Olfactif soumis et heureux

mardi 14 juillet 2009
par  dossouly
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Ce dimanche là ma Maîtresse avait décidé qu’Elle visiterait, dans un petit village, une exposition de potiers, qui promettait de réunir beaucoup de monde. Je suis à Son service et à Son entière disposition depuis un an bientôt. Elle sait combien je suis follement amoureux d’Elle, comment le moindre de Ses sourires me réjouit et combien je redoute le plus petit froncement de Ses sourcils ! Maîtresse Linda est une superbe eurasienne, d’une trentaine d’années, aux courbes admirables. Son visage fin aux traits harmonieux, aux lèvres pulpeuses et charnues aussi bien que Sa poitrine ferme, un beau 95D, et Sa plastique impeccable contribuent à me maintenir en Son pouvoir aussi sûrement que tout ce qu’Elle a accumulé de connaissances sur mes goûts en matière de sexe. Elle seule sait comment « me faire grimper aux rideaux » ! Elle connait mes fantasmes et mes limites et n’hésite pas à me pousser au-delà.

Ce jour là, Elle décide de sortir vêtue d’une mini jupe en jeans affriolante, sous laquelle Son mini string en voile transparent sert plus à mettre en valeur Son sexe totalement épilé qu’à cacher quoi que ce soit. Un débardeur très échancré et hyper moulant met en valeur Ses seins nus aux tétons proéminents, tout en laissant voir Son nombril orné d’un diamant. Au moment de sortir Maitresse Linda défait le collier muni d’une laisse en acier que je porte continuellement chez Elle et le place dans son sac à main. Elle remplace aussi les poids qui ornent mes tétons par des pinces crocodiles moins visibles mais plus douloureuses. Elle retire de mon cul le gros god qui s’y trouve et me le fourre aussitôt en bouche :

— « Nettoie », ordonne-t-Elle !

Je m’applique à faire disparaître toute trace et toute odeur de mon amant de latex. Pendant ce temps Elle remplace le gode dans mon orifice momentanément libre par un plug de bonne taille. Puis elle ajuste, sur le piercing dont je suis affublé entre les couilles et l’anus, un cadenas dont Elle conserve la clé. Un cockring placé par Ses soins comprime ma queue et mes couilles. Elle me tend un débardeur très échancrés sous les aisselles qui pourrait laisser entrevoir, sur les cotés, à un observateur attentif, les pinces qui martyrisent mes tétons. Enfin pour compléter ma tenue un short à la fois large et court qui laisse visible sur l’arrière de mes cuisses et de mes mollets, les zébrures rouges et violacées des anciennes corrections infligées par Maîtresse Linda. Bien entendu les sous vêtements sont proscrits.

Je m’incline devant Elle pour la remercier. Pour me témoigner Sa satisfaction devant ma docilité, Maîtresse Linda écarte Ses cuisses et me permet de venir à genoux humer les effluves de Son entrecuisse. Elle sait combien les odeurs corporelles m’excitent. Une fois relevé Elle saisit ma grosse queue et mes couilles et les tord sans pitié.

— « Je Te défends de bander sans mon autorisation », martèle-t-Elle !

Voilà plus d’une semaine que je n’ai pas reçu la permission d’éjaculer. Ses doigts sur mon sexe et mes couilles et le gout de Son intimité sur mes lèvres entretiennent mon excitation, cependant au prix d’un immense effort je pense à autre chose afin que ma queue de 20cm sur 5 que le short ne comprime pas débande rapidement. Mon érection décroit et nous sortons.

Sans l’avoir prémédité, dans la foule qui assiste à une démonstration sur un tour de potier, je me suis placé derrière un homme jeune et bien bâti. Au bout d’un instant je perçois que ses aisselles exhalent une odeur douceâtre de transpiration. Loin de me dégouter je hume discrètement ce parfum tenace et sens mon sexe se déplier dans mon short.

Attentive, Maîtresse Linda a immédiatement perçu mon émoi. Elle connaît ma bi sexualité. D’un signe Elle m’intime l’ordre de ne pas bouger et se déplace lentement de façon à se retrouver devant l’homme. Je remarque qu’aussitôt les yeux de ce dernier se posent sur les courbes de Linda. Il dévore du regard Ses seins qui pointent sous son tee-shirt et la cambrure de Ses reins. A cet instant sous prétexte d’arranger la bride de Ses chaussures à talons hauts Linda se penche lui dévoilant Ses fesses que le string ne cachent pas.

