Agnes retrouvée devient esclave de la bande des six

jeudi 24 décembre 2015
par  FRANKIE
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Récit fantasmé qui se veut une suite du récit de Marsajean intitulé « AGNES »

Lors de mon premier récit, je terminais en disant que « j’avais trouvé un emploi d’enseignante dans un pays suffisamment loin de chez moi pour que je me sente en sécurité, jusqu’à ce que mon propriétaire retrouve ma trace. » Oui ! Etonnant non ! Mais vrai ! Quelques mois plus tard, après mon enlèvement, puisque cela en fut vraiment un, je découvris petit à petit comment monsieur André mon ancien propriétaire s’y était pris pour découvrir où je m’étais réfugiée et de quelle manière pouvoir m’aborder ! Et tout cela je le découvris assez facilement, parce qu’aujourd’hui c’est lui et Emma, la concierge de l’immeuble, ainsi que les 4 autres personnes de la bande des six, qui ont exigé de moi que je relate ma vie actuelle parmi eux comme esclave ; comment avais-je pu en arriver là ? Pendant dix ans, j’avais été en quelque sorte soumise à mon mari (il n’avait pas voulu que je travaille, et par paresse, j’avais une vie tranquille ) ; lorsque la bande des six s’en est pris à moi, je n’étais pas contente du tout, mais en fait je me suis laissée faire, sans me révolter, manifestant déjà à ce moment-là un instinct de soumission ; c’est la violence de nos ébats sexuels qui m’a incité à fuir ; mais maintenant je suis une esclave consentante ; je remercie Maitre André et Maitresse Emma de m’avoir poussé à découvrir un instinct de soumission caché en moi.
Reprenons depuis le début : En rentrant de vacances, l’ancien propriétaire, quand il constata que j’avais profité de son absence pour disparaitre sans laisser d’adresse ( j’étais effectivement bien loin), fut grandement contrarié, et éclata de colère, et il s’en prit à Emma la concierge qui ne m’avait pas assez surveillée ; celle-ci déjà très contrariée aussi de mon départ intempestif, ne savait que lui dire pour se défendre, sinon qu’elle avait eu plus de boulot à cause des vacances, et donc qu’elle n’avait pu quitter ce dernier pendant la journée pour me surveiller ; ce n’est que le soir, pensant que j’étais resté confinée chez moi pendant la journée, qu’ elle sonna à ma porte ; bien entendu personne ne lui répondit ; à la nuit elle constata qu’ il n’y avait aucune lumière chez moi ; et le lendemain, après avoir interrogé les voisins, elle se rendit compte que j’avais vraiment disparu ; elle aurait voulu en avertir le propriétaire, mais par chance pour moi, cette année-là, il avait oublié de lui laisser ses coordonnées où le joindre. Quelques jours après, Emma rencontra le facteur, c’était un remplaçant pour l’été, mais elle avait remarqué qu’il était très observateur ; elle lui demanda donc s’il m’avait vu ces jours-là ; il lui répondit oui, et même qu’il m’ avait remis une lettre qui m’étais destinée sur laquelle était marquée « rectorat » avec un nom à côté mais illisible car caché par une étiquette du ministère ; ce n’est que plus tard qu’il l’avait rencontré, elle, et lui avait remis le courrier destiné aux gens de l’immeuble.
« Oh, la salope » s’écria la concierge ! Mais pourquoi lui avait-vous remis ce pli ? C’est à moi qu’il fallait le remettre avec le reste du courrier !« Le facteur vexé et mécontent de cette réflexion lui répondit : » Ce courrier lui était adressé à elle personnellement, et à ce que je sache vous ne faites pas partie de la police !" et il continua immédiatement sa distribution.
