MII épisode 19

mercredi 22 juillet 2009
par  lahoule
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Episode 19
— Qu’elle est belle ainsi et que son sexe est bon !

— Comment faites-vous pour qu’elle soit ainsi aussi apte à la jouissance, quel que soit le traitement !

— Elle est encore plus belle lorsqu’elle est contrainte, attachée, suspendue, comme en ce moment !

— J’aimerais l’avoir chez moi pendant une semaine pour voir jusqu’où elle peut aller dans la soumission au plaisir !

— Le corset lui va à ravir !

— Il faudrait qu’elle porte définitivement les fers aux poignets, aux chevilles et au cou…

— C’est vrai on pourrait ainsi la contraindre n’importe quand, n’importe où !

— Comment fait-elle pour couler autant ? Regardez, elle a inondé le sol !

— Il faudra la punir pour cela !

— Je propose la caisse pendant deux jours !

— Pourquoi pas, mais vous savez qu’alors nous ne pourrons plus la pénétrer pendant ces deux jours !

— Qu’importe, nous la punirons de cela après !

— On veut la voir jouir et juter toute seule comme la jouisseuse qu’elle est !

— Deux jours d’accord, mais après cela, je demande qu’elle soit livrée à notre imagination pendant deux autres jours !

— Pas possible, puisque sera alors terminée la période aveugle ! Au grand jour seront alors développés d’autres jeux !

— Tout aussi fous !

— D’accord, va pour la caisse !

— Carmen délivrez-la, douchez-la, préparez-la pour cinq heures !

— J’aimerais qu’on lui change aussi de corset, celui-ci ne la cintre plus assez !

— Prenez aussi ses mesures pour les fers !
MII entend les pas s’éloigner et se retrouve seule, suspendue, le corps épuisé de jouissance, les sens tourneboulés par les révélations qui se sont fait jour en elle : ce besoin de soumission à son maître ; ce refus de certaines pratiques qui deviennent encore plus troublantes sous la contrainte ; ce trouble permanent à la fois honteux et délicieux qu’elle vit aux dépens des maîtres ; ces situations scabrauses qu’elle aimerait refuser, mais qu’elle accepte ; ces folies qui s’installent dans sa tête qui la forcent à tout accepter pour mieux jouir d’en avoir été contrainte. C’est un pan de sa nature qui se dévoile. Elle en a peur, comme elle a peur des frontières qu’elle est capable de repousser pour la quête de son plaisir et surtout celui de son maître.

— Ce n’est pas possible, tu es encore en train de te troubler tout seule ! Mais, tu es une vraie goulue !

— Je n’en reviens pas moi-même ! Crois-tu que je suis dépravée ?

— En tout cas tu en as les dispositions !

— Cela m’effraie pour moi-même, mais quand je pense à mon maître, cela me paraît normal.

— C’est signe que tu es vraiment soumise et … que tu aimes cela !

— Je ….

— En tout cas, dans le plaisir, tu sais le crier très fort !

— A froid, en ce moment, devant toi, même si je ne peux te voir, j’en ai honte !

— Oh, tu sais la honte s’oublie très vite, surtout si l’on t’aide avec quelques marques sur les fesses !

— Non, pas déjà !

— Tranquilise-toi, on te laisse un moment de repos ! Et puis, il faut que je passe ton corps à l’huile miracle !

— Quoi, celle qui provoque cette folie dans mes sens !

— Justement !

— Tu vas encore me rendre folle ! Cela va me rendre encore plus avide et j’en ai peur !

— C’est la volonté des maîtres ici ! Repousser tes limites au-delà de ton imagination ! Tu deviendras encore plus cochonne que la plus belle pute que l’on puisse trouver !

— Quand on en parle comme maintenant, à froid, cela me fait horreur …

— Et quand tu le vis, les frontières ne sont jamais assez éloignées, hein !

— …..

— Tu n’oses pas te l’avouer, hein !

— ….

— Allez va, ne fais pas la mijaurée, avec moi, cela ne prend pas ! - N’oublie pas que quand je m’occupe de toi, j’ai tous les droits sur toi, y compris celui de te fouetter !

— Attention, je vais te défaire, mais ne bouge pas, parce qu’il y a un long moment que tu es dans cette position !