Elle se redresse et regarde l’homme droit dans les yeux. Ce dernier lui adresse un sourire charmeur et quelques mots que je ne comprends pas.

Ma Maîtresse lui répond avec sur Ses lèvres ce sourire à faire fondre un glacier. Le jeune homme très beau et viril Lui propose de Lui offrir un verre à la terrasse d’un café. Linda accepte tout en lui spécifiant qu’Elle n’est pas seule. L’homme sourcille et Linda e retourne vers moi et me désigne du pouce en précisant :

— « lui c’est mon homme à tout faire mon esclave qui m’obéit au doigt et l’œil »

L’homme me dévisage goguenard tandis que je baisse les yeux comme on me l’a enseigné.

— « Ah oui, dit-il, j’aimerai bien voir ça »

— « Qu’à cela ne tienne répond Ma Maîtresse, allons prendre un verre chez moi et tu verras »

— « Ok, dit l’homme je m’appelle Marc »

— "Linda répond ma Maîtresse, et lui c’est Soubi : Sou comme soumis et bi comme bisexuel.

— « Ah, voilà qui est encore plus intéressant, s’exclame Marc en me jaugeant avec une lueur d’intérêt dans le regard ! »

Le couple se dirige vers la voiture de Linda et je leur emboîte le pas, la peur au ventre mais déjà terriblement excité. Linda s’installe au volant et convie Marc à s’asseoir à mes cotés sur le siège arrière.

— « Otes ton short, » m’ordonne-t-elle aussitôt.

Honteux devant cet inconnu, je me dénude exposant mon anatomie totalement épilée.

— « Montre lui ton cul »

Je me retourne et le mâle siffle en disant :

— Engodé, porteur de piercing et cadenassé !! Quelle fiotte !!"
Il soulève mon débardeur et remarque les pinces sur mes tétons. Il les serre encore plus entre ses doigts et m’arrache un gémissement de douleur.

— « On va bien s’amuser, prédit-il, ce maso bande déjà »

— « A poil », exige Linda à mon intention, puis elle ouvre son sac et tend à Marc la laisse et le collier :

— « Replace lui ça autour du cou afin qu’il ait bien conscience de sa condition »
Quelques instants plus tard la voiture s’engouffre dans le parking souterrain de l’immeuble de Maîtresse Linda. Je dois descendre de la voiture nu, à quatre pattes, pour rejoindre l’ascenseur. La laisse est dans la main de Maîtresse Linda. J’ai peur de croiser un voisin qui me verrait ainsi humilié, mais par chance je rejoins sans encombre l’appartement de ma propriétaire.

Linda sert des rafraîchissements pour Marc et Elle même et pose une écuelle sur le sol à mon intention.

— « Tu ne la remplis pas ? » s’étonne Marc

— « Attends tu vas voir » réplique Linda

Elle s’accroupit au dessus de l’écuelle, écarte le tissu de son string et laisse échapper de ses lèvres roses un jet d’urine odorant.

— « Voilà il est servi »

Sur un signe de Sa part je m’approche du divin breuvage et lape l’écuelle de pisse sans laisser une seule goutte tomber sur le carrelage

— « Merci Maîtresse »

Marc rit, il enlace Linda. Ils échangent un long baiser langoureux. Puis Maitresse Linda le repousse, s’approche de moi et m’administre une paire de gifles retentissantes.

— « Tu n’as pas à me dévisager de la sorte !! » hurle-t-Elle.

Mes yeux s’emplissent de larmes tant sous la douleur que par la frustration de voir un autre réaliser ce dont j’ai toujours rêvé. Je baisse les yeux, maté.

Linda enlève à Marc son tee-shirt et me le jette en disant :

— « Renifles, bon chien l’odeur du mâle viril »

Le tissu sous mes narines je sens ma queue gonfler tant l’odeur est forte.

Maîtresse prend la parole et dit :

— « Marc ton hygiène ne me semble pas irréprochable, aussi, si je t’autorise à m’embrasser et à me caresser les seins, mais tu n’auras rien d’autre de moi, avant que mon esclave t’ait préparé avec sa langue pour la douche. Je te le prête, tu peux en disposer comme bon te semble. Mais avant que tu ne le souilles car sa tâche sera pénible vu ta forte odeur corporelle, il va d’abord s’occuper de sa Maîtresse »
Elle s’installe les fesses au bord du canapé et m’invite à venir lécher Son anus et Ses jolies lèvres. C’est la première fois que j’obtiens une récompense avant une contrainte !

