MII épisode 18

mercredi 1er juillet 2009
par  lahoule
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Episode 18

Le rêve est de courte durée.

— Alors c’est elle, cette perle de la soumission ? Celle à qui l’on va ouvrir les portes des plaisirs défendus ? Dressez-la que je l’examine !

MII se sente tirée, levée. La sensation des chaussures qui lui ont été enfilés et lacés si étroitement est éprouvante. Ce sont des bottines aux talons vertigineux et elle a de la peine à garder un équilibre, même précaire. Heureusement qu’elle est tenue à un bras.

— Elle n’est pas encore très accoutumée à ses escarpins. Veuillez noter qu’il faut qu’on l’entraîne immédiatement. Je veux que dans trois jours, elle puisse courir comme si elle était née avec ses chaussures !

— Voyons un peu ce trésor !

L’examinateur qui doit être Mr. Gladstone s’empare de ses pointes de seins et commence à les faire grandir en les titillant fermement.

— Elle répond très vite et très bien, voilà un bon point !

Il glisse un doigt fermement dans l’œillet de MII sans aucune préparation. Celle-ci crie de surprise et surtout de la brusquerie de la pénétration.

— On ne dirait pas qu’elle a déjà été ouverte ! Darling, vous veillerez à ce qu’elle soit ouverte en permanence. Quand je dis ouverte, c’est ouverte, réellement, avec au moins du 6 !

— Autant que cela, la première fois ?

— Évidemment, mais vous prendrez soin de la préparer avec l’ovaline.

— Quand commence-t-on ?

— Après la fin de mon examen !

— Bien !

MII est prise par la taille et agenouillée, sans doute sur Mr. Gladstone. Elle reçoit une terrible claque sur les fesses. MII qui ne comprend pas ce qui lui arrive crie autant de surprise que d’une douleur qui la traverse de part en part.

Suit une deuxième claque, sur l’autre fesse, puis une troisième !

— Qu’ai-je fait ?

Pour toute réponse, c’est une nouvelle claque qui s’abat sur les fesses. Son derrière commencer à chauffer, mais la correction ne s’arrête pas pour autant. MII sent alors un deuxième échauffement naître. Plus profond celui-ci qui touche son sexe. Elle commence à onduler et naturellement ouvre les jambes !

— C’est pas trop tôt !

— Oh, comme ça brûle !

Une nouvelle fessée tombe sur la fesse gauche.

— Qui t’a permis de parler ?

Mr Gladstone la maintient très serrée à la taille et commence à sonder son sexe avec l’index.

— Un bon point, le traitement que tu viens de recevoir à des effets humides !

Son doigt va au plus profond, ressort et la pénètre à nouveau. Puis un deuxième doigt suit le premier. Ils vont et viennent fermement, inexorablement dans toutes les parties de son vagin, augmentant l’humidité de son fondement et commençant à la mettre sur les charbons ardents.

— Ahhhhhh ! Encorrrrrr ! Ohhhhhh, j’adoooore ! Encorrrr !

Et les doigts poursuivent leur examen projetant MII dans ces ondes de plaisir qu’elle connaît bien et qui sont propres à la rendre avide de jouissances !

Elle sent alors un troisième doigt faire sa place, puis un quatrième.

— Nooon, c’est troooop !

Mr Gladstone glisse alors un dernier doigt qui la distend complètement, C’est la main, maintenant qui va et vient à l’orée de son sexe !

MII crie de plus en plus fort, de plus en plus longuement de plaisir, de peur d’avoir mal, mais le plaisir est le plus fort et la main pénètre enfin. MII se cabre dans une jouissance à lui couper le souffle.

— C’est troooop ! J’en peux pluuuuus !

Mais la main ne cesse son mouvement et MII contrebalance de ses fesses le mouvement diabolique de la main détrempée de sa cyprine !

— Quelle mouille ! Bravo !

D’un coup sec, la main se retire et MII reste suspendue dans une vague de plaisir.

— Nooooon !

— C’est bien, soumise, c’est bien ! Cependant, Darling, vous noterez une punition parce qu’elle voulait se dérober.

— Amenez le pal !

