J’obéis à mon mari
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Après ce week-end éprouvant pour mon intimité, les jours reprirent leurs cours normaux.
Au boulot le matin – je suis secrétaire à mi-temps dans un cabinet médical- l’après-midi dans notre appartement de la rue Vouillé où je lisais, écoutais de la musique, échangeais avec mes amies sur facebook. De temps en temps je me demandais ce que mon mari me préparait comme nouvelle instruction et mesure de soumission mais quelque jours sont passés ainsi. Et puis il a décrété que dorénavant je devrais être toujours entièrement nue quand j’étais dans notre appartement, qu’il soit présent ou pas.
« Etre toujours nue, c’est indispensable pour que tu t’habitue, que cela devienne naturel, comme pour un animal. Une chienne ne se demande pas si elle est habillée ! Et quand je suis présent, tu sentiras mon regard sur toi, sur toute ton anatomie, toujours exposée à mon regard ».
Un après-midi, j’étais allongée sur notre canapé, rêvassant, toute nue, quand la sonnette de notre appartement sonna. Je me levais et regardai par l’œilleton pour voir qui sonnait car c’était rare de recevoir une visite l’après-midi, sinon celle de livreurs. Qu’est ce qu’elle peut bien me vouloir me dis je en reconnaissant la voisine du dessus, une femme âgée d’environ 60 ans, pas sympa, toujours l’air sévère, revêche, qui me répondait à peine quand je lui disais bonjour en la croisant dans l’ascenseur ou sur le trottoir devant l’entrée de notre immeuble. Vite, j’enfilai une robe et ouvris la porte pour lui demander ce qu’elle voulait.
« Puis je entrer 5 minutes, j’ai quelque chose à vous remettre ».
Je la fis entrer et elle me tendit une enveloppe en me précisant que c’était une lettre de mon mari. Stupéfaite par cette annonce, supposant le pire, j’ouvris la lettre avec fébrilité.
« Ma chérie. J’ai vu longuement notre voisine pour lui exposer ton évolution dans notre relation. C’est maintenant le moment de continuer ton apprentissage pour devenir la femme sans tabou que tu seras un jour. Tu dois toujours être toute nue dans notre appartement, que je sois présent ou pas. Mais l’es tu vraiment quand je suis absent ? Notre voisine accepte de venir vérifier, à l’improviste, si tu respectes bien cette instruction. Elle a une clé de notre appartement, comme cela elle pourra entrer à tout moment choisi par elle. Elle pourra aussi te donner des ordres auxquels tu devras te conformer sans restriction, quels qu’ils soient. En contrepartie de ce temps passé avec toi, tu devras deux fois par semaine aller chez elle faire sa poussière, son ménage ou sa vaisselle. Tu la vouvoieras et l’appellera madame, et elle te tutoiera. Signes au bas de la lettre, en écrivant « lu et approuvé » et tu remettras cette lettre à notre voisine. C’est elle qui me la donnera ce soir. Bien sur tu peux refuser de signer, la voisine partira aussitôt de chez nous mais je te punirais bien plus sévèrement. A toi de choisir »
Cette lecture m’anéantit. Je regardais la voisine qui arborait un sourire hautain. Mon cœur battait à toute vitesse. Que faire ? Signer ou attendre une punition qui n’était peut être pas certaine ?
« Allez madame, il faut vous décider, je ne peux passer mon temps à attendre votre décision »
Tant pis, je pris un stylo et signai en écrivant la formule demandée. La voisine me prit la lettre des mains pour la ranger dans son sac.
« Et maintenant mets toi à poil m’ordonna t elle ». Lire la suite
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