— « Merci Maîtresse »
L’Anus et la Chatte de Maitresse Linda, dégage un parfum subtil qui renforce mon excitation. Maîtresse sait que ce ne sont pas forcément les odeurs les plus fortes qui m’excitent le plus. Ma langue se promène aux abords de Son Anus puis pénètre carrément son trou. Je m’en sers comme d’un petit pénis d’avant en arrière, jusqu’à ce que je l’entende gémir et que je puisse sentir Sa Chatte s’humidifier plus encore. Son nectar sur mes lèvres et mon visage m’enivre. Je bande comme jamais, mais n’ai pas le droit de me toucher. Comme Elle aime, je lèche alors Son pubis glabre puis Ses grandes lèvres. Quand je sens Sa cyprine couler plus abondamment je pose ma langue sur Son clitoris gonflé de désir et délicatement ne le lâche plus avant qu’Elle ne jouisse dans un grand cri.

Après quelques instant Maîtresse me repousse du pied puis indique à Marc :

— « Pour commencer, il va te lécher pour te nettoyer. Il commencera par chacune de tes aisselles puis continuera par tes pieds, ton cultes couilles et ta queue »

Je m’approche et sa transpiration aigre assaille mes narines. Un fort coup de badine m’incite à sortir ma langue pour lécher la première aisselle. Puis je passe à l’autre jusqu’à ce que toute odeur ait totalement disparue. Je me sens avili, humilié mais je suis aussi incroyablement excité. Les pieds de Marc ne sont pas sales mais ils dégagent un arôme puissant de fromage trop fort. Les interstices entre ses orteils sont particulièrement infâmes mais la peur de la correction me pousse à les nettoyer soigneusement. Puis arrive sa ceinture de jeans que je déboucle sous l’œil attentif de Maîtresse Linda. Aussitôt arrivent sur moi ses effluves mêlées de sueur, d’urine et de sécrétions anciennes dans un boxer défraîchi. Je sais que je dois aller lécher l’anus de Marc et redoute le pire. J’abaisse le boxer de Marc et son sillon fessier m’apparaît, s’en exhale un fumet animal, qui, le premier haut le cœur passé, contribue à renforcer encore mon excitation. J’enfouis mon nez et ma langue tout contre son cul et entreprends de le nettoyer. Après dix bonnes minutes de salivation et de léchage, Maîtresse estime qu’il est temps pour moi de m’occuper des testicules de Marc. Malgré la chaleur de l’été, ce dernier n’a pas dû se doucher récemment et un parfum de sueur et d’urine se mêle à d’anciens plaisirs. J’hésite à porter ma langue sur lui tant l’odeur forte m’incommode. Mais Maîtresse Linda cingle de Sa cravache à plusieurs reprises mon dos, mes reins, mes fesses et mes cuisses. Sous la douleur cuisante je plonge entre ses cuisses et lèche à nouveau. Je prends délicatement en bouche ses testicules l’une après l’autre. Sa queue grossit, elle est belle et de bonne taille !

— « Suce ma bite » ordonne-t-il

Aussitôt mes lèvres ’arrondissent autour de son gland. Un goût acre attend mon palais, ma bouche est remplie. Je respire par à coups et mes narines viennent caresser ses bourses et son anus. Sans me prévenir il s’enfonce loin dans ma gorge utilisant ma bouche comme un vagin. Après des aller-retour qui ont collé mon nez contre son pubis puant il s’extrait de ma cavité buccale.

Pour autant il n’en a pas fini avec moi. Il retire le plug de mon anus et le fourre dans ma bouche. Cette fois c’est mon odeur intime et mon goût qui envahissent mes muqueuses. Maîtresse Linda s’approche de moi et, sans enlever les pinces crocodiles toujours accrochées à mes tétons, Elle y ajoute d’autres pinces munies de poids. De même Elle place des pinces munies de poids sur la peau fragile qui sépare mes bourses et mon anus de chaque coté de mon piercing.