Toujours agenouillée sur Mr Gladstone, qui la maintient fermement à la taille, MII sent ses fesses s’écarter. Des doigts féminins, elle en est sûre lui caressent l’œillet et y déposent une pommade qui lui semble un vrai rafraîchissement. Mais celui-ci est de courte durée. Il est suivi d’une vague de chaleur qui lui traverse tout le bassin.

— Qu’est-ce que vous me faites ! C’est froiiiiid et puis ça brûûûûle !

— Ce n’est pas suffisant, mettez-en encore une touche.

MII a l’œillet qui s’ouvre de lui même sous l’effet de la pommade. Celle-ci est terrible, parce que son effet traverse la mince paroi entre son œillet et son sexe et les ondes de chaleur poursuivent la folie entamée par la main. Une jouissance soudaine la cueille dans sa concentration pour tenter d’éviter la douleur !

— Elle en jouit, on peut continuer !

Alors toujours maintenue dans la même position, les mains féminines lui écartent les fesses et impriment à un objet froid et lisse une poussée douce mais ferme pour le faire pénétrer !

MII crie.

— C’est trop groooooos ! Je ne peux paaaas !

Elle tente de fermer son œillet, ses jambes, mais reçoit une nouvelle volée sur les fesses.

Mr Gladstone enfonce alors son pouce dans le sexe de MII et la maintient alors de ses doigts sous son pubis. Cette poigne est terrible de force, mais aussi d’effet !

MII jouit une nouvelle fois !

Puis la terrible pénétration reprend et MII continue à geindre, à se tortiller et inévitablement à se troubler.

— Aaaaahhhh ! Encooooor ! Aaaaahhh ! Je n’en peux pluuuus ! Je jouiiiiis !

Peu à peu, à force d’essais, de jouissances qui n’arrêtent pas, le pal achève de la distendre. Il est enfin en place. MII est en sueur, son sexe dégouline de plaisir.

— C’est trop gros, je vais éclater !

— C’est ce que tu crois, soumise ! C’est juste le manque d’habitude !
On veillera à le changer tous les deux jours ! Bouclez-le, maintenant, afin qu’il ne puisse sortir, mais qu’il bouge aussi selon ses mouvements !

MII sent alors une chaînette remonter sa fente et s’accrocher à la ceinture qui lui étrangle la taille, elle l’avait oubliée celle-ci. La manipulation, l’accrochage de la chaînette la force à en reprendre conscience. Puis, deux autres chaînettes passent de chaque côté de ses lèvres pour aller s’accrocher à leur tour à la ceinture. Un dernier réglage et le pal est complètement solidaire de son corps, quels que soient ses mouvements. La sensation est terrible. Jamais MII n’aurait pu penser prendre telle conscience de son bassin. L’étranglement de sa taille, les chaînettes, le pal, forment un tout contraignant, mais terriblement troublant. Passé le moment de la terrible pénétration, MII se sent étrangement calme et les sens encore plus en éveil.

On l’aide à se relever. Ses fesses sont brûlantes, ses seins sont terriblement durs. Sa tête est comme évaporée !

— Elle est magnifique dans cet état, dit Miss Gladstone ! Serrez-lui encore un peu la ceinture !

Sitôt dit, sitôt fait. MII en a le souffle coupé. L’étranglement tend davantage les chaînettes et le pal lui distend encore un peu plus l’oeillet.

— C’est terrible !

— Evidemment ! Emmenez-la pour la promenade sur les remparts.

Une sangle est accrochée à son cou, une domestique nue, portant un anneau sur les lèvres est amenée devant MII. On accroche la sangle à l’anneau en le lui passant entre les jambes. Elle se met en mouvement entraînant MII à la promenade. Celle-ci manque de défaillir tellement les effets sont renversants.

Sa taille étranglée, son œillet distendu, ses chevilles contraintes par les bottines, ses pieds cambrés à l’extrême, la difficulté à se mouvoir, la font transpirer. Non pas de chaleur, mais bien d’un trouble puissant. Elle en manque de respirer et au moment où son corps a besoin de cet oxygène libérateur, elle inspire profondément ce qui achève de la contraindre au niveau de sa taille.