— Combien de temps ?

— Trois heures !

— Quoi ?

— Et oui, la belle, tu n’as pas cessé de jouir, de prendre ton pied, de refuser les traitements avant de hurler que ce n’était pas assez fort, assez long, que les pénétrations n’étaient pas assez profondes !

En effet, à peine MII est-elle détachée, qu’elle sent ses muscles se détendre et ses mouvements sont difficiles.

Carmen l’aide à se dresser.

Cependant la station verticale lui fait brutalement reprendre conscience de ses chaussures, de son corset !

Elle est obligée de pousser un énorme soupir au premier mouvement de marche !
Carmen lui rattache la chaînette à son collier et la tire doucement dans sa nuit vers sa cellule qu’elle ne connaît toujours pas et qu’elle est incapable de localiser, à part qu’il lui faut descendre l’escalier en colimaçon et cheminer le long couloir qui résonne sous ses pas.
La porte enfin. MII se retrouve dans l’ambiance feutrée qu’elle connaît maintenant assez bien, même sans savoir encore à quoi ressemble sa cellule.

Carmen la tire, lui délivre les mains du dos qu’elle s’empresse d’accrocher au dessus de sa tête.

— Voilà, maintenant que tu es en position, je vais pouvoir m’occuper de toi. Tout d’abord
tes escarpins. A peine délivrée, MII se sent presque suspendue et est obligée de se tenir sur la pointe des pieds si elle ne veut pas se démolir les poignets.

— Maintenant le corset.

Enfiler un corset est une épreuve, même si l’effet provoqué dans son sexe est évident ; l’enlever est une autre épreuve. Libérée, elle se sent nue, abandonnée.

— J’ai de la peine à être privée …

— De ton corset ?

— Oui…

— Ca ne m’étonne pas ! A moi aussi cela me fait cet effet. Plus on te rétrécira la taille et plus tu ressentiras le manque. Parfois, c’est même un supplice que ton maître te fera subir !

— Bon, attention, maintenant je vais te doucher !

— Arrête, c’est trop froid !

— Non, c’est obligatoire avec ce que tu as subi. L’eau chaude congestionnerait encore davantage ta peau et cela te laisserait de vilaines marques. Or ton maître, même s’il adore voir sur ton corps les traces du fouet, adore tout autant voir les autres parties de ton corps rester très nettes.

— L’eau réveille les sens de MII, elle se met à se contorsionner et prend un plaisir évident à la manière dont Carmen explore sa peau avec le jet. Elle s’arrête plus que volontiers sur la région de son sexe, douche allègrement son clitoris. Immédiatement, le corps de MII réagit. Elle oublie l’eau trop froide. Au contraire, le plaisir naissant lui fait paraître l’eau comme un agréable rafraîchissement et elle gémit tout le temps que Carmen s’occupe de son sexe, de son œillet.

Elle se met alors à crémer le corps de MII qui réagit au quart de tour sous l’effet dévastateur…

— C’est trop, je brûle, mon sexe est un volcan, mes seins me paraissent énormes, mes fesses sont brûlantes !

— Tu devrais te voir ! On dirait qu’on te baise depuis des heures !

— Mais c’est bien ce que l’on me fait depuis que je suis ici !

— Oui, mais en ce moment tu respires le sexe, tu luis d’envie de jouissance, t’es une vraie cochonne. Heureusement que je ne vois pas tes yeux, je suis sûre qu’ils transpirent la jouissance ! Ce n’est pas possible, la femme que tu es !

— T’en es jalouse ?

— Oh oui ! Et je peux te dire que j’ai un maître autrement plus exigeant que le tien ! Toi au moins, il est attentif à ton moindre plaisir parce qu’il t’apprécie !

— Le tien, ce n’est pas le cas ?

— On m’a donné à lui par dette de jeu et depuis, il ne cesse de me punir. Jamais je ne suis pénétrée !

— Tu devrais en être contente !