Marc demande à Linda, moqueuse de me voir ainsi maltraité devant Elle par un autre mâle, si elle dispose de deux paires de menottes. Une fois en sa possession, il menotte chacun de mes poignets à chacune de mes chevilles, puis tandis que plié en deux, je suis à genoux, il bascule mes épaules contre le sol. Ainsi positionné, mon anus s’ouvre à toutes ses convoitises. L’homme est bien monté et malgré toute les pénétrations dont Maitresse Linda m’a fait bénéficier, je sais que la pénétration sera pénible. Marc présente son gland raidi et violacé contre ma rosette ruisselante de sueur, puis d’un seul violent coup de reins, il s’enfile en moi jusqu’à la garde sans aucun lubrifiant. Je sens mes sphincters céder sous sa poussée et son gland cogner au plus profond de moi. Une douleur cuisante, comme une brûlure, comme si son sexe était en feu, me fait hurler à pleins poumons. A chaque coup de boutoir de Marc, les pinces mordent cruellement ma peau des tétons et du scrotum. M’ayant enfilé toute la longueur de ses dix huit centimètres, Marc, ouvre les menottes et me redressant il plaque mon dos contre son torse afin d’offrir mon ventre, mes seins lardés de pinces et ma pine dressée à la morsure de la cravache que Maîtresse Linda utilise sur moi. Je hurle ma douleur. Outre l masse de chair qui s’agite dans mon fondement, je ressens les brûlures de la cravache sur mon torse, mon ventre, mes couilles. Mon sexe en érection subit les coups de Maitresse Linda ; je ne suis que douleur !! D’un coup je sens la queue de Marc se raidir et stopper ses mouvements, le pubis plaqué contre mes fesses et dans un grognement de fauve il répand son foutre dans mes intestins. Puis il sort sa queue et la présente à ma bouche :

— « Nettoie » ordonne-t-il

Je le suce sans répugnance tandis que je sens son sperme s’échapper de mon cul et couler lentement sur mes cuisses.

— « Waouh, dit Marc, à l’intention de son amante, j’ai pris un plaisir fou avec cet enculé, maintenant je vais aller pisser. »

— « Attends, dit Linda, viens dans la salle de bains avec lui »

Me prenant en laisse le couple m’entraîne dans la baignoire avec lui et je sais ce qui va se produire. En effet Maîtresse Linda suggère à Marc de me pisser sur le corps. Aussitôt un jet chaud et odorant m’arrose. Marc vide totalement sa vessie sur moi. Puis Linda lui succède en m’enjoignant « d’ouvrir grand la gueule ». A son tour Elle arrose copieusement mon corps et mon visage. Interdiction m’est faite de me laver je dois sécher ainsi et conserver sur ma peau la puanteur de leurs urines mêlées. Mon désir de jouir est si intense que pour éviter toute masturbation, Maitresse Linda menotte mes poignets dans mon dos puis Elle enfonce entre mes fesses un plug gonflable de bonnes dimensions. Ce n’est qu’une heure plus tard que je suis sec … et puant comme un clochard

En fin de journée, nu, je fais face à mes tortionnaires. Dans la douche, un jet glacé frape ma peau. Je me contorsionne pour tenter d’échapper à la morsure de l’eau glacée, mais peine perdue l’eau s’infiltre dans tous les interstices de mon corps. Je grelotte et tremble de froid. Enfin le jet s’arrête et Marc entreprend de me réchauffer … à coups de fouet. Après le froid ma peau subit l’épreuve de la brûlure du fouet, s’en est trop, je gueule ma douleur et m’écroule dans la douche en sanglots. La lumière s’éteint, la porte se referme et je reste, nu, prostré, meurtri et menotté.

Linda et Marc se sont douchés et s’apprêtent à passer la nuit ensemble. Je suis amené nu afin d’être entravé au pied du lit. Non seulement le plug gonflable ne m’est pas ôté pour la nuit mais en plus on me met une ceinture de chasteté. Mes Maîtres se couchent et j’entends leurs ébats qui éveillent ma jalousie. Je n’ose lever les yeux vers eux de crainte de recevoir une autre correction, mais ma queue reste douloureusement comprimée dans sa prison.
Bien plus tard Marc vient me détacher et me tire par laisse jusqu’au lit. Maîtresse Linda y est assise les fesses sur le bord. L’ordre fuse, Marc commande :

— « Nettoie mon foutre des orifices de ta Maîtresse »

Son sperme s’échappe de la Chatte et de l’Anus de Maîtresse Linda. Il plaque mon visage contre l’entrecuisse de Ma Maitresse et je commence laper sa semence. Cela me répugne et m’excite à la fois. Je bande. Je suis une larve. Ma tâche achevée il me présente sa queue à nettoyer. J’y retrouve le parfum de leurs sécrétions mêlées et celui de l’anus de Ma Maîtresse.
Je suis si excité que je les supplie de me laisser jouir.

Pour toute réponse Maîtresse gonfle un peu plus le plug qui obstrue ma rondelle tandis que Marc cravache impitoyablement toutes les parties accessibles de mon corps.

