Mya, sa copine Nadia et l’amie de sa mere se perdent...
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Partie 1
Mya est majeure depuis quelques semaines, elle est de début juillet, c’est une jolie petite brune a la chevelure bouclée, légèrement mate de peau, des yeux verts pétillants de malice en amande, un petit nez retroussé et deux adorables fossettes qui creusent ses joues, la rendent vraiment craquante. Elle est fine, un peu plus grande que ses amies, une jolie silhouette avec des courbes délicates, toute en harmonie.
Un superbe sourire d’une blancheur parfaite, un maquillage toujours très discret, comme sa tenue légèrement sexy toujours de bon gout sont ses armes de séduction particulièrement efficaces.
C’est Christal qui conduit la petite fiat jaune, elle ressemble à Mya avec 20 ans de plus et des formes plus marquées et quelques kilos…Son style bourgeoise bcbg parisienne en font une avocate des plus appréciées parmi ses collègues masculins et féminins.
A l’arrière du petit véhicule urbain c’est Nadia, une amie de Mya, d’origine marocaine ou algérienne, moins jolie et plus vulgaire mais c’est grâce à elle que Mya a pu louer une salle dans cette banlieue inconnue pour fêter son anniversaire. C’est elle qui les guide depuis l’entrée dans cette vaste cité ou le GPS est muet, c’est un véritable labyrinthe.
La petite arabe est sympa mais pas très futée, Christal a l’impression de tourner en rond mais ici tout se ressemble, pas de monument, pas de riches magasins, que des bâtiments tristes et gris. Cela fait presque une heure, qu’elles sont parties de Paris, il n’y avait pourtant que 20 kilomètres à faire…Ce rond-point avec une sculpture de métal rouillé lui semble déjà vu. Ça commence à devenir inquiétant surtout que la population est bien différente des beaux quartiers parisiens.
Des gens de couleurs, des gens voilés, des asiatiques avec des regards curieux presque menaçants. Beaucoup de noirs, des clairs, des foncés, des arabes en tenue ou en civil vraiment de toutes sortes.
Nadia finit par reconnaitre qu’elle est perdue, elle a dû louper une rue…Un panneau annonce une impasse, ce n’est pas rassurant du tout. Elle propose de téléphoner à un ami qui habite ce grand ensemble, c’est la seule solution, ou demander à l’un des passant mais sans trop savoir si il parle français et avec le risque qu’il nous envois n’importe où !
Elles choisissent la solution proposée par la petite maghrébine, elles se garent en essayant d’être les plus discrètes possibles, près d’un groupe de poubelles odorantes qui cache un peu la voiture jaune. Pourvu que Moktar fasse vite et les rejoigne au plus tôt, car quelques hommes tournent déjà autour d’elles, des jeunes désœuvrés surtout et quelques hommes plus murs…Elles patientent un bon quart d’heure avant qu’un nommé Mohamed soit disant un ami de Moktar ne vienne taper au carreau et propose son aide…Nadia parle en arabe avec lui pendant quelques minutes, nous ne comprenons rien de rien.
L’homme nous regarde étrangement puis nous sourit, il lui manque deux dents sur le devant et il a l’air un peu idiot…Nadia traduit qu’il veut bien nous aider contre un peu d’argent. Pour 10 euros il veut bien rendre service à Moktar, mais il veut prendre le volant car c’est trop difficile d’expliquer le chemin, à prendre ou à laisser ! N’ayant vraiment pas le choix nous acceptons et nous passons à l’arrière du petit véhicule qui n’a que deux portes sous les regards amusés des hommes qui nous encerclent. Nadia monte à l’avant, elle aussi trouve cela amusant.
Le jeune homme prend place au volant et parle en arabe…il veut son argent tout de suite !
Pas besoin de mettre vos ceintures de sécurité, les flics ne viennent jamais par ici…Mya lui tend un billet tout neuf avec un charmant sourire. L’homme l’examine avec un doute, il règle le rétroviseur intérieur pour voir le regard des deux passagères à l’arrière, il démarre un peu brusquement puis fait un demi-tour avant d’accélérer franchement. On tourne plusieurs fois, tantôt à droite, tantôt à gauche puis il s’arrête devant un immeuble.
Nouvelle discussion en arabe à l’avant de l’auto, l’homme modifie le réglage de son retro et vise maintenant nos cuisses nues.
« Mohamed a un doute sur l’adresse de la salle, il propose d’aller chercher son plan chez lui moyennant un supplément ! » Combien demande Christal qui perd patience !
« Il veut voir vos culottes, voir ce que porte les salopes bourgeoises, sinon il ne bouge plus ! »
Gênées les deux femmes se regardent, en rougissant elles écartent leurs cuisses et remontent leur jupe dévoilant leurs lingeries. L’homme fixe longuement leurs entre jambes, leurs cuisses dorées.
Enfin il se décide, il prend les clés de contact, donne un ordre puis ferme la voiture a clé.
« Vous devez rester ainsi, cuisses ouvertes jusqu’à son retour puis vous lui tendrez vos slips et resterez chatte a l’air bien visible ! » C’est son exigence du moment !
Mais il est dingue ce mec ! On est tombée sur un maniaque, on ne peut pas lui obéir à ce fou, ou sommes-nous ? Et il a les clés, on est enfermées dans notre voiture, c’est quoi ce cauchemar ! La panique commence à venir, de quoi ce mec est-il capable, si on le contrarie il peut devenir agressif. Nous ne sommes vraiment pas rassurées. De nouveau des hommes inquiétants et curieux s’approchent de la fiat.