— Vais-je être constamment dans un tel état ? Je ne supporterai jamais trois semaines d’un tel traitement.

MII est obligée de suivre sa conductrice qui, elle le remarque très vite, ressent des effets terribles sur ses lèvres. Elle commence rapidement à soupirer de contrainte parce que MII a de la peine à la suivre et de plaisir parce que la sangle agit diaboliquement sur le centre de sensations. MII aperçoit la cyprine coulant le long de ses cuisses.

Monter l’escalier en colimaçon de la tour n’est pas une mince affaire et par deux fois MII s’encouble devant la difficulté de sa tâche. A chaque chute, l’écho des soupirs de sa conductrice se répercute sur les murs arrondis. Difficilement MII se remet en route, pour enfin parvenir hors d’haleine sur le chemin de ronde. L’air frais provoque immédiatement la chaire de poule sur son corps suant. Ses seins se tendent encore davantage. Peu à peu, la démarche de MII prend de l’assurance. Le trouble est continu ; même les contraintes au niveau de ses chevilles, de sa taille, de ses genoux deviennent familières. Son corps se pare d’une sensation à fleur de peau. Jamais MII ne se serait cru capable de vivre pareillement son corps. Il n’y a pas un millimètre carré qui ne soit pas conscience de vie. Elle en tire un bonheur étrange, respectueux et une grande fierté.

— C’est à mon maître que je le dois ! Qu’il …. Qu’il ….

A chaque fois elle s’arrête et n’ose laisser aller sa pensée jusqu’au bout.

— Qu’il …. en soit remercié !

Enfin, elle est arrivée à se l’avouer !

— Je l’aime de plus en plus et j’aime de plus en plus ce que je vis par lui ! Mais j’aimerais tant l’avoir contre moi, en moi et avec son visage devant mes yeux. Tant pis si je suis fouettée, fessée parce que je le regarde droit dans les yeux. Je suis à lui et simultanément il est à moi, c’est une évidence. Je suis sa soumise, mais il dépend de moi, de mon bon vouloir. Je puis arrêter l’aventure quand il le veut, mais aussi quand je le veux. Aujourd’hui, si je suis dans cette tenue, dans ce château, serrée contrainte, mais réjouie, c’est grâce à lui, mais aussi grâce à moi, car je suis à même d’aller cueillir au fond de moi-même les sensations les plus fortes, les plus vertigineuses. Je suis soumise parce que je le veux bien et parce que pour lui et par lui je suis capable de me transcender.

Combien de temps a duré la promenade sur la muraille ? MII a perdu cette conscience du temps pour n’être plus que dans la conscience du corps, dans ses émotions, dans les cellules qui la composent. Elle reprend conscience au moment où elle se retrouve dans une salle nouvelle où résonne le martèlement de ses talons, où le son des voix se perd dans des voûtes avant de revenir légèrement amplifié. MII ne peut apercevoir au centre de la pièce, un grand siège gynécologique, aucunement rembourré. Il est entièrement métallique, brillant dans ses chromes. Les quelques parties qui permettent de recevoir le corps sont moulées aux formes du corps. Elles ne sont bien peu nombreuses et de petite taille…

— Libérez-là et disposez-la !

On la libère de sa sangle, on lui défait les bras attachés dans son dos (depuis combien de temps ?), on la mène par la main. Deux solides bras la soulèvent pour la disposer sur le siège. MII remarque tout de suite l’étrangeté de ce qui se passe. Son dos se cale contre un dossier, alors que son derrière est complètement libre ; une simple sangle la retient au bas des reins, contre sa ceinture. On lui remonte les jambes pour les placer dans des étriers, largement ouvertes et des bracelets emprisonnent ses chevilles et le haut de ses cuisses. Ses bras sont ramenés derrière sa tête où ils sont attachés. Elle se retrouve en position de grenouille sur le dos, complètement ouverte, la poitrine bombant légèrement. Ses seins sont ainsi très proéminents.

— Je dois être d’une impudeur, se dit-elle dans son for intérieur.

— C’est bien, laissez-la ainsi, maintenant !