— Non, je vis ma soumission sans aucun sexe ! Maintenant que je suis habituée à ma soumission, se révèle en moi des envies folle d’être pénétrée, de jouir et on me le refuse. Mon maître le sait et il en joue. Parfois il m’attache, fais monter en moi l’envie, la folie du sexe. J’ai beau crier, hurler, lui montrer comme mon sexe coule, il ne cesse de me rappeler ma soumission. Et plus je reste dans cet état et plus grandit en moi l’envie d’être prise, violée, mais surtout que je puisse me libérer de ce trop-plein ! Tous ici ont reçu l’ordre de me refuser la jouissance. Au contraire, ils ont la mission de la faire grandir sans jamais me satisfaire et cela me rend folle. Une autre folie grandit en moi : j’aime de plus en plus mon maître et je ferais n’importe quoi pour qu’il me garde. J’ai tout essayé, d’être la plus cochonne, de me tortiller, de m’exhiber sans qu’on me le demande, il m’est arrivé de tenter de me caresser… Tout ce que j’y ai gagné ce sont le fouet, la suspension…Je ne veux plus mon mari ! J’aspire à être donnée à mon Maître ! Hélas, il a deux autres soumises dont il est amoureux et elles le satisfont entièrement côté sexe. Moi, il se contente d’abuser de son droit et me plie à toutes ses volontés. Le manque de jouissance me rend prête à n’importe quoi ! Je me frotte aund je le peux sur le bord de mon lit, sur le bord de la baignoire. Mais on m’a surprise et maintenant on s’arrange pour m’empêcher à tout prix de prendre du plaisir. Souvent je réclame le fouet qu’on m’échauffe jusqu’à la jouissance. Les maîtres s’en sont rendu compte et s’arrangent pour me laisser sur ma faim. J’en suis folle. Quand je suis dans ma cellule, on m’attache les mains pour éviter que je ne puisse me branler. J’ai en permanence le clitoris en feu.
Un jour, ils m’ont trouvé en train de me frotter sur les colonnettes de l’escalier pour essayer de me satisfaire. J’ai reçu une volée de fouet qui a encore attisé mon envie ! Parfois, je deviens folle du fouet, sutout quand les lanières atteignent mon clitoris, glissent sur mon œillet. Je suis obligée de prendre mon plaisir de ces tout petits attouchements.

— Je te plains !

— Je ne sais pas combien de temps va durer cette torture, avant que mon maître ne me donne à quelqu’un d’autre… Je suis sûre qu’un jour il se lassera de moi et comme il ne m’aime pas…

— Comment le sais-tu ?

— Je le sais, c’est tout !

— J’espère que ce sera le plus tard possible, parce que je sens que je peux de moins en mois m’en passer ! Bon, attention, je vais te passer le nouveau corset !

De couleur vert sombre, il était long et recouvrait la totalité du corps de MII des hanches jusque sous les seins. Il était baleiné d’acier et muni d’un double laçage, métallique sur le devant s’achevant au moyen d’un cadenas qui le verrouillait ; d’un laçage dans le dos rehaussé de sangles de cuir se fermant avec des boucles d’acier. Si le laçage fut une épreuve, le bouclement des huit boucles poussa MII au paroxysme de la contrainte. Ses seins dardaient leur pointe de manière inconvenante, surtout après qu’on les ait ornés de bijoux dorés saisissant le téton à sa base et le comprimant fortement.

— C’est terrible !

— Je sais et je ne l’ai pas encore totalement serré. Je t’avertirai lorsque ce sera le moment, parce qu’il faudra que tu m’aides !

— Tu devrais faire en sorte que tu lui deviennes indispensable, comme mon maître que je n’aimais pas au départ m’est devenu indispensable, parce qu’il m’a révélé des choses inconnues qui me sont devenues indispensables. Même si je les redoute, parfois j’en ai peur. Mais ces sentiments sont reliés à lui, par lui je les vis de plus en plus intensément, je découvre que c’est cela qui me le fait aimer de plus en plus.

— Que ta vie est belle et que la soumission te va bien ! Tu resplendis, malgré les traitements que tu subis !

— C’est vrai, je les subis, mais je crois que je vais de plus en plus à leur rencontre ! Il y a des jours que je suis dans l’obscurité, que je ne sais pas où je vais, où je suis réellement. Mon corps s’est habitué, ce n’est plus un facteur de peur, au contraire, j’apprends à goûter chaque parcelle de mes sensations. Parfois, je me trouble d’un courant d’air que je n’apercevrais même pas si je voyais où je suis. Mes mains, quand elles sont libres perçoivent les objets de manière différente. Tu vois, j’aime de plus en plus l’obscurité.

