4 - Les aventures d’Aurélie

Chapitre 4 - Vacances torrides
vendredi 2 octobre 2015
par  chris lafner
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Deux mois s’étaient écoulés depuis notre soirée avec Jade et Antony et nos emplois du temps n’avaient pu coïncider pour organiser une nouvelle rencontre. Je venais de changer de travail pour un poste d’assistante de direction pour un grand patron d’une société du CAC 40 et Jérôme enchaînait les déplacements dans le Nord de l’Europe où ses filiales scandinaves semblaient connaitre quelques difficultés.
Harassés de travail, nous étions tous les deux épuisés et nos soirées étaient plutôt sages. J’étais contente de mon nouveau job mais fraîchement embauchée je n’avais pas le droit de prendre de congés cet été.
Aussi quand mi-juillet mon boss me convoqua dans son bureau pour m’annoncer que finalement il souhaitait que je prenne deux semaines de vacances en son absence début août ce fut une réelle surprise et une grande joie.
—  Mais je croyais que vous souhaitiez que j’archive vos dossiers ? avais-je répondu.
—  Vous ferez cela à la rentrée.
—  Mais je ne pense pas que j’aurai le temps.
—  Ecoutez Aurélie depuis deux mois que vous travaillez pour moi je suis très content de vous et je m’aperçois que je vous sous-emploierais à faire de l’archivage. Alors compte-tenu de la teneur de certaines infos vous l’effectuerez mais vous vous ferez aider par l’assistante de Bréal le directeur financier. En attendant je vous offre deux semaines de vacances du 2 au 16 août.
Je prévenai immédiatement Jérôme de cette nouvelle donne.
—  On pourrait aller en Italie, avais-je proposé de but en blanc au téléphone, je rêve de retourner dans ce pays.
—  On verra cela ce soir, m’avait-il répondu assez froidement.
La soirée venue, nous étudiâmes les différentes destinations possibles mais Jérôme balayait tous mes souhaits d’un « trop loin », « j’y suis déjà allé », « on va se faire chier ». La discussion s’enlisait et il commença à trifouiller son portefeuille et sortit une carte.
—  Et si on voyait ce qu’Antony nous propose ?
—  N’importe quoi, tu ne connais ni les dates ni l’endroit.
—  Bah, si on ne demande pas, on ne saura jamais.
—  Appelle-le alors.
Il s’exécuta immédiatement. Je quittais la pièce agacée par ce nouveau caprice et allais me réfugier sous la douche. À mon retour j’entendis juste la fin de la conversation : « Ok, on arrivera donc le 3 août dans l’après-midi pour repartir la semaine d’après. »
Il raccrocha l’air satisfait :
—  Les dates coïncident, du moins pour une semaine. Alors voilà ce que je te propose : on passe une semaine là-bas à jouer et après on se fait une semaine en Italie.
—  Où est leur maison ? interrogeais-je.
—  A 40 kilomètres de Nice dans l’arrière-pays, une grande baraque de 200 m2 avec piscine et mur d’enceinte pour échapper aux regards indiscrets.
—  Mouais… et c’est quoi le concept exact de la semaine ?
—  La même thématique que notre soirée au club. Fais-moi confiance, je sais que tu aimeras. On a besoin de s’éclater, non ? Cela fait deux mois qu’on se touche à peine.
—  Précisément, j’ai envie de temps avec toi et avec toi seulement.
—  C’est pour cela qu’on part en Italie juste après. On sera à quelques kilomètres de la frontière ; on loue une voiture et cap sur Rome, Venise, Florence, comme ça tout le monde est content.
—  Ok, je vais réfléchir, avais-je répondu.
Le lendemain matin, lassée par les relances de Jérôme je donnais mon assentiment du bout des lèvres :
—  J’aime le sexe mais je ne suis pas du tout certaine que c’est ce dont nous avions besoin. Je te dis oui mais à une condition : si je sens que c’est pourri on se casse en Italie dans l’heure et sans conditions, ok ?
Deux semaines plus tard, nous franchissions le portail de la Villa Gardner. Ce fut Antony qui nous accueillit.
—  Vous arrivez plus tôt que prévu. Tant mieux vous allez pouvoir vous installer tranquillement, les autres sont partis faire une balade en vélo. Suivez-moi je vais vous montrer votre chambre, dit-il en me prenant d’office mon sac.
Nous passâmes devant la piscine encore plus belle que sur les photos que m’avait montrées Jérôme. Nous pénétrâmes dans un grand salon meublé d’un gigantesque canapé circulaire puis empruntâmes un escalier.