Ce fut le début d’une brouille entre la concierge et le facteur. Début septembre, la bande des six se retrouva dans ce qui était mon appartement, histoire de se remettre dans le contexte de qui j’étais, peut-être trouver des indices physiques (j’avais pourtant vidé mon appartement de tout souvenir) mais surtout se rappeler de quelques informations que j’aurais laissé lors des nombreuses années que j’avais vécu dans cet immeuble. Le proprio m’avait demandé, lorsque j’étais allé le trouver pour obtenir de lui des délais de paiement, si ma famille ne pouvait pas m’aider, je lui avais révélé la rupture avec elle, et son éloignement dans un département situé à environ 300 kms à l’ouest de la France ; André le syndic se rappelait une visite que je lui avais faite pour un problème d’immeuble, et j’avais été amené à lui dire que j’étais enseignante ; ce que semblait confirmer la lettre que j’avais reçue du rectorat. Et Emma se rappela que lors des rares fois où nous nous parlâmes, après la disparition de mon mari, elle m’avait questionné si je recherchais du boulot, et je lui avais répondu que je cherchais un poste d’enseignante qui me permettrait de me rapprocher de ma famille. Avec toutes ces informations, ils en conclurent de se renseigner auprès d’un rectorat qui se trouverait à l’ouest de la France à environ 300 kms. Le proprio se chargea de mener son enquête en téléphonant aux rectorats susceptibles de m’avoir embauché ; c’est ainsi qu’il apprit du rectorat xxxx qu’effectivement j’avais fait une demande d’embauche et que j’avais été nommée dans la petite ville yyyy comme enseignante d’histoire, ville proche du lieu d’habitation de ma famille. Avec tous ces renseignements, le proprio appela le principal du collège de la ville où j’avais été nommée, lui demanda si madame Agnès V était bien depuis quelques années professeur d’histoire dans son établissement ; fort de cette confirmation, il manifesta de l’émotion en disant au Principal que sa fille venait de mourir, que madame Agnès V. était une nièce pour lui, dont sa fille avait été proche, mais les liens entre elles avaient été distendues du fait de leur éloignement au moment d’entrer au collège ; compatissant le Principal, nonobstant toutes les règles édictées par l’Education Nationale, donna au proprio mon adresse, mes horaires de classe sur la semaine, et quand il avait le plus de chances de me trouver. Le proprio demanda au Principal de bien ne rien vouloir dire à madame Agnès V du décès de sa cousine, car il voulait lui-même lui annoncer le décès avec ménagement. Le Principal l’assura de son silence jusqu’au retour de madame Agnès V après les obsèques. Ce qui fait que ce dernier ne sut jamais rien de mon enlèvement, car au vu de mon arrêt de travail (dont je vous parlerais après) il a attribué ce dernier au choc de l’annonce du décès, et quand il constata que je ne revenais pas, il ne pouvait se renseigner auprès de personne, puisque mon propriétaire, toujours très malin, ne lui avait pas donné ses coordonnées postales ou téléphoniques, ni même son nom réel !
Sur ce, avec l’accord des quatre autres de la bande, le propriétaire et la concierge décidèrent de venir me chercher, en rentrant par surprise dans mon appartement, et de me ramener immédiatement pour faire de moi une esclave à vie de la bande des six. Un mardi de septembre, peu de temps après la rentrée des classes, vers 9 h du matin, je suis chez moi, n’ayant cours que l’après-midi ; appel par le digicode aux bas de l’immeuble ; je réponds :
Une voix masculine courtoise et charmante :« bonjour madame ; excusez-moi de vous déranger ; vous êtes bien madame Agnès V. ? »
Je réponds « oui » un peu intriguée mais sans trop ;
Il continue « je suis un ami de votre mari, que j’ai rencontré il y a peu ; il a su, lors d’un retour ponctuel dans votre ancien lieu d’habitation que vous aviez émigré dans cette ville, je ne sais comment il l’a appris, et comme de par mon travail de commercial, je me déplace souvent dans votre région, il m’a demandé, au nom de notre amitié, si je pouvais venir vous délivrer un message de sa part. »
« Comment avez-vous eu mon adresse ? »
« C’est lui qui a pu découvrir, je ne sais comment, que vous étiez enseignante au collège de cette ville, et qu’il a obtenu votre adresse par le Principal du collège ; » et il enchainait aussitôt « Je comprends que vous soyez surprise d’une telle démarche, mais soyez sans crainte, notre rencontre sera brève, car je ne viens que vous délivrer un message de votre mari, qui ne demande pas une réponse immédiate, mais par souci de confidentialité je ne peux le transmettre comme cela dans la rue. »
Rassérénée, je lui ouvre la porte d’en bas de l’immeuble et lui indique l’étage où j’habite. Quelques secondes après, bruits de pas dans l’escalier, puis coup de sonnette. J’ouvre, mais Oh, surprise stupéfiante, je n’ai le pas temps de crier, le « Oh mon dieu » s’éteint dans ma voix, que mon ancien proprio me colle un bâillon avec boule dans la bouche, et que mon ancienne concierge me place un collier de chienne autour du cou, collier auquel est accrochée une laisse !!!
