne réussis pas, gare à tes fesses ! ».
Elle détacha Lola, l’amena près du lit, et lui donna l’ordre de la dévêtir. Quand ce fut fait, elle fit se coucher Lola sur le dos, lui attacha les mains aux barreaux de la tête de lit et se pencha sur elle. LIRE LA SUITE
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