—  Les chambres sont toutes à l’étage, chacune a sa salle de bain individuelle. Voici la vôtre, la rouge, Marina et Thomas occupent la bleue, Jade et moi la blanche. La verte c’était celle de Patrick et Marie mais ils ont dû partir hier à cause de la mère de Marie. On ne sera donc que six… Je vous laisse vous installer et vous changer. Je vous retrouve au bord de la piscine dans 10 minutes pour le briefing.
Notre chambre était meublée avec goût. Comme son nom l’indiquait le rouge dominait : murs ocres, lit King size rouge, tablettes de chevets style provençal relookées de façon contemporaine. Seul point faible, nous n’avions pas la vue sur la piscine. Mais peu importait... Nous déballâmes rapidement nos affaires, enfilâmes un maillot et retrouvâmes Antony à la piscine. Il nous attendait avec des coupes de Champagne rosé.
—  Je suis ravi que vous ayez finalement accepté d’être des nôtres, dit-il en nous tendant nos verres. A votre santé… J’ai donné à Jérôme quelques indices sur les règles de la villa mais je reconnais ne pas avoir été très précis. Alors en attendant le retour des autres, je vais vous les détailler. Je commence par la plage horaire dite privée. Elle est comprise de 1 heure du matin jusqu’à 17 heures. Privée cela veut dire que vous êtes libres de faire ce que vous voulez tous les deux : dormir évidemment, faire des câlins à deux, visiter les alentours, faire du sport, du vélo comme ce que font les autres en ce moment, bref tout ce que vous voulez. A partir de 17 heures commence la phase jeu ce qui signifie en clair que tout le monde reste en bas : cuisine, piscine, salon. Les chambres sont fermées. Elles sont rouvertes à 1 heure et là chacun rentre chez soi. Dès que la phase jeu commence la règle de base est la suivante…
Il marqua une pause et me fixa avec un sourire :
—  Jade, Marina et toi, êtes nos esclaves. Vous ne pouvez vous dérober à aucun de nous. Petite précision, vous êtes chacune l’esclave des deux autres hommes que le vôtre. Il existe cependant une exception : Thierry aura le droit de te toucher mais dans le cadre d’un double assaut genre je te pénètre et tu le suces. Il en est ainsi pour chacune d’entre vous...
Il prit une gorgée de Champagne.
—  Est-ce que c’est clair ?
—  Oui, très, dis-je avec un sourire un peu figé.
—  Bien, je vais maintenant rentrer dans les détails. En général, de 17h à 19h on joue autour de la piscine sauf s’il pleut comme hier mais bon aujourd’hui par exemple il fera encore très chaud dans une heure. Donc à partir de 17 heures, tu laisses ton maillot de bain de côté et tu vois ce qui se passe. Tu pourras être sollicitée dès 17h 01 ou tu seras laissée tranquille jusqu’à 18 heures ou un peu plus tard, tu verras bien. En ce qui concerne les hommes, en général on est en maillot mais si tu souhaites être nu, Jérôme, tu peux.
—  A partir de 20 heures les femmes ont 30 minutes pour s’apprêter pour la soirée. Donc exceptionnellement les chambres sont rouvertes mais interdites aux hommes. Ce qui signifie que Jérôme tu dois prévoir de stocker des affaires dans le placard près de la cuisine. D’ailleurs c’est là que se trouve également la réserve de préservatifs, dans le grand bocal noir… Voilà je crois que je n’ai rien oublié.
—  Parfait, dit Jérôme.
—  Ah si, reprit Antony, Marina et Thomas nous ont demandé une faveur et comme elle est dans l’air du temps, nous avons accepté de nous y plier.
—  Et c’est ?
—  Sexe intégralement épilé pour tout le monde. J’espère que ça ne vous dérange pas. Enfin toi Aurélie, de mémoire tu n’as pas grand-chose à raser. Pour toi Jérôme ça changera un peu plus mais tu verras c’est plutôt agréable finalement. Il est 16 h 10, il vous reste 50 minutes pour vous préparer. A tout à l’heure…
Nous remontâmes nous préparer. Jérôme me prit dans ses bras.
—  Alors ma chérie, le programme te plait ?
—  Je crois. Tu ne m’avais pas tout dit, répliquais-je avec un air mi-boudeur mi-complice.
—  Tu savais très bien à quoi t’attendre. Arrête de me faire croire que tu ne kiffes pas.
—  Je n’ai pas dit ça mais tu me connais j’ai toujours un peu de mal à me lancer mais après une fois que c’est parti, c’est parti.
Jérôme passa sa main dans le creux de mon pantalon et me susurra dans le creux de l’oreille :
—  Considère que c’est parti petite chienne.
Pendant que j’achevai d’ôter toute pilosité sur mon sexe, j’entendis des voix au loin. Les autres venaient de rentrer. LIRE LA SUITE

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