24- Scène et Giton
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Personnages : Axel Philippe La mère
Sous sa robe, Geneviève ne porte aucun sous-vêtement, pas même un string. Son pubis et sa fente sont épilés avec un soin évident. Sa vulve est large, avec des petites lèvres quasiment aussi apparentes que les grandes. Elle doit se faire baiser comme une dingue, avec une chatte pareille. Sous ses airs de grande bourgeoise très bon chic bon genre, elle doit surtout être une belle salope. Maintenant que je l’étudie depuis un moment, je lui trouve une ressemblance surprenante avec une ministre dont je n’ai plus le nom en tête. Une ministre avec les mêmes cheveux gris, presque blancs, et ce long nez busqué, que j’ai vu plusieurs fois à la télé. Mais je n’ai pas le temps de l’identifier, que déjà sa main impérieuse vient empoigner mes cheveux pour me contraindre à l’avaler, ma bouche plaquée contre son sexe humide. A quatre pattes, les mains posées à plat sur le tapis, je me mets à laper sa fente humide et odorante. Cul relevé, j’ai le sentiment dégradant de me présenter devant elle dans une position terriblement humiliante. Elle devine ce que je ressens, car elle choisit ce moment pour s’adresser à ma mère, revenue de la cuisine.
— Il n’a vraiment aucun amour propre, ton gamin. C’est une vraie lavette !
Par son silence je comprends que maman acquiesce. A-t-elle vraiment le choix ? Entre mes cuisses, mon sexe se tend un peu plus, chaque fois que l’on me méprise, comme cette grande bourgeoise sait si bien le faire avec moi. Je suis surpris par le goût de sa vulve, mais je continue imperturbable à fouiller de ma langue tous les recoins de son intimité de femme excitée.
C’est ensuite qu’elle glisse sa jambe entre mes cuisses pour venir en contact avec mon sexe gonflé. Je voudrais pouvoir me frotter comme une chienne impuissante contre son genou. Tout en continuant à lui laper sa fente, je bave à la fois d’envie, mais surtout de frustration. Dressé sur mes genoux je me contente de serrer mes cuisses, j’ai trop envie de me caresser doucement le bas ventre contre sa jambe. Emportée dans un tourbillon de plaisir je suis persuadé qu’elle ne dirait rien. Mais je sais trop que je n’ai pas à décider, et qu’il me faut attendre l’ordre, comme un beau soumis que je suis. La réaction de Geneviève peut être imprévisible, et violente. Je dois attendre qu’elle décide.
— Salope ! Tu meurs d’envie de te branler comme une chienne, hein ?...
Cette femme devine tout, comme si elle détenait le pouvoir de lire dans mes pensées.
J’assiste à la scène avec intérêt, très satisfait de la petite surprise que j’ai organisé pour mes invités. Ce sont de vieux amis, et depuis qu’Hugues s’est lancé dans la politique, il y a quelques années maintenant, je l’ai toujours aidé financièrement. En même temps, je lui fournis, à lui et à son épouse, régulièrement de la chair fraiche. Car tous les deux, avec l’âge, sont devenus de grand amateur de jeunes beautés masculines.
Devant moi, Geneviève se lâche complètement. Chez moi, elle sait qu’elle peut tout se permettre. La robe retroussée sur le ventre, elle exhibe sans aucune pudeur sa vulve hypertrophiée par des années de libertinage. Même si elle s’est faîte baisée par n’importe qui, elle a définitivement jeté son dévolu sur les éphèbes depuis qu’elle a passé la cinquantaine. Et ce soir, elle peu en disposer d’un, que je lui offre, avec une certaine satisfaction. J’aime cette grande bourgeoise, dont l’allure et le physique me fait penser à Christine Lagarde. Et je suis heureux de lui offrir pour la soirée, cette petite pute d’Axel. Qu’elle en dispose comme bon lui semble.
Elle se met à sourire en le regardant se tortiller sur sa jambe nue, comme pour chercher à se masturber dessus, très maladroitement.
― Salope ! Tu meurs d’envie de te branler comme une chienne, hein ?
Puis sur le ton de celle qui est habituée à se faire obéir, et à humilier des petites lopes comme mon jeune protégé, elle lui rappelle ce qu’il est à ses yeux : un esclave.
― Tu n’es pas là pour te branler, mais pour me servir.
Et pour le punir, elle lui écrase ses parties avec la pointe de son escarpin.
― Redresse-toi et montre-moi ce que tu caches sous ta jupe de putain !
Après avoir rempli les verres d’Hugues et Philippe, en épouse attentive et soumise, je suis allée me caler contre mon « époux » dans le canapé face à Geneviève. Philippe me fixe une laisse à mon collier, mais il me laisse profiter du spectacle. Je laisse par contre la main de son vieil invité se glisser entre mes cuisses, et commencer à me fouiller. Il a pris d’autorité la laisse que lui a tendue mon homme, pour me tirer à lui.
Mais j’ai du mal à quitter des yeux mon garçon. Je ressens une violente jalousie envers cette femme dont j’ignore tout, mais pour laquelle j’éprouve déjà une profonde aversion. Je devrais être à sa place, pouvoir être la maitresse de mon fils, et pas cette soumise spectatrice assise entre ces deux vicelards qui me pelotent comme une pute que je suis à leurs yeux. Mais j’entends Geneviève continuer, toujours plus ignoble avec mon garçon :
— Salope ! Tu meurs d’envie de te branler comme une chienne, hein ?
Elle insiste, avec cette pointe d’ironie et de sadisme qu’ont seules les femmes imbues de leur personne, de leur supériorité.
Mon petit Axel se tient debout sur ses genoux face à elle, son string ficelle baissé sur ses cuisses, sa petite jupette relevée sur son pubis. Elle continue, toujours plus abjecte :
— Supplie ta Maîtresse, Salope !
La voix d’Axel est presque inaudible, tellement son émotion est intense.
— Je vous en supplie Madame, m’autorisez-vous à me branler sur vous ?
Cette nouvelle humiliation imposée à mon fils, me transcende un peu plus. Je me redresse, les doigts d’Hugues me fourragent le ventre, pendant que Philippe me pince les seins échappés de ma robe. Geneviève continue. Elle mène le jeu.
— Alors vas-y masse ta « chatte » comme une chienne, là, devant moi. Et tu n’as pas intérêt à jouir sans qu’on je te l’autorise, compris ?
Pendant ce temps, les doigts d’Hugues s’agitent sur mon clito. Axel commence son solo. Sa main empoigne sons sexe pour commencer à l’agiter. Je vois dans son regard une intense excitation. Son souffle devient court et saccadé. Comme il n’a sans doute pas joui depuis ce matin, je sais qu’il peut très vite éjaculer. Mais, pour se soulager, il lui faut le sésame de cette Geneviève à qui il se donne tout entier. Cette caresse qui ne peut aller jusqu’au bout devient un supplice. Et je l’entends supplier :
— Je peux Maîtresse je vous en supplie…
Geneviève fait non de la tête, un petit sourire sadique au coin des lèvres.
— Continue de te branler et surtout ne jouis pas, pétasse ! Le plaisir est pour nous, pas pour toi !
Puis elle se tourne vers son mari qui se frotte à moi :
― Chéri, tu n’as envie de t’amuser avec ce garage à bites ?
Le regard d’Hugues reste perdu dans le vague alors, qu’il frotte sa queue démesurément enflée contre ma cuisse maintenant. LIRE LA SUITE
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