— Est-ce que ce n’est pas pour toi aussi une excuse que tu te donnes pour justifier la femme que tu deviens ?

— Peut-être, mais ça m’est égal, j’apprends à vivre quelque chose que jamais je n’aurais cru possible pour une femme comme moi.

— Attention, je vais te reserrer ton corset. Il faut que tu retiennes ta respiration en remontant tes seins. Tu sais, je suis obligée d’utiliser un petit instrument qui me permet de resserrer les deux pans du corset, sans cela je ne pourrais pas les rapprocher. Attention !

— Aaaaahhhhhhh !, c’eeeeest terrrible !

— Je sais, mais je dois le faire ! Attends, maintenant je vais boucler les sangles. Là ce sera facile, parce que l’instrument maintient le corset.

— Voilà !

MII se sent contrainte comme jamais. Ses seins dardent en avant, sa taille est réduite au maximum et surtout ce corset lui creuse les reins et lui donne une allure très féline.

— Heureusement que tu ne te vois pas, sans cela tu serais séduite, tellement ta taille est cintrées, tes reins creusés ! Tu as fière allure ! Ton maître sera ravi ! Tes chaussures, maintenant et nous y allons.

— Où ?

— Dans la salle d’éducation, où tu vas rester deux jours ! Mais je t’assure que tu ne les oublieras pas de sitôt !

Comme un cérémonial inlassablement répété, MII sent à nouveau la chaînette s’accrocher à son cou, ses mains être immobilisées dans le dos. La seule différence, c’est qu’elle ne porte pas la ceinture avec les pals et qu’elle en constate le manque. Du coup, sa marche est plus aisée et elle se plaît à entendre le claquement des talons sur les dalles de pierres. Elle a toujours autant de peine à être rapide et souvent c’est la tension sur la chaînette qui la remet à l’ordre. Chose nouvelle aussi, elle se complait d’être ainsi conduite en aveugle, dans une tenue si hardie pour elle. Depuis combien de temps n’a-t-elle pas été habillée, elle ne peut s’en souvenir, puisqu’elle n’a plus la conscience des jours qui passent. Son sommeil est rythmé par ses jouissances et ses évanouissements, nouvelle notion du temps qui passe. Le trouble est, lui, bien évident et se signale par ces pincements aux tétons, ces montées d’humidité dans son sexe surtout lorsqu’il est libre comme maintenant. Dans les moments où elle est distendue, elle vit tout autre chose. Ce sont les battements du cœur dans le sexe, dans l’œillet ou dans les deux à la fois, comme lorsqu’elle était prise par les deux pals. Ce souvenir est entêtant et se signale par un manque évident ! Paradoxe des paradoxes.

— C’est si difficile de supporter d’être distendue, puis si troublant et voilà que maintenant c’est le manque qui surgit.-Décidément, je deviens vraiment obsédée de sexe, une goulue !
Cette pensée a immédiatement un effet sur ses lèvres, son cœur, et elle est obligée de ralentir ce qui se ponctue immédiatement par un rappel à l’ordre de la chaînette !
J’ai tellement envie d’être la plus…. pour mon maître !

MII entend une lourde porte s’ouvrir et elle entre dans un endroit où l’odeur est toute différente. Elle a l’impression d’entrer dans une droguerie ou un magasin de thé. Ce sont des odeurs d’herbe fortes, mais fraîches.

Le claquement d’un fouet sur ses fesses la précipite à terre !

— Que fait-on quand on entre dans une pièce et que l’on est soumise ?

— Pardonnez-moi, maître, j’ai de la peine à savoir où je suis !

— Et en plus tu parles !

Deux nouveaux coups de fouet atteignent ses fesses et les lanières les plus longues glissent sur son sexe déjà bien humides des évocations précédentes.

Elle se prosterne, à genoux d’abord, puis posant ensuite la front à terre, elle ouvre les jambes sur ses genoux en signe d’invitation à être pénétrée !

Un dernier coup l’atteint sur l’œillet. Elle lance une plainte en même temps qu’elle jouit et s’abat sur le sol.