MII se retrouve à nouveau seule, en silence, ouverte et surtout consciente de son état. Elle touche la réalité que sur certains endroits de son corps, tout le reste est comme suspendu dans l’air. Sa peau s’offre à cette caresse avec bonheur. La température de la pièce est douce.

Au moment où elle s’y attend le moins, elle entend un brusque claquement dans l’air et elle crie plus de surprise que de mal sous la sulfureuse caresse cinglante du fouet sur son pubis.

A peine remise de son étonnement, un nouveau coup vient échauffer sa peau et l’obliger à se contorsionner sur son siège. Les coups ne sont pas violents, ils ont pour but de l’amener progressivement à cet abandon qu’elle connaît bien et qui irrémédiablement la conduit à la jouissance. Ses lèvres ne mettent pas longtemps à reprendre leur couleur vermeille, signe que le trouble l’envahit…

— Aaaaaah ! C’est chaud, c’est foooort !

C’est là que le siège prend toute sa signification. Elle est contrainte, mais libre de tout contact autour de ses fesses, de ses cuisses et les sangles du fouet peuvent la caresser partout et l’envoyer dans des torrents de sensations brûlantes. Au dixième coup, la jouissance la cueille au moment où elle inspire avant la caresse diabolique suivante…

— Aaaaaaaaaahhhhh ! C’est ……..

Elle n’a pas le temps de se ressaisir que déjà, elle sent un sexe volumineux la pénétrer et aller fouiller son sexe qui n’était que demandeur…Une deuxième jouissance, immédiate, immense qui lui arrache des soupirs, puis des cris..

— Encorrrrrrrrr ! N’arrêtez pas ! C’est booooon ! Aaaaaaahhhhh !

— Je vous le disais qu’elle n’attend que le plaisir ! entend-elle dire à côté d’elle.

— Je le sais et je suis là pour lui en donner et vous le montrer. J’aime l’exhiber quand elle jouit, mais je veux qu’elle en devienne folle, qu’elle le réclame.

La voix de son maître décuple sa jouissance !

— Oh, oui, Maître, encoooooore ! N’arrêtez pas, je vous en conjure, j’aime être prise comme cela !

— Tu sais que tu es offerte aux regards de tous quand tu jouis ?

— Oui, Maître, j’aime cela, même dans ma nuit ! J’aimerais tellement vous voir !

— Il n’est point encore l’heure ! Quand cela arrivera, c’est que tu seras arrivée au sommet de ta soumission et que tu la porteras au grand jour, comme une paire d’escarpins !

MII sent toujours son sexe s’ouvrir, déborder de cyprine, gonfler, se distendre et se contracter avant de produire encore davantage du précieux liquide…

Une nouvelle jouissance terrible la transporte…

— Ca remonte, Maître, ça reviennnnt, c’est trooop, c’est tellement foooort !

Au moment où MII jouit de nouveau, un liquide épais, chaud l’inonde en même temps et la repousse un peu plus loin dans son plaisir..

— Ouiiiiiii ! J’aiiiime votre jus, Maître ! Encore, giclez-moi, inondez-moi ! Je veux être arrosée par vous ! C’est pour ça que je suis à vous ! J’aime votre sperme, votre foutre ! Encorrrr, s’il vous plaît !
MII jouit encore une fois !

— Amenez Ramon, qu’il la nettoie !

MII entend râcler sur le sol avant de sentir une langue commencer sa toilette. Une langue habituée au baiser sur le sexe. MII sent tout de suite que cette langue va chercher les folies au fond d’elle. Elle nettoie, mais avec la volonté de troubler et MII ne résiste pas longtemps avant d’être traversée d’une nouvelle onde de plaisir !

Tellement de jouissances en si peu de temps ont raison de MII qui perd à nouveau conscience. Elle devient cotonneuse, sourde à l’extérieur environnant, mais tellement présente dans son corps.

— Carmen, sans la détacher, finissez sa toilette et remettez-lui le god anal après !

MII sent qu’on détache de sa ceinture les chaînettes qui bloquent le pal qui la distend. D’un coup sec, qui lui arrache un grand cri, elle est libérée, avant de ressentir dans son œillet un onguent qui immédiatement la chauffe et la trouble.