La concierge prend la laisse en main pour bien me maintenir, et avant que je n’ai pu ouvrir la bouche, elle m’apostrophe :
« Alors ma salope, toi une enseignante tu te conduis comme une trainée sans foi, ni loi ; tu laisses ton ancien propriétaire avec plusieurs mois de loyers en retard, et tu te sauves alors qu’il t’avait laissé un délai de paiement après que tu t’étais engagé à honorer tes dettes intégralement ; et en plus il t’avait fourni un travail !! Ma salope, tu pensais que tu pouvais disparaitre comme cela, en laissant notre proprio avec un trou dans sa caisse ! Mais il y a une justice qui existe quand même ; on va t’expliquer comment cela se passe. Auparavant, on va te promener petite chienne, heureux de t’avoir retrouvée : mets-toi à quatre pattes, tu ne t’agites pas, mais tu fais tranquillement le tour de ton appartement pour me le faire visiter ; mais attention aux coups de laisse si tu ne fais pas comme je te dis ; allez en route, petite chienne désobéissante. »
Je ne dis rien et obtempérais, pensant répondre après à condition que le puisse , et ainsi elle me fit faire cinq tours de l’appartement à quatre pattes, toujours bâillonnée pendant lesquels elle faisait ses commentaires assez forts : un appartement avec une belle vue sur la campagne environnante, mais un appartement pas pratique, un deux pièce, même pour une femme seule ; et un appartement mal tenu par sa locataire, qui se laisse aller, qui a besoin de quelqu’un pour l’éduquer maintenant que son mari est parti ; beaucoup de paroles pour meubler le temps et pour m’humilier (heureusement que les voisins étaient au travail).
Revenues dans le salon, elle me dit, me tenant toujours en laisse :
« lève-toi, tiens-toi droite ! Dis- moi est-ce que tu as une culotte ? »
Je lui fis signe que oui avec ma tête ;
« Bon, relève ta jupe et montre-la nous » ;
Je relevais ma jupe, de telle façon qu’elle voit bien ma culotte ;
« Eh bien, madame l’enseignante désobéissante, cela mérite une fessée. Mais d’abord enlève-la et donnes-la moi ». Ce que je fis aussitôt ; elle me la prit des mains, puis me la fourra dans la bouche, en enlevant auparavant le bâillon que j’avais, mais très vite de façon à ce que je ne puisse pas prendre la parole ;
Puis « reste avec ta jupe levée, mais tu te tournes et te mets face à André ton proprio, les yeux baissés devant ton maitre (depuis le début, il s’était assis et n’avait pas »pipé« mot, laissant la concierge opérer) ; Tu sais, il a hâte de faire joujou avec toi. »
Je me retournais sans rien dire ; et André me déclara« ma belle salope, tu as toujours un beau minou ! »
Puis la concierge :« retourne-toi et enlève tous tes vêtements » ce que je fis prestement ; puis « vient te mettre en travers de mes genoux, que je te donne la fessée que tu mérites. »
Je m’étendais sur elle comme elle l’exigeait ; ensuite : « je vais te frapper en te donnant 30 claques ; après chaque claque, tu compteras le nombre de claques en ajoutant : merci Maitresse, je mérite cette fessée car moi enseignante, je me suis conduite comme une petite fille désobéissante ; tu prends ton temps et tu prononces toutes ces paroles ; nous ne sommes pas pressés, notre rendez-vous avec toi chez le médecin, ami d’André, n’a lieu qu’à 10 H 30 ». LIRE LA SUITE

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