— Aaaaaaaaaaaaaaa hhhhhhhhhhhh ! Oooouuuuuiiiiii !

Mais elle ne peut en profiter longtemps.

— Lève-toi esclave !

MII difficilement se relève et attend patiemment ce qui va se passer. Son corps est brûlant, son désir d’être prise la tenaille. Son sexe est libre depuis un temps si long lui semble-t-il.

— Amenez-la ici !

MII se sent tirée sèchement et suit la traction sur son cou. On la libère de ses entraves.
Le maître la saisit par les tétons et se met à la promener en cercle. MII ne peut pas résister à ce traitement. Elle le connaît et il lui provoque immédiatement des jouissances incroyables, ce qui ne manque pas d’arriver. Elle n’a pas fait deux pas que déjà elle gémit et se plonge avidement dans son plaisir.

Le maître continue son manège et l’entraîne dans des arabesques qui achèvent de l’exciter et elle se met à hurler son plaisir.

— C’eeeeeeeeesst boooooon ! Meeeeereci !

— Bravo, voilà une réaction digne de la soumise que l’on dit que tu es ! Tu sais que tu es une femme facile, qui a toujours envie de jouir, d’être pénétrée, fessées et caressée ?

— Oui, maître et je ne peux qu’en redemander, même si cela ne me sera pas forcément accordé.

— Belle cochonne assurément !

— Non, Maître, pas cochonne, seulement soumise au plaisir de mes maîtres …

Une fessée magistrale l’oblige à crier !

— Et la loi du silence, tu connais ?

— Oui, Maître !

— Carmen, asseyez-la !

MII se sent prise par les bras et conduite à reculons jusqu’à ce qu’elle bute sur un siège et s’assied.

Que ce siège est étrange. Le placet semble si minuscule qu’il lui laisse une grande partie de ses fesses libres de tout contact.

Puis ses jambes sont écartées et passées derrière une pièce qui rend impossible de les fermer. Ses bras subissent un écartement identique et reposent sur une sorte d’accoudoir relativement écarté.

Une sorte d’appuie-tête vient se loger contre sa nuque et se referme sur son cou. MII ne peut plus bouger vers l’avant, ni vers l’arrière avec la tête. Dans son dos, elle sent un dossier en forme de barre courir du cou jusqu’à au bas des reins, à la fin du corset.
Elle sent Carmen lui passer des liens qui la solidarisent totalement. Soudain, elle entend le cliquètement de la fermeture, d’un coffre qui se ferme et la voilà imoobilisée dans son siège.

Alors, diaboliquement, elle entend le maître s’adresser à elle. Voilà, l’antre de tes plaisirs et de ta soumission pour les deux prochains jours. Tu ne quitteras pas ce siège, c’est ton enfer et ton paradis à la fois. Tu auras beau faire tout ce que tu veux, rien ne changera à ton état pendant deux jours !

— Maître, comment irai-je aux toilettes ?

— Ne t’en fais pas, tout est pensé, tu feras tes besoins sans quitter ton siège. Tu seras lavée, nourrie, punie ici !

— Mais pourquoi, maître ?

— Silence, si tu ne veux pas être fouettée au sang !

— Carmen, vous pouvez fermer, nous reviendrons pour la suite du traitement. Il faut la laisser.

MII est maintenant seule dans sa nuit et à l’intérieur de ses sensations. Elle ne peut bouger et est obligée de se concentrer sur les réactions de son corps à cet immobilisme. Les sensations sont terribles. La crème fait tout son effet après environ une demi-heure. MII sent sa peau brûler, Son corps palpite. Le corset qui la contraint de manière incroyable prolonge les sensations, son sexe coule est une source de cyprine. Elle entend de temps en temps les gouttes tomber, ses lèvres réagir, parce son humidité renforce aussi l’effet de la crème. Elle s’aperçoit que l’envie de jouir remonte, la tortille dans le ventre. Sa bouche s’humidifie aussi. Elle n’est qu’un trouble qui, en temps normal, l’obligerait à se lover, à tortiller des hanches, à creuser ses reins pour mieux épouser les formes de son plaisir. La contrainte renforce cette sensation, paradoxalement. Elle s’aperçoit que son immobilité forcée renforce toutes les sensations. Cette pensée la trouble davantage et subitement alors qu’elle ne s’y attend pas, elle se sent forcée d’un plaisir qu’elle ne peut contenir. Son corps est débordé.

