Julie et Laure et leur 2 Maîtresses
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Lors de l’achat des vêtements pour Julie, le samedi, il faut préciser que lorsqu’elles arrivèrent à la boutique, Maitresse Sandra emmena Julie au centre du magasin, et lui dit : « viens que je t’enlève ton chemisier et ta jupe ; ne crains rien, la gérante est une amie, et elle aime bien que les essayages de jeunes femmes comme toi se fassent au centre du magasin, car elle trouve que cela met une bonne ambiance et que les autres clientes sont toutes heureuses d’admirer des jeunes à poil pendant qu’elles font leurs recherches. » Julie se laissa faire, d’autant que depuis 2 jours, elle était le plus souvent à poil, devant sa maitresse mais aussi devant d’autres personnes, et qu’ainsi elle avait évacué tous ses réflexes de pudeur, et en plus cela lui procurait une certaine jouissance de s’exhiber ainsi devant plusieurs inconnues ; pour ses essayages, elle fut conseillée par la gérante elle-même, qui n’hésitait pas à augmenter cette jouissance en lui effleurant les seins ou les fesses ; pendant ce temps-là, alors que Julie était à la recherche de robes, jupes et chemisiers corrects pour ses déplacements à l’extérieur, Maitresse Sandra, elle, acheta 3 chemisiers transparents, 3 robes et 3 jupes très courtes permettant de laisser apparaitre les couches bébé ; sa maitresse choisissait ces vêtements sans rien dire à Julie, mais en pensant que son amie Corinne serait heureuse d’avoir sous les yeux, pendant son travail, les seins de Julie, ainsi que ses jambes, et laissant deviner l’attribut humiliant pour une jeune de 25 ans des couches bébés. Lorsque les différents achats furent faits, Maitresse Sandra emmena Julie, toujours à poil, jusqu’au fond du magasin où se trouvait un présentoir avec des colliers et des laisses. Elle intima l’ordre à sa soumise de se choisir 1 collier et 1 laisse, en lui disant : « je suis contente aujourd’hui de te les offrir ; ce sont les attributs de toute soumise, qui sert comme animal de compagnie ; choisis-les assez fins pour que tu puisses les garder jour et nuit sous tes vêtements, quand tu en portes bien entendu ! Je ferais accrocher au collier que tu as choisi une petite plaque où seront inscrites ton prénom de petite chienne (je te le trouverais plus tard dans la soirée) et mon n° de téléphone. »
C’est ainsi que, lorsque collier, laisse et plaque furent posés autour du cou de Julie, elle revint vers la banque où se trouvait la gérante avec sa maitresse, et elle put se faire admirer avec ces nouvelles décorations. Puis Maitresse Sandra la rhabilla et lui dit : « maintenant tu te déplaceras très souvent à quatre pattes, sauf à l’extérieur ; pour l’instant, tu vas d’abord saluer mon amie, puis tu marcheras à quatre pattes jusqu’à la porte du magasin, et là tu te mettras debout et nous sortirons ensemble. Julie, toujours très obéissante, ce qui faisait l’admiration de la gérante, dit à cette dernière : « Madame, je vous présente mes respectueuses salutations, et je désire vous remercier pour toute l’aide que vous m’avez apportée dans le choix de ses beaux vêtements que vous vendez ! » Ce à quoi la gérante répondit : « J’ai été très contente de faire votre connaissance petite chienne, et de vous avoir été de bon conseil ; je trouve que mon amie Christine a su bien choisir sa soumise, car vous êtes jolie, très aimable, et très obéissante. Si mon amie Christine vous y autorise, vous pouvez revenir quand vous voulez ; je vous ferais toujours profiter de réductions. »
En sortant du magasin, Maitresse Sandra dit à Julie : « Comme je suis très contente de toi, que tu te conduis bien en société, que tu m’obéis toujours rapidement, et que mes amies le constatent elles aussi, je t’offre ce soir un repas au restaurant, qui ne se trouve pas très loin, c’est aussi un ami qui le tiens. »
Elles continuèrent leur route, Julie tenue discrètement en laisse par sa maitresse, la laisse étant cachée par l’imperméable que celle-ci porte. En arrivant, Maitresse Sandra emmena tout de suite Julie dans un sas contigu à la salle traversée ; là elle lui déclara : « Ce sas donne sur une salle un peu plus petite, où mon ami n’accueille que les maitres ou maitresses accompagnés de leurs petits chiens ou petites chiennes, ou par d’autres qui n’ont plus de soumis pour l’instant. Tu vas donc être en pays de connaissance ; déshabilles-toi, mets jupe et chemisier sur la chaise et mets-toi à quatre pattes ; je garde la laisse en main pour te conduire ; tu restes toujours les yeux baissés ! »
Dès leur entrée, où elles furent accueillies par le propriétaire des lieux, celui-ci fit asseoir la maitresse à une table qui lui était réservée, et celle-ci fit placer Julie couchée comme une chienne près d’elle, le museau tourné vers le centre de la salle. Lorsque le restaurateur vint prendre les commandes, Maitresse Sandra lui dit qu’elle prendrait le menu du jour pour elle, mais aussi pour sa petite chienne, mais son repas lui étant servi dans une écuelle posée sur le sol ; et elle ajouta : » merci de me donner une bouteille de côtes du Rhône de 35 cl, et pour ma soumise, tu lui donnes une écuelle d’eau et aussi une un petit bol dans lequel tu verseras une bonne rasade de whisky ; c’est aujourd’hui fête pour nous deux aujourd’hui, car nous sommes amantes depuis 2 jours, et nous avons passé un contrat de soumission hier. »
Le repas débuta dans une bonne ambiance, maitresse Sandra caressant souvent sa soumise sur le dos ou à la base du cou, cette dernière manifestant silencieusement (elle n’a pas encore appris comment aboyer) le plaisir provoqué, tout en dégustant les bonnes choses qui lui étaient présentées, et en accompagnant cette dégustation de lampées de whisky.