— Qu’est-ce que c’est ? C’est fort, c’est chaud, ça brûle…

— C’est pour mieux te distendre mon enfant !

— Aaaaaah ! C’est trooooop !

Une brusque poussée et MII sent à nouveau son oeillet tendu à éclater au moment où un nouveau pal reprend la place, plus volumineux encore !

— A l’autre, maintenant !

Les lèvres de MII sont écartées par des doigts qui ne la brusquent pas mais qui sont néanmoins assurés. Elle sent la pénétration terrible d’un nouveau pal. Aussi lisse que l’autre, aussi volumineux, mais plus difficile à faire pénétrer en raison du pal déjà fiché dans son œillet.

Après un premier essai infructueux, suivi d’une pénétration au doigt avec un maximum d’onguent qui la met sur les charbons ardents, la pénétration reprend.

Une ou deux poussées plus tard, MII hors d’haleine est doublement pénétrée.

— C’est bien, elle restera ainsi jusqu’à demain, puisque son maître l’a prise tout à l’heure. Vous pouvez la fermer !

Alors MII constate qu’au lieu de lui remettre les chaînettes qui solidarisaient le pal de son œillet à son corps, on dispose sur sa ceinture une sorte de triangle de cuir qui, attaché assez largement, couvre son pubis d’une sangle triangulaire que l’on fait passer ensuite sur sa fente.

Un dernier serrage dans son dos et MII est enfermée sur ses deux sexes. Pas trop fortement, de sorte que le moindre mouvement provoque des sensations troublantes.

— Bien ! Maintenant Carmen, assujettissez-là au sol !

De la sangle entre les pals, part une sangle élastique qui se tend jusqu’à un anneau fixé au sol. Ainsi, si MII essaie de bouger vers le haut, la traction met en mouvement les pals.

— Maintenant, mettez-le siège en marche que l’on voie comment elle réagit.

MII ne comprend pas vraiment ce qui se passe, mais les effets sont diaboliques. En effet, le siège se met à bouger, comme s’il se tortillait, obligeant MII à l’accompagner. L’effet est direct sur la petite sangle qui la maintient au sol. Les mouvements provoqués par le siège agissent sur les pals qui se mettent à bouger dans le corps de MII. Celle-ci se met à hurler à la fois de peur et de jouissance !

— Elle réagit au quart de tour ! C’est une jouisseuse hors pair !

— Nous allons la présenter ce soir ! Carmen, vous la délierez quand elle sera remise et la préparerez pour la soirée de présentation. Je veux qu’elle soit renversante, sinon vous serez fouettée, comme vous l’avez été hier !

— Bien, mes maîtres !

MII, épuisée, reprend sa respiration. Son corps est luisant de sueur.

— Je n’en peux plus, tellement je jouis vite et fort !

— Tais-toi malheureuse, tu n’as pas le droit de parler sans autorisation !

— En effet, dit un maître qui n’est pas encore sorti.

— Carmen, vous noterez une punition pour toutes les deux ce soir !

Et il disparaît.

— Je ne pouvais pas savoir qu’il était encore là !

— Il va falloir que tu apprennes à être sensible au moindre bruit, au moindre geste, à la plus petite respiration si tu ne veux pas être punie ! Mais je me demande si tu n’aimes pas cela ?

— L’idée d’être punie, oui, mais je déteste avoir mal !

— Ici, on va t’apprendre à discerner dans la punition, la frontière entre l’excitation des sens et la douleur ! Parfois, cette frontière est souple et tu vas t’apercevoir que ce qui pourrait paraître du mal devient quelquefois d’une violence excitante que tu ne voudrais pour rien au monde qu’elle s’achève !

— Je crois que j’ai déjà ressenti cela et pas plus tard que tout à l’heure, lorsque l’on m’a pénétrée avec les pals, j’ai eu très peur de la douleur et plus cela avançait, plus cela me rendait folle de plaisir.

— Je l’ai remarqué !

— Tu sais, le fait que je ne puisse rien voir de ce qui m’arrive me rend réceptive au plus petit contact.