A ce moment Mohamed revient accompagné d’un grand noir, il ouvre l’auto et fait passer Nadia a l’arrière entre nous deux. Les deux hommes montent à l’avant, le black nous dévisage de haut en bas.
« Elles ont l’air bonnes ces bourges ! » ricane le nouveau venu. L’arabe rugit un nouvel ordre que Nadia traduit aussitôt, elle semble intimidée et inquiète : « Donnez vos culottes, les putes, montrez vos minous, fentes a l’air si vous voulez qu’on bouge de la ! »
L’homme noir nous fixe intensément, il sort un long couteau « Ici les femelles obéissent, vous voulez que je vous aide ? » Le ton est calme mais menaçant, Nadia s’exécute la première, elle se retrousse puis tend un string rouge, en baissant les yeux, elle écarte grand ses cuisses. Elle n’est pas épilée, un buisson brun roux masque son intimité.
« A ton tour la vieille ! » reprend le black autoritaire en brandissant son arme vers Christal, outrée et terrorisée, elle glisse ses mains sous sa jupe de tailleur, retire un ravissant string noir en dentelle qu’elle offre à contre cœur au voyou. Elle reste ainsi troussée dévoilant son sexe lisse.
Mya obéit à son tour, elle gigote pour descendre son shorty noir et rose avec de charmants nœuds rouges sur le devant et de chaque cotés. Sa jeune fente totalement épilée montre très haut, comme une longue cicatrice fine. Elle tend son dessous et reste grande ouverte, rouge de honte.
Les deux hommes regardent longuement les chattes exposées docilement, ils admirent la lingerie qu’ils sentent comme le feraient des chiens de chasse.
Mohamed daigne redémarrer, il affiche un large sourire complice à son copain noir Banara.
Le conducteur donne un nouvel ordre à Nadia dans sa langue natale « Ouvrez vos chattes à deux mains, les bourgeoises ! Montrez votre viande à ces messieurs ! Moi je dois vous touchez, vous faire couler avec mes doigts… »
Banara ajoute que les putes doivent sourire pendant le tripotage de leur clitoris, il veut les entendre gémir leur plaisir. Les pauvres femmes se forcent à obéir, Nadia sait y faire avec leur bouton d’amour qui déjà se gonfle entre ses doigts agiles. La caresse lesbienne est démoniaque, redoutable d’efficacité.
Mya et Chistal luttent pour résister, ne pas jouir dans ces conditions, pas devant ces hommes. Très vite elles sont submergées par les sensations, les émotions ressenties.
« Ça commence à sentir la salope en chaleur, j’adore cette odeur de chatte en feu…arrête toi Momo que je vérifie leur état…gares toi la, devant la salle ! » Le conducteur obéit aussitôt, il se range devant un énorme tas de gravats calcinés…
Les femmes inquiétées regardent autour d’elles, une enseigne à moitié brulée indique « Les bleuets », c’est leur salle ou elles devaient faire la fête !
Banara tend sa grosse main noire en direction des cuisses ouvertes de Mya, qui veut serrer les jambes ! « Tu n’as pas encore compris petite pute, tu restes ouverte, tu te laisses faire, je vais visiter ta moule voir si tu mouilles bien ! Nadia tu récupères les téléphones et les sacs à main y compris les tiens ! »
Les gros doigts noirs caressent la fente brillante, ils frôlent le bouton sensible avant de glisser dans le sexe chaud et onctueux de la jeune brune. Elle frissonne et gémit sous les ignobles attouchements mais son corps réagit contre sa volonté, il joue avec quelques minutes puis s’occupe de l’amie de sa mère.
Christal sursaute, elle a envie de hurler, de pleurer, de planter ses ongles manucurés dans les yeux globuleux du grand noir, mais son cerveau se bloque, elle reste passive et subit l’affreux contact des doigts fouilleurs, qui coulissent aisément dans son sexe trempé. Banara la masturbe en l’obligeant à s’ouvrir plus, elle doit le fixer dans les yeux. Elle sent le feu de son ventre, cela va exploser.
Elle supplie son tourmenteur pour qu’il cesse, mais il redouble d’effort et lui ordonne de jouir…
« Ici c’est moi qui commande, quand je donne un ordre tu obéis ! Sinon tu vas dérouiller ! Tu vas vite comprendre comment ça marche sale pute ! Tu la ferme et tu obéis docilement comme toutes mes autres putes de la cité ! »
L’homme saisit le petit dard tendu, gonflé de désir qui dépasse largement de sa gangue, il le presse doucement puis l’étire, il dessine de petits cercles sur le bout nacré si tendre, si sensible.
« Maintenant ! » la pauvre Christal ne peut se retenir, elle jouit violemment en se tortillant dans tous les sens, elle émet des râles de jouissance et inonde les doigts de son tortionnaire. L’homme se lèche les doigts avec gourmandise, il sourit satisfait… Elle est rouge de confusion, de honte d’avoir pris tant de plaisir sale…
« Vous avez compris les bourgeoises que vous êtes tombées dans un piège, votre salle a brulée il y a 15 jours, n’en voulez pas à Nadia, elle a fait selon les ordres reçus, c’est l’une de nos putes bien dressées, comme vous le serez aussi prochainement ! On va vous emmener dans une autre salle, l’un de nos repères…là-bas ce sera votre fête ! » Déclare Mohamed dans un français approximatif…LIRE LA SUITE
Merci pour vos commentaires et avis . Fanny
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