Je ne suis qu’un jouet entre leurs mains prêt à tout subir pour obtenir la permission de jouir.
Mes Maîtres se regardent et échangent quelques mots inaudibles pour moi. Peu après Maitresse revient vers moi avec un clystère de deux litres. Bien que je n’ai rien mangé depuis longtemps je sais que ce lavement sera difficile à supporter et que Maitresse Linda va me fister. Ma queue est douloureusement comprimée dans sa prison de chasteté. Le plug est dégonflé puis retiré et aussitôt remplacé par la canule du clystère. Je sens l’eau tiède gargouillée dans mes intestins. Mon ventre se gonfle et peu à peu les deux litres sont en moi en totalité. Maîtresse m’interdit de me soulager tout de suite et s’amuse à me voir me tortiller pour retenir le lavement. Je sais que la moindre goutte perdue me vaudrait mille châtiments. Marc rit de moi. Après un temps bien long je suis conduit sur la cuvette des WC et me vide sous leurs yeux. Je me sens honteux de l’odeur qui se répand et de ma posture ridicule.

— « Présente ton cul » ordonne Maîtresse Linda

Comme chaque fois que cet ordre fuse, je plaque au sol une joue et mes épaules. Je ramène mes jambes repliées sous mon ventre et cambre mon postérieur vers le haut. Je connais l’obscénité de cette position et le spectacle indécent qu’offre la vue de mon cul bien ouvert et de mes couilles pendantes.

— « Ecartes tes fesses avec tes mains » m’enjoins Maîtresse Linda

Je m’exécute et sans que je m’y sois attendu, j’entends un sifflement déchiré l’air et au même instant une brûlure atroce se répand de ma raie jusqu’a mes testicules. Le feu vrille mes couilles, je manque d’air et émet un long cri de douleur.

— « Tais toi ou j’en rajoute cinq »

Je réussis à ne pas bouger mais mes larmes coulent à flots.

Je sens un doigt se présenter sur ma rondelle puis deux et bientôt trois investissent mon trou. Maîtresse a de petites mains et je sais qu’Elle arrivera sans peine à introduire Sa main en moi jusqu’au poignet

— « Regarde Marc, ma main est toute entière en lui, et je vais la retirer poing fermé. Mais cette petite pute ne cessera pas pour autant de bander »

En effet mon érection ne faiblit pas et la main de Maîtresse ressort de mon anus en le laissant béant.

— « Attends, dit Marc, moi aussi je vais le fister »

La peur me tord les tripes. La main de Marc est bien plus grosse que celle de Maîtresse Linda et je crains d’être déchiré.

— « Comme tu voudras, répond Linda, mais lubrifie abondamment son trou pour ne pas l’estropier. J’en aurai encore besoin »

Je sens un liquide visqueux couler le long de ma raie jusque dans mon intimité la plus profonde. Marc introduit tour à tour un doigt puis deux et trois sans difficulté. Au quatrième il peine un peu plus et je me sens déjà rempli. Quand il rajoute son pouce je suis écartelé, distendu, j’ai l’impression que je vais me déchirer, que jamais sa grosse main ne passera. Je transpire beaucoup et me met à geindre. Plaisir et douleur se confondent. Maîtresse place sous mes narines le boxer odorant de mon amant. Celui-ci pousse sa main en moi et dans un ultime effort la rentre jusqu’au poignet. La douleur est telle et le plaisir si intense que, sans avoir été touché j’éjacule, à travers ma prison, à longs traits, plus d’une semaine de foutre retenu.

— « Tu es tellement gros que ce porc s’est vidé sans même qu’on le touche » annonce placidement Maîtresse Linda

Alors Marc retire d’un coup sec sa main de mon fondement, sans toutefois serrer son poing qui ne serait pas passé. Il me présente sa main à lécher. Et malgré le lavement j’y retrouve le gout et l’odeur familiers de mon cul Puis il me saisit par les cheveux et m’oblige à nettoyer le sol en léchant mon sperme.

Fatigué, marqué par les coups et vidé je suis conduit au pied du lit de Maîtresse Linda pour y être enchainé.

Je me demande quelle suite Maîtresse Linda réservera à ma vie. Elle a par le passé parlé de soirées ou je serai livré à qui voudrait de moi, de fessées aux orties que je ne connais pas encore mais qui me font fantasmer, d’exhibitions …

Je suis tellement épuisé et meurtri que je m’endors sur cette interrogation

dossouly@msn.com

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