Le repas fini, Maitresse Sandra buvant son café, fit semblant de découvrir la présence de son amie Corinne, la DRH, prenant son repas seule à une table sur le côté ; elles s’étaient repérées facilement, puisqu’en fait elles s’étaient données rendez-vous dans ce restaurant, Corinne ayant appelé Christine dans la matinée pour lui dire son impatience de découvrir sa future secrétaire personnelle en état de soumise. Elle dit à Julie : « Oh, Julie, mais que vois-je subitement ; ta DRH qui prend aussi son repas ici ; ah c’est vrai, c’est une ancienne maitresse, sans soumise actuellement, donc, c’est pour cela qu’elle peut manger ici ; Julie, je te donne l’autorisation, lèves la tête et regardes ; tu vois où est ta DRH ; Julie, l’apercevait bien, mais elle resta bouche bée, ne s’attendant vraiment pas à voir sa DRH , qu’elle craignait, attablée dans cette salle ; Maitresse Sandra dut l’autoriser à parler pour avoir une réponse : « Oui, Maitresse, je la vois bien, je suis surprise qu’elle soit là. »
« Eh bien, allons la saluer, elle te dira elle-même pourquoi elle est là ! » Sur ce Maitresse Sandra, prenant en laisse sa soumise, s’approcha de la table de Corinne Durand, elles s’embrassèrent toutes les deux, et Christine lui dit : « Je ne te présente pas Julie Dubreuil, ton employée ; elle est ma soumise depuis hier, une adorable petite chienne ; Julie, tu vas saluer ton employeur ; pour cela tu vas faire « la belle » ;je vais t’apprendre ; mets-toi à genoux, tu restes toujours les yeux baissés, tu mets tes 2 bras à la hauteur de tes seins, les 2 mains pendantes, la langue pendante aussi et tu respires comme si tu étais essoufflée ! Allez, à toi ! »
Julie, toute gênée, s’exécuta, contente de n’avoir pas à regarder sa DRH ; « Sa maitresse lui déclara : c’est très bien, tu sais, tu apprends vite ; maintenant tu vas aboyer doucement, pour montrer que tu es contente de la voir ; refais l’aboiement de la chienne après moi : ouaf, ouaf, ouaf. »
Julie n’osait pas se conduire comme cela, mais ayant vu le regard autoritaire de sa maitresse, elle ne put qu’obéir contre son gré : « ouaf, ouaf, ouaf. »
« C’est trop faible ; recommence mais plus fort ! »
« ouaf, ouaf, ouaf. »
« C’est mieux, tiens, voilà ta récompense ; » et Maitresse Sandra lui donna un sucre dans une patte, et Julie, vraiment humiliée de se conduire ainsi devant sa DRH, dut manger son sucre devant elle.
« Julie était étonnée de te retrouver dans ce restaurant ce soir ; je lui ai expliquée que tu étais une maitresse mais que tu avais dû abandonner ta soumise à cause de ta mutation ; je ne me suis pas trompée ? »
« Non tu as raison ; mais je pense que je pourrais lui expliquer cela plus en détail, lors d’une prochaine rencontre ; que fais-tu demain soir ; si tu es libre je te propose de venir partager mon repas du soir chez moi vers 19 h ; qu’en pense-tu ? »
« Je suis tout-à-fait d’accord, mais demain je passe la journée et la nuit avec Julie, puisque son homme n’est pas là actuellement. »
« Mais pas de problème ; viens avec ta soumise demain soir, je lui préparerais un plat de croquettes pour son repas. »
« D’ accord ; ma soumise, nous allons rentrer chez toi maintenant ; auparavant tu vas saluer Corinne, à ta manière, comme tu le penses. »
« Madame, je vous présente mes salutations du soir avec plein de respect ; je vous remercie de votre attention envers moi en m’accueillant chez vous demain soir ; et étant devenue hier la soumise de votre amie, ma maitresse, dès lundi, quand nous nous reverrons au bureau, je m’engage à vous obéir aveuglément, et pour le temps où nous travaillerons ensemble, comme je m’y suis engagé vis-à-vis de ma maitresse. »
« Eh bien, nous reprendrons cette discussion demain soir chez moi, et nous verrons si tu es toujours dans ces bonnes dispositions. » lui répondit sa DRH.
Sur ce Maitresse Sandra , tenant toujours Julie en laisse et à quatre pattes sortit de la salle ; c’est dans le sas qu’elle lui remit son chemisier et sa jupe, ainsi que son imperméable.
Puis elles reprirent la voiture pour revenir dans l’appartement de Julie. Maitresse Sandra fit monter sa soumise sur le siège avant passager ; ce qui lui permit, aussitôt assises, de lui ordonner de remonter sa jupe de telle sorte que son cul repose sur le siège, d’écarter en grand ses jambes après avoir délacé ses couches ; puis elle lui intima l’ordre de prendre dans le vide poches le grand tissu qui s’y trouvait, de le glisser sous ses fesses, et de se masturber, ne pouvant ainsi mouiller le siège.
« Ecartes bien les cuisses pour que les automobilistes qui te dépassent puissent se rendre compte à quelle activité vicieuse tu t’adonnes ; et s’ils te klaxonnent, tu tournes la tête vers eux et tu leur souris. » Lire la suite
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