Secrétaire médicale
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1er jour.
Catherine travaille pour la docteur Martine B. depuis trois mois. Afin de ne pas perdre du temps dans la narration, voici leur portrait succinct.
Martine a trente-deux ans, mesure un mètre-soixante-seize, brune, cheveux coupés courts, aux yeux noirs, petit nez aux narines pincées, bouche aux lèvres minces, poitrine aux seins opulents, fermes, ventre plat, musclé, hanches larges, croupe épaisse, cuisses musclées.
Catherine a vingt ans, mesure un mètre-soixante-cinq, blonde, cheveux coupés à la garçonne, aux yeux verts en amande, nez fin, bouche aux lèvres pulpeuses, poitrine aux seins menus, ventre plat, hanches de garçon, fesses rondes, pommées, cuisses fines.
Catherine est vingt-quatre heures sur vingt-quatre au service de Martine. Elle ne dort avec sa patronne et maîtresse que du vendredi soir au dimanche soir.
Ce lundi, le réveil tire Catherine des limbes à sept heures trente. Rapidement la jolie blonde procède à ses ablutions, prend une douche, se sèche, enfile sa blouse blanche sous laquelle elle est nue en permanence.
Elle se rend à la cuisine où Marthe a préparé le petit déjeuner. Tout en dégustant son café et un croissant, elle prépare le plateau de Martine.
A huit heures treize précises, Catherine pénètre doucement dans la chambre de sa Maîtresse, dépose le plateau sur la table, se penche vers le lit, découvre doucement la dormeuse qu’elle doit réveiller d’un baiser sur la partie du corps nu du lundi : fesse droite.
Alors, demanderez-vous, si elle est inaccessible ?
Il y aura toujours une partie où elle pourra poser ses lèvres.
Catherine procède avec douceur. Illico, Martine ouvre les yeux, attrape sa compagne par le cou, attire sa tête vers la sienne. Un chaud baiser les unit.
Martine rompt le baiser, dit :
Fais le service !
Catherine se redresse, prend le plateau, le dépose sur sa Maîtresse qui s’est adossé à la tête de lit, un oreiller pour caler son dos, s’enquiert :
A quelle heure mon premier rendez-vous ?
9h45, Maîtresse.
Catherine opère un demi-tour, commencer à s’éloigner, la voix de Martine la cloue sur place :
Hep ! Où vas-tu ?
Une volte-face et elle répond :
Préparer votre cabinet, Maîtresse.
Un sourire cruel naît sur le visage de Martine :
Et ta fessée du matin ?
Je pensais revenir après votre douche…
Que nenni ! On a le temps quand j’aurai fini cet excellent petit-déjeuner.
Catherine ôte sa blouse. Elle sait que tous les matins elle est fessée, ainsi que tous les soirs avant d’aller se coucher. Itou les vendredi et samedi quand elles dorment ensembles, même si là ce sont plus des fessées d’excitation que celles de la semaine, punitives, pour les erreurs passées et à venir. Parfois, si Catherine fait une erreur de travail dans la matinée ou l’après-midi, elle est fessée après le départ de la cliente concernée, voire devant elle si c’est une habituée.
Martine commande :
Ote le plateau et met-toi en position de fessée.
Elle découvre ses jambes afin de bien sentir le contact de la peau de son amante, laquelle, plateau sur la table, s’allonge à plat ventre sur les cuisses nues de sa maîtresse.
Martine caresse la croupe offerte dans toute sa plénitude nue, passe sa main
Entre les cuisses qui s’ouvrent pour faciliter l’accès des doigts qui vont jusqu’aux grandes lèvres du sexe, s’y attardent. L’index ou le majeur, Catherine ne l’identifie pas, pénètre en elle, recueille les sécrétions intimes, quitte les lieux, remonte jusqu’à l’orifice anal qu’il pénètre et où il s’enfonce, arrachant un « Aaaaaaaye ! » à la jeune fille, jusqu’à la paume.
Martine fait naviguer son doigt, rapidement, en une sorte de sodomie digitale, le ressort sèchement, arrache un nouveau cri à Catherine, ainsi qu’un pet sonore. Martine regarde son doigt où il y a des traces brunes. Avec un mouchoir en papier, pris sur sa table de nuit, elle nettoie son index, alloue deux claques au cul nu, s’enquiert :
Es-tu allée à la selle ce matin ?
Un silence, puis d’une toute petite voix, Catherine avoue :
Non !... Non, Maîtresse !
Quand comptais-tu me le dire ?
A… Ap… Après ma fessée, Maîtresse.
Martine assène quatre fortes claques sur le derrière toujours bien offert, ordonne :
Va dans la salle de bain (elle ouvre le tiroir de sa table de nuit, en extrait une clé plate qu’elle lui tend), prend la boîte en fer et le petit plug numéro 2 et une paire de gants de latex.
