La nouvelle vie d’Isabelle
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Une sonnerie tira Zabou de son sommeil. L’horloge numérique intégrée au mur de la chambre indiquait 10h00. Madame Longstreet pénétra dans la chambre.
« Bien dormi pour ta première nuit lunaire ? Il est temps d’ôter le plug qui te bouche le cul. »
Zabou en avait oublié sa présence et c’est la tenancière du bar qui lui rappela que la veille, elle lui avait enfoncé cet engin dans les fesses.
Madame Longstreet ouvrit le cadenas avec la clé qu’elle gardait sur elle. Zabou fit descendre la culotte et sentit le plug sortir de son cul. Lorsqu’elle vit celui-ci par dessous ses jambes, elle eut du dégoût car le plug était couverte de quelques matières brunes malodorantes.
« Tu as au moins appris une chose cette nuit. Un godemichet ne se met que dans un cul propre ! La prochaine fois, je te ferai lécher le plug avec ta langue ! »
Zabou courut aux toilettes et Madame Longstreet entendit alors des gargouillements qui la firent rire. Après quelques minutes, Zabou reparut et prit la culotte pour la nettoyer. Après avoir déjeuné dans la salle commune avec toutes les filles, Zabou reçut ses consignes et s’occupa avec les autres filles du nettoyage de la salle principale du bar, puis remit les chambres en ordre et en changea les draps, souvent maculés de tâches de sang, de sperme et autres matières suspectes.
Il était presque 13h00 lorsque le ménage fut terminé. Zabou avait donc 1h00 pour se préparer et être désirable pour les clients de la journée. Et c’est pendant sa douche que Zabou ressentit une douleur dans sa poitrine. Elle pensait que des aiguilles lui transperçaient le torse pour ressortir dans le dos. Elle se mit à genoux pour atténuer la douleur et se prit les seins à pleines mains. Zabou sentit alors que ses seins avaient quelque peu grossi. Madame Longstreet entra alors dans la douche la télécommande à la main. Elle avait observé Zabou grâce à la caméra. Elle souriait.
Sa semaine d’observation terminée, Madame Longstreet signifia à Zabou qu’elle travaillerait alors en véritable escort-girl au Vénus Bar. Madame Longstreet lui demanda de servir en salle et lui rappela que la moindre remarque de désappointement d’un client lui coûterait cher. Zabou portait avec élégance ses chaussures à semelles compensées. Sa démarche était maintenant assurée et elle ondulait des fesses pour attirer le regard des clients qui ne manquaient pas de siffler lors de son passage.
Un client réclama 4 bières. Madame Longstreet fit signe à Zabou d’aller les servir. Elle se rendit au bar, prit le plateau avec les quatre bières et se rendit à la table dont le numéro se trouvait sur le ticket d’encaissement.
Zabou arriva à la table et servit les bières aux clients déjà bien imbibés.
L’un d’entre eux la prit par la taille et Zabou se retrouva sur les genoux d’un dénommé Bo, les autres riaient à tue-tête et voir une jolie fille sur les genoux de leur ami amplifia les rires de la tablée.
L’homme caressa les jambes de Zabou et insinua sa main sur son entre-jambe. Elle essaya de se dégager mais la poigne de l’homme vainquit ses quelques efforts pour se dégager. L’homme s’énerva et se leva, renversant au passage la table et les bières sur les uniformes de ses amis.
« Madame Longstreet ! » Hurla l’homme en faisant des grands mouvements avec ses bras.
Madame Longstreet alla vers l’homme et essaya de le calmer en arrivant avec son plus beau sourire.
« Que puis-je pour toi Bo ? »
« Ton espèce de greluche ne veut pas se laisser caresser. On vient ici après une harassante journée à creuser ce putain de sol lunaire pour la compagnie minière pour se prendre du bon temps. Alors on veut pouvoir boire une bière et toucher des fesses et de la chatte, on paye assez cher comme ça ! »
« Je te comprends Bo. Mais elle est nouvelle, il faut lui laisser un peu de temps. Je vais demander à Tania de venir vous divertir, faîtes ce que vous voulez avec elle, et c’est moi qui régale. »
« Ok, miss Longstreet. Merci beaucoup mais il ne faudrait pas que ça arrive une seconde fois sinon je dirai à tous les ouvriers de la compagnie d’aller voir ailleurs pour se taper des putes. »
Tania arriva avec 4 nouvelles bières sur un plateau.
Les trois autres clients se tapaient dans les mains en entendant la tenancière leur dire que la fille serait gratuite pour ce soir et firent tinter leur chope de bière.
En s’adressant à Zabou :
« Toi, avec moi dans mon bureau. »
Madame Longstreet saisit le bras gauche de Zabou et partirent toutes les deux pour le bureau de la tenancière. Madame Longstreet ouvrit la porte du bureau, elles entrèrent toutes les deux. Madame Longstreet referma la porte et alla s’assoir à son bureau. Elle joignit ses mains et dans une calme olympien, elle s’adressa à Zabou :
« Je te rappelle que tu es ici pour travailler et gagner du pognon pour le Procureur. »
« Je sais Madame Longstreet mais je n’y arrive pas. Regarder les filles copuler avec leurs clients, ça va mais passer à l’acte, je ne peux pas, je trouve ça dégradant, je n’y arrive pas. »
« Je te rappelle que tu as signé un contrat avec le Procureur, et il te faut l’honorer. En tant qu’ancienne avocate, tu sais qu’il faut toujours honorer un contrat. Retourne dans ta chambre, j’arrive. »
Zabou sortit du bureau toute penaude. Madame Longstreet appela le Procureur et elle lui narra sa mésaventure avec Zabou.
Zabou était allongée sur son lit lorsque Madame Longstreet entra dans sa chambre.
« Allez Zabou, viens avec moi, on va discuter calmement ensemble dans un lieu à l’écart.
Zabou emboîta le pas de la tenancière du Vénus bar. Zabou lui demanda où elle l’emmenait mais elle n’eut aucune réponse. Elles entrèrent dans l’ascenseur et Madame Longstreet appuya sur un bouton, il y était noté ss13.
Lorsque la porte de l’ascenseur s’ouvrit, elles sortirent toutes les deux. Lorsque Zabou sortit de l’ascenseur, deux paires de mains lui saisirent les bras et le cou pour l’immobiliser, la mettant à genoux. Zabou essaya bien de se libérer en se contorsionnant mais la prise était trop forte pour son corps frêle. En regardant de chaque côté, elle vit deux colosses à la peau d’ébène torse nu, portant un pantalon de cuir et des bottes style motard.
« Jayzee, Corey, nous allons faire comprendre à Zabou, ancienne avocate, qu’il faut toujours honorer un contrat. » LIRE LA SUITE
Merci de me donner vos impressions et vos idées pour orienter la vie de Zabou.
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