Cheerleaders violées et torturées par Semiater

Chapitre 1
jeudi 26 janvier 2017
par  arikha
popularité : 1%
12 votes

Traduction libre d’une histoire de Semiater, publiée sur le site bdsmlibrary. Cheerleaders’ Rape and Torture
1er chapitre assez soft, mais la suite sera beaucoup plus hardcore et violente. Âme sensible, passez votre chemin.

C’est l’histoire de 5 Cheerleaders. Elles se sont perdues en chemin dans une campagne désertique quelque part aux USA et leur voiture est tombée en panne. Elles vont faire appel à un garagiste qui paraissait sympathique aux premiers abords pour réparer la voiture, mais le garagiste va les capturer et les transformer en esclaves.

Chapitre 1

Ce soir-là, je n’étais pas censé être dans le magasin de mon garage.
Cette soirée était pluvieuse, glaciale et triste. Un temps à ne pas mettre un chien dehors. Habituellement, à cette heure-là, je suis à la maison en train de me reposer.
J’ai une vie agréable et confortable. Je gagne très bien ma vie.
J’étais au garage pour remplir des documents comptables et administratifs, car j’avais pris du retard ces derniers jours. Tout en travaillant, je regardais distraitement un match de football à la télé. Tout le monde était parti et mes employés ne seraient de retour que le lendemain matin.
Le match avait déjà commencé, je pensais rester au garage jusqu’à la mi-temps et ensuite je retournerais à la maison.
C’est alors que je vis par la fenêtre des personnes s’approcher. J’étais très énervé d’entendre frapper à la fenêtre, je pensais qu’il s’agissait d’idiots qui cherchaient une pompe à essence. Habituellement, je ne leur aurais jamais répondu ni ouvert la porte, mais je savais qu’elles pouvaient me voir, j’avais oublié de fermer le store de la fenêtre comme je le faisais chaque soir.
Tout en râlant et en traînant les pieds, je me suis dirigé vers la porte pour voir qui cela pouvait être. Par la fenêtre, j’ai constaté qu’il s’agissait de deux jeunes et jolies filles, toutes deux vêtues de leur tenue de cheerleaders, aux pieds de petits tennis blancs et une mini-jupe. Les deux filles devaient être frigorifiées et trempées, elles grelottaient, car elles n’étaient pas protégées contre le froid et la pluie battante. Elles ressemblaient à des chiennes mouillées, mais des chiennes très mignonnes.
En les voyant, j’ai immédiatement bandé et j’ai immédiatement pensé que j’aimerais avoir une bonne pipe ce soir, voire plus si cela était possible. Plus d’hésitation, je leur ai ouvert la porte.
« Merci, Monsieur, notre voiture est tombée en panne et nos GSM ne fonctionnent pas ici. »
J’ai fait entrer les deux filles dans le magasin du garage, en veillant à fermer les stores pour que personne d’autre ne puisse nous voir.
« Avez-vous un téléphone et accepteriez-vous que nous l’utilisions pour appeler nos parents ? »
« Eh bien, quel est le problème avec votre voiture, je peux peut-être aider, je peux vous remorquer jusqu’ici et voir si je peux réparer la voiture »
Les deux filles se regardèrent, hésitantes et s’interrogeant du regard, elles étaient si mignonnes. En regardant leurs cheveux mouillés, les gouttes de pluie glissant sur leur front, je les imaginais les cheveux emmêlés, en sueur après une longue séance de « baise ». Je sentais le désir monter en moi.
Malgré leur survêtement de leur uniforme, je pouvais voir que leur jeune corps était mince, svelte et agile. Elles devaient avoir 17 ou 18 ans.
« Qu’est-ce que vous faites ici en pleine nuit et par ce temps exécrable, les filles ? »
J’essayais de m’informer si quelqu’un savait où elles étaient, ou si elles avaient déjà appelé quelqu’un pour les aider. En effet, depuis que je les avais vues, j’échafaudais déjà des plans pour ces deux filles.
« Nous avons accompagné notre équipe à un match de football à Ada, nous avons pris notre voiture au lieu de prendre le bus du lycée et puis sur le chemin du retour, nous avons pris une mauvaise route et nous nous sommes perdues »
Les filles avaient manifestement peur, ce qui m’excitait beaucoup.
« Quel est le problème avec la voiture ? »
« Je ne sais pas, on roulait, puis nous sommes tombées dans un trou rempli d’eau et la voiture s’est arrêtée. »
« Hum. Où est-elle ? »
« Eh bien, elle est sur une route près d’un grand moulin à quelques kilomètres »
« Comment diable êtes-vous arrivées sur cette route ? C’est une impasse ».
Je faisais tout pour cacher ma joie, je savais exactement où la voiture était tombée en panne et c’était un endroit désert ; personne ne prenait ce chemin et n’allait à cet endroit. Idéal pour mes projets.
« On ne sait pas, nous avons pris ce chemin en pensant que c’était la bonne direction. Nous avons poursuivi notre chemin et nous avons constaté qu’il s’agissait d’une impasse, nous avons fait demi-tour et c’est alors que nous avons pris cet énorme nid de poule rempli d’eau,