— Tout le monde l’a bien remarqué, crois-moi et chacun ici va faire en sorte de cultiver chez toi cette disposition !

— Je n’ai envie d’être prise que par mon maître !

— Ça c’est un vœu pieux, ma fille ! Personne ne l’exaucera. Tu es à la disposition de tous et lorsque l’on n’a pas besoin de toi, tu seras ou simplement attachée quelque part ou au service des maîtres, comme je le suis en ce moment.

— Combien de temps est-ce que je vais porter les pals ?

— Jusqu’à ce que tu sois ouverte dans tes deux orifices avec la même aisance ! Je ne tiendrai jamais longtemps ainsi distendue, ma peau va sauter !

— Oh non, c’est mal connaître tes dispositions d’une part et l’art des maîtres d’autre part.

— Bon, assez bavardé, maintenant. Viens que je te détache et que l’on te prépare pour la soirée.

MII se retrouve debout et, saisie par son collier, suit Carmen qui la mène à la salle d’aisance. La marche est encore plus ardue qu’auparavant et les deux pals qui la transpercent, enfermés dans leur conque de cuir provoquent à chaque mouvement des élans qui traversent son corps de part en part. Plusieurs fois elle est obligée de s’arrêter pour reprendre son souffle.

— Que tu es belle comme cela ! Les maîtres vont devenir fous de toi !

— C’est mon maître qui m’intéresse dit MII dans un souffle juste avant d’être terrassée d’une nouvelle jouissance.

— Tu n’arrêteras donc jamais ?

— C’est trop fort pour moi ! J’ai l’impression que je ne guide plus mon corps, mes réactions sont en dehors de moi et ma situation me rend folle de plaisir et de crainte en même temps. J’ai l’impression de ne jamais arrêter de jouir.

— Tu es la soumise la plus incroyable que j’aie vu jusqu’ici ! J’ai l’impression que tu es faite pour cela. Plus tu es contrainte, forcée pour ton maître et plus tu jouis ! On parle, on parle et on oublie tout. Je suis sûre qu’on nous écoute et qu’on va être punies !

— Tant pis, je veux savoir où je vais dans cette nuit !

— Cela te fait peur, d’être ainsi aveugle ?

— Non, pas vraiment parce que je sais que je suis au château pour mon maître, je sais aussi qu’il est là. Peut-être qu’il est toujours en train de regarder, ou plutôt je m’imagine qu’il est en train de me regarder…

— Et ça te trouble…

— Oui et même des moments, je sais que cela me fait jouir encore plus fort !

— Bon, je vais faire ta toilette et te préparer, sinon on va être en retard et vraiment punie, au-delà de l’excitation.

Carmen saisit alors les bras de MII et les accroche au-dessus d’elle. Ensuite, elle prend une éponge et commence à effacer de son corps toute la transpiration que les traitements ont fait perler. Puis elle saisit dans un pot de crème de cet onguent que MII a déjà reçu et qui provoque parfois une jouissance immédiate. Elle prend le temps de la crémer depuis la base des oreilles, de son cou et jusqu’à ses pieds.

MII commence à geindre…

— Je connais cette crème, elle est terrible et provoque des jouissances presque insupportables, parce que je suis capable de jouir sans que l’on me touche !

— Oui, mais tu vas voir, au moment où l’on te touche ou te fouette l’effet que cela fait, surtout avec la quantité que j’ai l’ordre de mettre sur ta peau !

A cette pensée, MII ne résiste pas et se met à se tortiller et à crier d’une nouvelle onde de plaisir aussi forte que soudaine et même d’autant plus forte qu’elle est soudaine et suit celles qui l’ont précédée….

— Je n’ai jamais vu cela !

— Mooooi, nooooooon pluuuuus ! Aaaaaahhhhhh !

— Maintenant, je vais terminer ta tenue pour la présentation. Essaie de ne plus bouger.

Carmen a saisi une longue corde blanche et commence à entourer son corps d’arabesques liens qui progressivement la lient complètement.

— Je ne peux plus bouger …. C’est terrible, à cause de la crème !

