Je, donneuse de plaisirs
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Je n’ai jamais connu mon père, qui nous a quitté ma mère et moi, quelques jours après ma naissance. Et courageusement, ma mère qui pendant ma grossesse avait dû arrêter le travail, avait retrouvé une place dans laquelle très vite elle avait connu plusieurs promotions consécutives. Elle parvint donc, avec l’aide d’une tante devenue veuve, à m’élever sans trop de problèmes. J’étais une bonne élève, et cette tante faisait tout pour me faciliter des études normales.
L’année de mes quinze ans, je connus coup sur coup deux véritables catastrophes qui modifièrent totalement ma vie. Au mois de mars, une leucémie foudroyante me priva de mon éducatrice. Puis, quelques mois plus tard, ma mère m’abandonna pour aller à l’étranger vivre avec son dernier amant. Il faut dire qu’un soir je les avais surpris dans leur chambre : Peter, l’amant de ma mère, était occupé à sodomiser celle-ci qui poussait de grands cris de plaisir. Ces cris m’avaient alerté, et quand craignant un malheur j’entrai dans leur chambre, ce fut pour apercevoir ma mère qui à quatre pattes sur le lit recevait de son amant des hommages qui me sidérèrent. Je poussai un cri de surprise, ma mère tourna la tête et m’aperçut. Je pris immédiatement la fuite, mais au petit déjeuner, j’eus droit à une scène de colère de ma mère qui m’annonça froidement que j’aurais désormais à vivre seule. Elle allait partir pour le Canada où Peter disposait d’une grande maison et d’un excellent emploi. Mais ma mère préférait ne plus me voir, honteuse sans doute du spectacle qu’elle m’avait offert. Elle m’abandonnait la petite maison où nous vivions et une somme d’argent qui me permettrait de survivre quelques mois. Elle me donna aussi une adresse, celle d’une ancienne amie, qu’elle avait fréquentée lors de ses études, et qu’elle croyait gérer un établissement dans lequel elle s’occupait de jeunes filles, abandonnées dans la vie. Ma mère me confia une lettre destinée à cette dame à qui elle demandait de bien vouloir prendre soin de moi jusqu’à ma majorité.
Quelques jours plus tard, j’eus avec cette dame une conversation téléphonique qui allait orienter ma vie vers un métier dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Nous étions au début des grandes vacances, et l’année suivante je devais en théorie décrocher mon bac. La dame, très gentille au téléphone, m’invita à venir la voir afin de discuter avec moi de mon avenir. Sans méfiance aucune, je pris rendez-vous avec elle et la semaine suivante, munie d’une petite valise, je me présentai chez elle. Par chance, elle n’habitait qu’à une vingtaine de kilomètres, et un train me déposa à deux kilomètres de sa maison. Une voisine m’avait promis de s’occuper quelque temps de la villa de ma mère, et ce fut l’esprit libre que je sonnai à la porte. Une jeune fille, qui devait avoir à peu près mon âge, habillée comme une soubrette, vint ouvrir et m’amena à sa patronne. Julia, c’était son nom, était âgée d’une quarantaine d’années. Elle était blonde, vraie ou fausse, je ne le découvrirais qu’un peu plus tard. Elle avait un regard souriant, était encore jolie. Mais elle avait de grands yeux noirs, perçants, qui ne manquèrent pas de m’effrayer. Elle me fit entrer dans sa demeure, plantée au milieu d’un parc entouré de murs épais, enlevant aux éventuels curieux toute possibilité d’apercevoir quoi que ce soit. Le bureau où je pénétrai était très vaste, magnifiquement meublé. Julia s’assit sur son siège et m’ordonna de rester debout, face à elle. Elle me demanda mon âge, et je lui répondis que j’allais avoir seize ans. Elle parut alors satisfaite, et continua à me questionner. Ma mère lui avait sans doute communiqué mon prénom, et immédiatement elle me tutoya
