L’esclavage d’Amélie
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Elles roulaient en silence sur une route rectiligne comme il peut parfois en exister. Une longue ligne droite qui zébrait le paysage traversant la vallée de part en part.
De part et d’autre de la vallée, n’était qu’une furieuse nature de montagnes aux roches à nus sur lesquelles zigzaguaient des langues de neige qui n’avait pas fini de fondre sous le soleil printanier.
Amélie, la passagère, qui avait gardé jusque-là une moue songeuse se tourna vers sa sœur Selma.
— Tu sais, j’ai bien réfléchi à ce que tu m’as dit hier. Et je suis d’accord. D’accord sur tout ! Je suis prête à vivre comme tu l’exigeras, à vivre cette expérience totale que tu m’as proposée.
Selma laissa passer un long silence. La ligne droite prenait fin et elle devait d’abord se concentrer pour aborder les virages qui se profilaient sous les roues de la voiture. Mais aussi, elle ressentait une joie sauvage d’avoir amené sa sœur à prononcer les quelques mots qu’elle venait d’entendre. Elle ne voulait encore rien laisser paraître. Après quelques instants qui parurent durer une éternité à Amélie, Selma lui répondit.
— Ainsi tu es prête à devenir une esclave, ma propriété, ma chose. Nous sommes bien d’accord pour dire qu’à partir de cet instant tu n’es plus rien qu’un animal à mon service, que j’ai tous les droits sur toi. Tu m’obéiras en tout et lorsque je serais mécontente de ma chose, je te punirai. Tu seras d’ailleurs moins qu’un animal.
— Oui, je sais. J’ai bien réfléchis et je sais que mon destin est de me confier à toi. Je suis masochiste, profondément masochiste et toi seule pourra me mener au paroxysme de la jouissance. Seule la douleur et l’humiliation me permettent de jouir.
Selma retint un sourire :
— Ne crains rien, je saurais m’occuper de toi.
Elle ralentit, mit le clignotant et s’engagea sur la droite dans un chemin de traverse. Elle roula encore quelques dizaine de mètres de sorte à n’être plus visible de la route et arrêta la voiture.
— Et je vais commencer à l’instant. Descend de la voiture. Tu te déshabilles entièrement et ensuite tu te couches sur le ventre sur le capot, jambes et bras écartés. Je ne veux pas t’entendre. Plus un mot. Tu obéis et c’est tout.
Sans une hésitation, comme si elle connaissait d’avance le rôle que lui faisait jouer sa sœur, Amélie défit sa ceinture, ouvrit la portière et sortit. L’air était encore froid en ce milieu de printemps.
Elle retira rapidement le manteau qui la couvrait qu’elle jeta dans l’habitacle, se saisit à la taille de son polo que d’un mouvement décidé elle passa par-dessus sa tête et qui finit lui aussi dans la voiture. Un frisson de froid la saisit mais elle savait qu’elle ne pouvait plus reculer.
Passant les bras dans son dos, elle dégrafa son soutien-gorge et dégagea ses seins. Deux splendides mamelles en formes de poires plantées haut sur le thorax. Ils étaient relativement gros et fermes et se balancèrent doucement lorsqu’elle fit le geste de déposer la pièce de tissus sur le siège douillet qu’elle venait de quitter.
Elle s’accroupit ensuite pour défaire la tirette de ces bottes afin de les retirer en s’appuyant sur la portière. Il ne restait plus que son Jeans et sa culotte qu’elle retira d’un mouvement. Elle se redressa alors, exposant son corps nu et frissonnant à sa sœur.
— Tes bas ! lui jeta-t-elle sur un ton sec qui n’attendait aucune réplique.
Elle les retira. Reposant un à un ses pieds sur le sol glacé, elle ne put retenir un petit grognement. Si l’air était froid, le sol n’avait pas encore dégelé de sa nuit.
Selma admirait cette grande fille nue devant elle. De longue jambes qui à la fourche des cuisses venaient enserrer les lèvres de la vulve qu’Amélie avait épaisses et qui ne pouvaient contenir les petites lèvres qui pointaient entre les deux comme deux petites languettes roses.
Les lèvres étaient dégagées de tout poil, épilation à la cire. Selma n’avait jamais vu faire sa sœur, mais elle voyait très bien l’appareillage nécessaire dans l’armoire de la salle de bain.
Un petit triangle de poils pubiens subsistait à partir de l’extrémité de la fente, là où les grandes lèvres se rejoignent et s’étalait soigneusement entretenu sur le pubis.
Selma préférait rester naturelle. Elle n’avait pas suivi l’exemple de sa sœur, ni de sa mère d’ailleurs, elle qui avait initié Amélie et qu’elle avait entraperçue un jour que la porte de la salle de bain était restée entrouverte. Sa mère était entièrement épilée et c’est avec une trouble émotion qu’elle avait aperçu les grandes lèvres épaisses et molles de sa mère qui pendouillaient presque à la fourche de ses jambes. Elle imaginait la bite de son père qui les écartait lorsqu’il la baisait.
Une pensée cocasse la traversa. Dire qu’en d’autres temps, elle était passée entre elles. En même temps, elle n’aimait pas trop cette nudité vulvaire voyant cela plutôt comme un déballage de viande mais sans doute que son père appréciait-il le con nu de sa femme et c’était à lui que ça devait plaire.
Elle avait aussi la chance, se disait-elle, d’avoir une toison intime peu fournie et les ébats qu’elle avait pu avoir avec l’une ou l’autre de ses amies, elle était lesbienne, ne l’avait jamais incitée à s’épiler. A la réflexion, elle aimait l’odeur que peuvent prendre les poils lorsqu’ils sont restés enfermés dans une jolie culotte de dentelle pendant une petite journée. Le sexe des filles qu’elle avait léché lui paraissait alors plus gouteux sans oublier que quand elles se frottaient l’entrejambe l’une l’autre, les poils massaient de manière très subtile leurs clitoris respectifs.
Perdue un moment dans ses pensées, elle eut le regard attiré par le mouvement que faisait Amélie en venant se positionner devant le capot du véhicule et qui se pencha jusqu’à venir écraser ses seins dessus. Elle gigota quelques instants pour bien écarter ses jambes et étendit ses bras vers les ailes. Elle posa sa joue sur la tôle encore chaude. Elle tenait la pose exigée et sans plus bouger attendit le bon vouloir de sa sœur.
Selma jouissait de voir sa sœur ainsi disposée, les cheveux épars, les seins aplatis sous le poids du corps, les fesses qui pointaient vers le haut. Elle imaginait sans peine le spectacle qu’Amélie aurait offert à un promeneur qui venant dans son dos aurait eu une vue impayable sur le cul ainsi exhibé, sur ses fesses, son anus et sa vulve. Amélie rouge de honte s’offrait et palpitait.
Chaudement enveloppée dans son manteau, Selma sortit de la voiture à son aise.
Dans le coffre, elle se saisit du couteau de chasse qui s’y trouvait en permanence.
Elle s’enfonça dans la futaie jusqu’à trouver un noisetier dont elle coupa un belle branche épaisse à sa base comme un doigt, qu’elle effeuilla calmement et dont elle entreprit de retirer l’écorce en prenant son temps sans se soucier de sa sœur qui sous l’action du froid et de l’humidité du sous-bois commençait à grelotter. La chaleur du moteur s’était dissipée et plus rien ne la protégeait de l’air vif.
Selma revint en faisant de grand geste avec la baguette qui faisait siffler l’air. LIRE LA SUITE
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