— C’est voulu, jouisseuse !

— Comment vais-je me déplacer ainsi attachée ?

— Ne pose pas toujours des questions ! Tu verras quand le moment arrivera.

Complètement immobilisée, MII est encore maquillée sur les lèvres, les seins. Elle se sent ensuite soulevée et disposée sur une plate-forme. Carmen prend alors quelques sangles supplémentaires et MII est debout, dans l’impossibilité de bouger, mais sanglée sur la plate-forme dans l’impossibilité de tomber.

— Je te laisse maintenant, parce que l’on va me préparer pour que je puisse t’amener à la présentation.

Un temps qui paraît une éternité s’écoule pendant lequel elle peut repenser à sa contrainte. Attachée, debout, dans un état proche de l’évanouissement tellement les sensations sont fortes. Son corps n’est qu’une vague de plaisir, les liens qui la contraignent bougent à chaque respiration et renforcent encore ses sensations. La sécurité de son harnachement est apaisante. Elle ne peut pas tomber, mais elle ne peut pas se voir non plus…

— Attelez-la !

MII entend un soupir, une légère plainte et elle reconnaît Carmen !

— Sanglez le cou, les seins, la taille et les lèvres !

MII ne peut qu’entendre ce qui se passe, mais elle devine que l’on est en train d’attacher Carmen à sa plate-forme. Cela ne doit pas être facile, parce qu’elle entend Carmen soupirer, parfois gémir et surtout elle sent la plate-forme avoir de légers mouvements, comme une charrette que l’on attelle.

Elle entend un fouet claquer, Carmen crier et la charrette se met en route. Les mouvements provoquent immédiatement des réactions sur le corps de MII qui se remet à transpirer, à mouiller d’aise dans son sexe, comme sur sa peau. Elle entend le bruit des talons de Carmen sur le sol pendant tout le temps que dure la promenade.

Une porte s’ouvre…

MII est dans la grande salle.

Elle entend des applaudissements.

— Magnifique, M, vous avez bien fait de l’amener. Elle est splendide !

La charrette fait un tour de salle et MII sent sur les espaces de peau restés nus des caresses, certaines n’hésitent pas à saisir la ceinture et à tirer ce qui a pour effet de faire bouger les pals et de la faire crier…. de plaisir.
Un maître fait claquer un fouet dans l’air avant un deuxième coup qui achève sa course diabolique sur ses fesses.

— Que la présentation commence !

— M, vous nous amenez votre soumise, c’est parfait, présentez-la à l’assemblée !

MII entend la voix de M, claire, précise et sans détour !

— Pendant quelques temps, j’ai suivi MII, c’est son nom de soumise et j’ai pénétré son univers progressivement au propre comme au figuré. J’ai rapidement découvert sa nature de soumise et j’en ai largement profité. Elle aime être soumise, être contrainte, fessée et fouettée. Surtout, elle aime qu’on y mette les formes. Pas de vulgarité, elle a horreur de cela. Elle aime être exhibée, comme vous le voyez et le fait d’être admirée comme elle l’est en ce moment lui procure des saveurs extraordinaires. Je vous invite à y goûter autant que vous le désirez ! Elle aime par dessus tout avoir la taille cintrée dans un corset, être attachée et en jouir. Mais jamais de barbarie avec elle, de la fermeté dans la douceur et des caresses osées, les plus osées qui soient. Je vous la présente dans cet apparat, attachée, afin que vous découvriez en la détachant la richesse de son corps.

— Qu’est-ce qui nous prouve qu’elle a toutes ces qualités ?

— Vous aurez trois semaines pour vous en rendre compte. Cependant, comme c’est sa soirée de présentation, je vous propose le pilori de la grande salle où vous aurez tout le loisir de prendre la mesure de ses capacités…

— Est-elle agrandie ? Vous savez les problèmes que certains d’entre nous rencontrent avec les soumises insuffisamment préparées.

— Elle porte les pals depuis ce matin. J’ai tout de suite pensé à ce problème. En ce moment, elle porte du 6, ce qui est magnifique pour la première fois et qui laisse bien augurer de ses capacités.