« Ta mère était une excellente amie, très chère à mon cœur durant les années où nous étions condisciples. Je vois que tu as hérité d’elle sa grande beauté. Je connais tes problèmes, et en souvenir de ta mère suis disposée à t’aider. Mais il faut que tu saches que j’exigerai de ta part une obéissance absolue, quoi que je te demande. Si tu acceptes de te laisser mener par moi, je ferai de toi une femme comblée. Ici, neuf jeunes filles de ton âge sont en cours de formation, et leur avenir est déjà pratiquement réglé. Je puis aussi régler le tien, mais il faudra que tu me signes un document témoignant de ton accord pour suivre ici des cours durant deux années, comme l’ont fait tes futures collègues. Mais à côté des cours habituels destinés à te permettre de passer ton bac, tu découvriras d’autres cours qui te seront à l’avenir bien plus utiles. Tes collègues qui toutes vont entamer ici leur seconde année se feront un plaisir de te renseigner à ce sujet. Elles se chargeront aussi de te faire connaître le règlement de la maison, un règlement que tu devras respecter aveuglément, car la moindre faute de ta part sera impitoyablement réprimée. Christine, la plus ancienne de mes élèves, va maintenant te prendre en charge et te faire découvrir en quoi consiste cet institut. »
Ce premier contact me rassura. Madame Julia avait l’air d’une personne posée en qui l’on pouvait sans doute avoir confiance. J’allais vite déchanter. Alors que je croyais avoir à ma disposition une chambre, je fus emmenée dans un vaste dortoir où m’attendaient huit autres filles. A ma grande stupéfaction, elles étaient toutes nues. Évidemment, toutes étaient jolies, mais étaient aussi très jeunes. Je commençais à me poser de plus en plus de questions, mais très vite je fus prise en mains par mes futures condisciples. En un clin d’œil, elles me déshabillèrent. Il me fut impossible de résister. Une fois nue, elles me couchèrent sur un des lits, et sans attendre, m’examinèrent de la tête aux pieds, me faisant de nombreux compliments sur ma beauté, me caressant la poitrine, et allant même jusqu’à m’embrasser les seins. La chose était plaisante, et je ne fis rien pour me défendre. Après un long moment d’inspection, elles me retournèrent sur le ventre et commencèrent l’inspection de la partie arrière de ma personne. Deux élèves écartèrent mes fesses et sans se gêner le moins du monde, inspectèrent la partie la plus intime de ma personne. Le commentaire me remplit de honte...et d’effroi.
« Joli cul, qui connaîtra beaucoup de succès. Mais il me semble bien étroit. Nous allons arranger çà ! »
Une troisième fille apporta un petit engin métallique, le graissa et le présenta à mon anus. Je fis mine de me rebeller, mais elles étaient trop nombreuses, et je ne pouvais me défendre. Celle qui semblait mener la petite bande se mit à rire et me gronda
« C’est pour ton bien que nous devons placer en toi cet étrange compagnon que tu porteras désormais comme nous toutes ici. Regarde ! »
Toutes les filles s’étaient retournées et écartant leurs fesses me firent vérifier qu’elles portaient toutes dans le cul un engin pareil à celui qu’on tentait de m’introduire. Effectivement, chaque anus était muni d’un rosebud. C’était le nom de cet étrange compagnon. Très vite, le mien trouva sa place. La sensation était étrange, mais pas trop douloureuse. La meneuse constata ma grimace et me sourit
« Ne crains rien. Comme nous toutes, tu finiras par aimer la chose, surtout lorsque pour la première fois, Madame offrira ton cul à l’un de ses nombreux amis. »
Elle claqua des doigts, et toutes les filles retirèrent d’entre leurs fesses le petit engin métallique qui s’y trouvait. Et je vis avec stupeur qu’une fois l’objet retiré, leur anus restait ouvert, comme prêt à l’emploi. La meneuse reprit
« Alors, qu’en penses-tu ? Toutes ici avons été plusieurs fois prises par là, et tu le vois, nous n’en sommes pas mortes. Et notre cul est désormais toujours prêt à l’emploi. Mais je vais profiter de l’occasion pour t’accorder une friandise que tu apprécieras certainement. »
Elle fit un signe, on me recoucha sur le ventre après avoir placé sous celui-ci un gros coussin, on m’écarta à nouveau les fesses, on retira mon nouveau compagnon. Je sentis la meneuse se placer derrière moi et à ma grande stupéfaction, me glisser sa langue dans la raie de mes fesses. La sensation était agréable, bien que nouvelle pour moi. La meneuse insista et finit par pousser sa langue dans mon anus, applaudie par la petite assemblée. Un grand frisson me saisit, suivi d’un étrange tremblement. LIRE LA SUITE
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