La jeune fille grelottait alors qu’elle me racontait son histoire.
“S’il vous plaît monsieur, pourriez-vous nous remorquer et voir si vous pouvez réparer notre voiture. »
Elle sortit son portefeuille pour me montrer ses cartes de crédit et me promit de me payer, mais ce n’était pas du tout ce que j’attendais, de l’argent, je n’en avais pas besoin.
« Donc, personne ne sait où vous êtes, et vous avez dit que votre téléphone ne fonctionnait pas ? »
C’était un peu risqué de demander cela explicitement, mais je voulais savoir et mes pensées s’emballaient. Comme je l’ai dit, j’ai une vie assez agréable, j’ai un grand garage avec un magasin et le seul dans un rayon de 30 km ; je travaille beaucoup pour les fermiers et je m’occupe de leurs tracteurs et de leurs matériels agricoles ; j’ai des ouvriers et ainsi j’ai beaucoup de temps libre.
J’ai hérité de mon père il y a 15 ans et j’ai agrandi l’affaire qui est maintenant très importante dans la région. Un magasin, un garage de réparation et de vente et un parc de ferraille.
« Non monsieur, nous nous sommes complètement perdues. Nous avons suivi le bus de l’équipe, mais sous la pluie on l’a perdu de vue. Et en effet, nos téléphones ne fonctionnent pas ici. »
Je savais qu’il n’y avait pas de réseau cellulaire sur 60 km à la ronde, peu d’agriculteurs avaient besoin d’un GSM et c’est pourquoi aucun relais GSM n’avait été construit, ce qui me réjouissait à ce moment.
‘Nous avons marché jusqu’ici et nous n’avons pas vu âme qui vive. Monsieur, nous avons 3 amies toujours assises dans la voiture, il fait froid, pourriez-vous s’il vous plaît aller les chercher ? S’il vous plaît ?
Même si elle était jeune, elle savait déjà prendre un petit air boudeur attendrissant pour obtenir des hommes ce qu’elle voulait.
« Mon nom est Pat » je lui tendis la main.
« Je m’appelle Tara, et elle c’est mon amie Lisa. »
Tara devait mesurer 1m72, elle avait de longs cheveux blonds lisses. Comme c’est elle qui parlait tout le temps, j’ai pensé qu’elle était la capitaine de l’équipe et probablement la plus populaire à l’école. Je pense qu’elle devait être un fantasme pour ses compagnons d’école.
Lisa, l’autre fille, était un peu moins grande, plus ou moins 1m65, ses seins semblaient être plus gros. Les cheveux de Lisa étaient blonds aussi, mais la couleur ne semblait pas naturelle.
« Salut, Tara, Lisa, je suppose que c’est votre jour de chance. Habituellement, à cette heure-ci, je ne suis plus là, mais aujourd’hui, je suis resté tard pour faire un peu de paperasse, et là, vous arrivez. Voyons voir ce que je peux faire pour vous. »
Je les tenais et elle semblait me faire confiance, je pouvais voir le soulagement dans leurs yeux, elles pensaient réellement qu’elles avaient une chance incroyable, mais dans quelques heures, elles sauraient que c’est moi qui étais chanceux.
« Vous avez dit que vous aviez encore trois amies dans la voiture ? »
« Oui. Et elles doivent avoir froid ».
« Eh bien, je ne peux pas vous emmener dans le camion pour aller les chercher, la cabine est trop petite, donc il faudra que vous restiez ici, cela ne vous dérange pas ? Je vais remorquer votre voiture et voir si je peux la réparer.
« Oh, ce serait génial monsieur. »
« Voilà, vous pouvez laisser vos sacs derrière le comptoir et je vous emmène en bas dans le salon, vous pourrez vous y réchauffer et vous détendre. Vous pourrez aussi appeler vos parents si vous voulez. »
Je remis à chacune des filles une serviette pour qu’elle puisse se sécher un peu.
Je leur ai aussi dit de laisser toutes leurs affaires derrière le comptoir, même si je savais que leurs téléphones ne fonctionneraient pas ici, je ne voulais prendre aucun risque.
« Suivez-moi. »
J’ouvris la porte réservée aux ouvriers pour conduire les filles dans la fosse de vidange des voitures, il faisait sombre et on n’y voyait rien.
« Désolé pour la poussière et la saleté, c’est un lieu de travail et une sorte de cachette. »
Je me suis retourné pour cacher ma nervosité et mon excitation, je ne voulais pas éveiller leurs soupçons.
« Restez là et je devrais être de retour dans quelques minutes avec vos amies. »
Je n’ai allumé la lumière que lorsqu’elles furent à l’intérieur de la fosse et j’ai claqué la porte violemment et j’ai fermé la porte à clef. J’ai pu les entendre crier dès qu’elles ont vu où elles étaient, quel plaisir de les entendre crier. Je savais qu’elles voyaient l’intérieur de la fosse et la voiture garée au-dessus et je savais qu’elles commençaient à comprendre ce qui se passait, elles étaient piégées. LIRE LA SUITE




ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires

Logo de Denis
mardi 7 mars 2017 à 06h31 - par  Denis

C’est un bon début d’histoire... est-ce qu’elle va trop loin ?