Catherine gémit :
Non !... Non !... Maîtresse, pas ces suppositoires… S’il vous plaît… Ils font mal…
Ne traîne pas.
Martine claque deux fois les fesses.
Catherine quitte la couche, va à la salle de bain en traînant les pieds, revient deux minutes plus tard, tend les objets à sa Maîtresse.
Martine se gante les deux mains, ouvre la boîte en ferme, choisit un suppositoire ressemblant à un pouce par sa forme, long d’une quinzaine de centimètres.
Elle ôte l’enveloppe de papier aluminium, commande en désignant ses cuisses sous la couverture :
Allez, à plat ventre ici !
Catherine obtempère, grimaçante. Elle sait que ce suppositoire est recouvert d’une couche d’un produit qui pique comme de l’alcool à 90° afin de ne pas fondre rapidement.
Martine claque deux fois le derrière nu :
Ecarte tes cuisses, sinon comment vais-je te l’introduire ?
Catherine écarte ses jambes, demande d’une petite voix :
Maîtresse… Mettez du gel, s’il vous plaît !
Martine ricane, rétorque :
Mais non. De la salive suffit.
Elle avance le majeur de sa main libre vers la bouche de Catherine qui y dépose une bonne couche de salive qui, après retrait, est déposée sur son orifice anal.
La Maîtresse tient les deux globes écartés, abouche le suppositoire sur le trou du cul salivé, pousse lentement.
Catherine, toujours vierge de ce côté-là, dit :
Doucement… Maîtresse !... Aaaaaaaye !
Le doigt pénètre à la suite du suppositoire, afin de bien le faire monter vers l’intestin, puis ressort sèchement, accompagné par un pet que Catherine ne peut malheureusement pas retenir.
Martine claque plusieurs fois les deux fesses, crie :
Où te crois-tu ? Dans une porcherie ?
Non !... Non !... Maîtresse. Je ne l’ai pas fait exprès, ça m’a échappé… Excusez-moi !
Martine attrape le petit plug, le couvre de gel avant de forcer l’orifice anal de Catherine à l’avaler non sans mal, ni cris.
Celle-ci commence à se plaindre parce que son conduit commence à la piquer, si bien qu’elle s’agite sur les cuisses de sa Maîtresse :
Ouaille !... Laissez-moi… Aller aux toilettes… Maîtresse… ça piiiiiiique !... Aaaaaaah !...
Martine la tient afin qu’elle ne puisse pas quitter sa position, lâche :
Cesse de te lamenter. Tu dois tenir un quart d’heure… Or tu ne l’as que depuis deux minutes.
Catherine continue sa litanie :
Non !... Je veux y aller ! Aaaaaaaye !
Du coup, Martine la ceinture, après avoir ôté le gant de latex de main droite, décide la fesser, avec cet argument :
Tu vas crier pour quelque chose. Ta fessée matinale te manque, eh bien ! La voilà !...
Sans plus attendre, la main droite claque le globe gauche, y laisse, vu la force de la main, une belle empreinte de cinq doigts, rejointe une seconde plus tard par une nouvelle.
En fesseuse patentée, Martine claque uniquement la fesse gauche, selon un rythme soutenu. Sa main aux longs doigts musclés percute la chair sans répit, imprime à chaque claque une nouvelle empreinte qui rougit rapidement.
Catherine s’époumone :
Aaaaaaaye !... Nooooooon !... Maîtresse !... Asssssssez !... Pluuuuuuus !...
Martine change de globe, vise la fesse droite de la même manière, sans se préoccuper des jambes de Catherine qui battent la mesure sur son lit de souffrance. La main de sa Maîtresse marque la fesse droite de cinq doigts à chaque impact.
Catherine se supporte plus cette fessée manuelle qui se conjugue avec cette envie de déféquer qui augmente à chaque minute :
Arrrrrrrêtez !... S’il vous plait… Maîtresse !... Pluuuuuuus… La fessée !... J’ai enviiiiiiie… De faire… Caca ! … Laisssssssez-moi… Y aller !... Aaaaaaaye !...
Martine, sur deux fortes claques à chaque fesse, cesse la terrible correction, décide :
Allez, va dans la salle de bain ! Je te rejoins.
Catherine quitte précipitamment la couche, se rue vers la salle de bain en frottant énergiquement ses lombes pour tenter d’en atténuer les douleur et chaleur.
Martine, sans se presser recouvre sa main droite de latex, bascule ses jambes hors du lit, avance vers la salle d’eau…
Martine va-t-elle laisser Catherine se soulager rapidement ? Ou réfléchit-elle à de nouveaux sévices ? Vous le saurez prochainement en lisant la suite.
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