Les voyous du bâtiment C...

2° partie
dimanche 4 septembre 2016
par  Fannydeparis
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Claire retrouve ses esprits lentement ,d’abord la musique qui lui parvient du rap très fort , puis les odeurs de fumée ,de sueur, puis des voix d’hommes , des langues inconnues.
Elle se rend compte qu’elle est attachée, les yeux bandés, on vient de lui jeter un sceau d’eau froide. Des cris féminins lui font revenir de troublants souvenirs...Ses bras sont immobilisés dans son dos certainement fixé a un tuyau, elle est assise sur un minuscule tabouret, ses chevilles sont aussi entravées. Elle ne voit rien à travers son bandeau et quelque chose est enfoncé dans sa bouche la bâillonnant efficacement. Ses vêtements sont collés par la sueur et l’eau qui ruisselle, elle frissonne de peur et de froid. La voix féminine crie à nouveau, Claire repense à la pauvre blonde violée par ces douze hommes sans pitié.
Les sifflements de la cravache lui confirment ses doutes. Elle reconnaît les plaintes de la femme nue, puis la voix et les ricanements idiots de Moka le chef noir.
« Allez ma pute plus que trois à satisfaire et tu auras droit a une pause puis ont ferra connaissance avec la petite brune ta nouvelle compagne de débauche ! »
Claire tremble en comprenant sa terrible situation et son horrible avenir proche ...Elle tire sur ses liens se trémoussant sur le tabouret sans aucun résultat si ce n’est déclencher des rires moqueurs parmi l’assistance masculine. Deux nouveaux claquements de cravache la font sursauter, la pauvre blonde doit faiblir, Claire cesse ses gesticulations inutiles et dangereuses.
La musique s’arrête à nouveau, les bruits obscènes de succion remplissent la pièce accompagnés de râles masculins et féminins. L’un des inconnus photographie les scènes, il filme depuis le début l’agression de la jeune blonde réduite à sa plus totale déchéance.
Une odeur forte d’homme vient envahir les narines délicates de Claire, sueur et forte odeur corporelle, mêlée a des effluves de sexe mal propre lui font tourner la tête sur le coté, une gifle violente lui fait reprendre place et ne plus bouger.
« Pas bouger petite pute brune, sauf si tu aimes les coups ou la cravache ! » C’est la grosse voix grave de Moka qui est près d’elle, il promène sur la peau de son visage quelque chose de chaud, dur et flexible à la fois qui suinte et sent mauvais l’urine, le sperme et d’autres relents innommables.
Claire n’est pas une oie blanche, elle sait de quoi il s’agit, certains de ses petits amis avaient tenté cela mais la c’était bien pire, l’homme badigeonne maintenant son nez déposant un peu de liquide nauséabond. Elle essaye un léger recul qui est sanctionné aussitôt par une nouvelle claque.
Des larmes envahissent ses yeux verts sous le bandeau opaque, des larmes de douleur de rage de honte et d’impuissance. L’homme essuie son sexe dans la jolie chevelure brune agrémentée de petites mèches plus claires, il dépose son odorant jus visqueux...
« On va finir avec la blonde et on va s’occuper de toi, prépares toi ça va être ta fête ! Elle se prend Moktar le plus vicieux d’entre nous qui sera votre gardien ici et votre coach pour le stage ...Elle aura eu sa dose avec ses douze enculages, c’est un bon début pour sa première journée ! »
L’homme rigole en déchirant la veste de tailleur beige, tous les boutons sautent l’un après l’autre dévoilant un charmant sous -vêtement rose pastel pigeonnant.
La pauvre blonde gémit et supplie que sa torture cesse mais Moktar la défonce de plus belle, en ahanant comme un animal en rut...