— Du 6 sur 9, alors là bravo !

— Qu’on la mette nue au pilori !

Aussitôt dit, MII est descendue de la charrette. Quelqu’un commence à la libérer des cordes. Peu à peu son corps retrouve toute sa liberté et sa souplesse. Immédiatement à sa surface, au moment où le sang se remet à circuler, la peau se teinte de rose.

Elle reste cependant encore contrainte à la taille et dans ses orifices. Une main ferme l’entraîne à travers la salle. MII a toujours de la difficulté à marcher sur ses talons et manque de tomber.

On la tire par son collier pour la faire se pencher, avant d’emprisonner sa tête dans le pilori auquel on ajoute aussi les mains avant de le refermer.

— Je veux d’abord l’entendre crier sous le fouet ! dit une maîtresse !

Immédiatement une volée s’abat sur sa rotondité.

MII se contorsionne dans la mesure de ses possibilités et ses mouvements ont des répercussions au fond de son corps. Le plaisir monte immédiatement et MII hurle un plaisir profond, large, vaste qui va se répercuter dans tout le volume de la salle et cela au moment où un coup plus ciblé l’atteint juste sur un téton.

La jouissance est terrible, inonde MII de toute part dans son sexe comme dans sa bouche…

— Quelle jouisseuse ! Mais baise-t-elle aussi bien ? Je veux le vérifier !

Alors la sangle qui maintient les pals est détachée. MII l’entend tomber sur le sol et un maître s’apprête à lui retirer ses occupants.

— Attendez !

Un maître s’approche et réclame de lui enlever lui-même les pals.

— Comme bon vous semble répond M, elle est à vous !

Le fouet claque une ou deux fois en l’air avant de s’abattre entre les jambes de MII. La surprise d’abord, l’excitation ensuite la font hurler à nouveau. Immédiatement, on remarque que le pal dans le sexe commence à bouger parce qu’il est plus libre et surtout se trouve dans un milieu tellement mouillé.

Clac, un deuxième coup placé au même endroit tire un nouveau cri de MII et l’énorme pal tombe à terre sous les applaudissements de l’assemblée.
Pour le deuxième, celui qui ouvre son œillet, la partie s’annonce beaucoup plus ardue en raison sa taille et de l’étroitesse du passage. La seule issue pour MII, si elle veut éviter de trop recevoir de coups est de tenter de se contorsionner des hanches, des fesses afin que l’outil diabolique puisse être évacué rapidement.

L’exercice s’avère particulièrement éprouvant et MII transpire abondamment. Sa peau est à nouveau luisante, son sexe laisse échapper de grosses gouttes de cyprine qui finissent à terre. Les mouvements entraînent MII dans une danse des plus lascives et de nombreux maîtres et maîtresses complimentent M. MII à ses compliments ressent une lancée de plaisir qui la traverse de part en part et sa jouissance est telle, que son corps se libère totalement en évacuant l’olisbos de sa gangue.

Des applaudissements nourris ponctuent cette « danse des pals ». MII est épuisée, la sueur perle de toute part, elle souffle comme une éperdue, mais elle est aussi éperdue de plaisir, de soumission, de fierté tout en même temps pour son maître.

— Je veux la prendre dit un maître !

— Elle est à vous, puisque pour une présentation je n’y ai droit ! Qu’elle jouisse du plaisir que j’aurais dû lui donner !

Alors MII est saisie à la taille et une très longue queue pénètre son œillet. Ce n’est pas sa taille qui la trouble. En fait elle est plus petite que le pal, mais bien sa longueur. MII a l’impression d’être fouillée jusqu’aux seins. La queue commence sa danse binaire et la conjonction de la pommade, de son excitation, la projettent à nouveau dans la folie !

— Je jouiiiiiiis, je brûuuuule, je suis baiséééééée, j’aiiiiime ! Encoooooorrre, plus fooooort, plus loiiiiin, Ouiiiiii !

Et la ronde des jouissances recommence avec sa folie, son avidité, une jouissance en demande une autre, puis une autre, sans arrêt jusqu’à ce que MII ressente dans son fondement un liquide lui brûler les entrailles

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