Enfin l’arabe éjacule en poussant des cris de bête. « Tu peux me remercier maintenant salope ! »
Deux nouveaux coups de cravache s’abattent sur le postérieur féminin avant que la blonde ne cède, abandonnant toute fierté, en sanglotant elle remercie humblement tous ces violeurs.
Les hommes palabrent dans une langue inconnue des femmes, la blonde qui se nomme Marie est détachée et autorisée à se lever pour se rendre enfin aux toilettes et pour aller se laver sous le contrôle permanent du vicieux Moktar...
Les hommes fument une drogue odorante très courante parmi les jeunes de cites, ils rient de bon cœur certainement a des propos salaces sur leurs deux captives.
Le géant noir impose le silence, sa voix grave est puissante, il est habitué à commander depuis plusieurs années malgré son jeune âge. Visiblement il est un caïd puissant et respecté ici...
« Quand nos deux tourtereaux seront revenus, je vous présenterai Claire notre nouvelle participante désignée volontaire au stage intensif : de devenir une bonne gagneuse en 48h00 et dix leçons ! »
Terrorisée la pauvre brune enregistre les mots durs, ignobles, menaçants de Moka...Est-ce un mauvais rêve, un délire érotique ? Va t’elle enfin se réveiller de ce cauchemar. Les liens semblent bien réels, la position assise sur ce petit cercle de bois devient douloureuse...
Au bout de 10 bonnes minutes « les amoureux sont de retour »...
« Marie va mettre le collier de chien et la laisse a ta copine ! Puis tu retireras son bandeau à cette petite salope curieuse ! » La femme obéit promptement, elle est douce dans ses gestes, elle sent bon le savon et le parfum bon marché.
Claire retrouve la vue, son cou est paré d’un large collier de cuir rouge ou pend une laisse de métal torsadée d’un bon mètre cinquante. Ses chevilles sont détachées par Moktar qui la menace de la cravache. Elle ne bouge pas attendant un ordre pour se lever ou une tension sur la laisse.
L’homme très calmement délie les liens serrés dans son dos, Claire est presque libre mais entourée par les douze inconnus, la sortie étant inaccessible et bien gardée par deux géants d’ébène nus.
« Habib, sert donc un thé a la menthe a ces charmantes demoiselles, ta version spéciale, elles vont en avoir bien besoin dans les heures qui suivent, prévois en pour tout le week-end ! » L’homme prépare rapidement une boisson verte très fraîche, très douce et sucrée.
Les deux femmes sont obligées de boire un grand verre de cette préparation parfumée, le bâillon de Claire lui a été ôté juste avant, un bout de bois sculpté en forme de verge et entouré d’un tissu, la culotte noire de Marie. Pendant ce temps le chef a confisqué le sac à main, l’ordinateur, ainsi que le téléphone, il s’empare des papiers et fouille tout...
La musique de rap cesse, un slow langoureux et sensuel démarre, la jeune femme reçoit l’ordre de faire un strip-tease intégral sous la menace de la cravache qui siffle près d’elle.
« Fait nous bander salope blanche, excites nous à fond et appliques toi, c’est un conseil d’ami, tu as vu les traces sur l’autre pute ! »
Elle se met à danser lentement, sensuellement comme entraînée par le rythme, la tête lui tourne un peu, est ce la fumée des joints, est ce l’étrange tisane verte.

Ondulant doucement elle retire sa veste de tailleur déchirée. Malgré la chaleur dans la pièce, elle frissonne de tout son être. La musique la transporte loin, très loin de cet appartement sordide.
Elle s’imagine sur une superbe plage d’une île paradisiaque, presque déserte, avec juste quelques indigènes très beaux, très jeunes, tous dorés. Les habitants ne portent qu’un tout petit pagne, les hommes comme les rares femmes sont torse nu.
Tout en dansant elle défait la jupe beige de son tailleur qu’elle fait glisser au sol, la voici en lingerie rose. Ses mouvements se font plus lascifs, plus osés, elle mime un rapport imaginaire. Elle se trémousse sans retenue lançant son bassin vers les hommes dont les regards brillent de désir.
Elle caresse doucement son buste, jouant quelques instants avec ses seins tendus, gonflés. Sa main s’aventure vers la culotte visiblement tachée par son plaisir. Son doigt effleure la fente nettement visible à travers le tissu fin et trempé, elle gémit de désir impudiquement. Un nouveau plaisir enfle entre ses cuisses brûlantes, sa vulve s’ouvre sous la délicate caresse.
Comme à regret elle quitte son entre jambe pour désagrafer l’attache du soutien gorge pigeonnant qui comprime sa magnifique poitrine. Elle offre ses globes aux regards lubriques de tous ces hommes, qui la dévorent déjà, sexes bandés à l’ extrême ils se masturbent en la fixant.
Sa tête tourne de plus en plus , un vague malaise lui fait perdre les notions de la triste réalité ,elle perd tout contrôle ,au fur et a mesure de son déshabillage forcé ,elle commence a prendre un plaisir malsain a s’exhiber de la sorte devant cette meute déchaînée ,devant ces douze bêtes féroces...
Elle s’enfonce davantage dans son rêve d’une plage de carte postale idéale, elle hésite à peine quelques secondes avant de descendre lentement sa petite culotte rose maculée.
Une nouvelle dose de thé spécial est offerte aux filles par Habib, il semble plus fort cette fois, plus puissant, plus corsé...
La musique change elle devient plus saccadée Claire suit la nouvelle cadence, ses yeux grands ouverts sont légèrement vitreux ,elle sourit béatement devant l’assistance masculine qui lui adresse des mots ,des signes ,des gestes terriblement vulgaires et humiliants...Sur l’ordre de Moka ,la petite blonde Marie rejoint la danseuse nue au milieu du cercle d’hommes.
Elle commence par de légères caresses puis l’enlace et l’embrasse de force. La brune se défend mollement, elle résiste mais les attouchements vicieux ont atteint leur but, ravivant le feu du désir.
Elles ne sont pas lesbiennes ni bisexuelles mais devant l’ordre impératif du chef, elles doivent obéir, la cravache est toujours dans sa main droite...Pour le moment tout va bien, le géant noir à le sourire, un large sourire bien blanc, il est ravi de ce tendre spectacle féminin.
Il a donné comme consigne a Marie de chauffer a blanc sa proie mais sans jamais la faire jouir...! Son plan machiavélique fonctionne à merveille. Dans quelques minutes les filles seront tout a lui, elles lui mangeront dans la main et feront ses quatre volontés...Elles vont devenir ses choses, ses femelles, ses putains et seront prêtes a tout pour le satisfaire.
Toutes les scènes sont filmées et photographiées avec soin ,des vues d’ensemble ,des gros plans bien utiles en cas de chantage ou pour faire la publicité de ses filles , il a tout prévu ! LIRE LA SUITE

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