— Alors soumise, comment se sent-on dans son carcan d’obscurité ?

— C’est terrible !

— Voyons un peu ! MII sent un doigt entrer dans ses lèvres, la fouiller comme si les doigts cherchaient de la monnaie dans une bourse. Elle commence par crier avant de jouir une nouvelle fois.

— Regardez-moi comme elle jouit cette garce, c’est une mouilleuse ! Prenez-en de la graine, Carmen ! Vous ne pouvez être prise pour les raisons que nous connaissons, mais vous pouvez comme MII vous accorder ces plaisirs solitaires qui semblent tellement inévitables !

— Oui, maître !

— Evidemment après, vous êtes punie, mais cela n’est pas qu’un désavantage ! Vous aimez jouir de la punition, n’est-ce pas Carmen ?

— Oui, maître !

— Bien, alors lorsque MII aura terminé ses deux jours, je veillerai à ce que vous la suiviez sur le siège pendant trois jours !

— Autant ?

— Vous feriez mieux de me remercier, je suis dans un bon jour. C’est parce que je vois cette petite cochonne prendre son pied, et que je pourrai la punir ensuite, que cela me donne l’envie de vous octroyer aussi ce plaisir si particulier. Bon, trêve de plaisanterie, amenez les pals, les rouges !

— Ils sont énormes, ils ne vont pas entrer !

— Carmen, c’est mal me connaître ! Vous voyez que notre soumise est déjà complètement ouverte et n’attend que sa pénétration. On va simplement rajouter un peu de crème.

MII est badigeonnée de la folle pommade autour des fesses, dans l’entrecuisse, puis sur son œillet, ses lèvres, avant de sentir les doigts l’ouvrir devant comme derrière et disposer le nectar de folie au plus profond de ses muqueuses. Les réactions ne se font pas attendre et MII se met à hurler !

— C’est trooooop ! Oooooooh, mon Dieu, quelle folie ! Je brûûûû^le ! Aaaaaah ! Ooooooh ! C’est teeeerrrriiible !

— Voilà, elle est sur les charbons ! D’abord le sexe ! D’un seul coup très précis, le pal est enfoncé dans les lèvres de MII !

— Aaaaaaaaah ! Je jouiiiiiiiis !

— Profites-en, parce que maintenant cela va être une autre paire de manches !

Avec toutes les peines du monde, il force les reins de MII qui crie de plus belle !

— Ces’t troooop groooos ! Je ne peux paaas !

— Inutile, de toute façon tu l’auras !

Effectivement, après plusieurs essais, le précieux sexe est entièrement introduit !

— Je vais éclater !

— Tais-toi, si tu ne veux pas subir une punition immédiatement !

— Carmen, les pinces !

La maître, avec ses doigts, pince tout d’abord les tétons de MII afin de les faire encore plus proéminents et place sur chacun d’eux un bijou infiniment diabolique puisqu’il entre en résonnance avec les pals auquel il est rattaché.

— Voilà, maintenant on va la laisser en réglant l’appareil sur sensations douces ! Ensuite on verra selon comment elle répond !

Silence, toujours ce silence. Sa solitude lui fait prendre conscience des pénétrations terribles qu’elle subit. Même si son sexe est gorgé de cyprine, il est complètement distendu et son œillet pret d’éclater. Elle est tellement serrée à la taille qu’elle a l’impression que son corset maintient les deux sexes en elle. Elle n’a jamais ressenti dans son corps pareilles sensations. Ce n’est pas du bien-être, parce que la contrainte est terrible, mais, ça y essemble par ce que cela lui montre de sa soumission. Pour son maître, elle est capable d’être dans cet endroit, qu’elle n’a jamais vu, dans une situation que personne n’oserait imaginer, et dans un état d’excitation extrême.

Soudain, sa respiration est brutalement coupée par une sensation inconnue qui la traverse complètement, une espèce de secousse électrique crispe ses tétons et simultanément son sexe et son œillet. Cette secousse bien que faible se prolonge et la tend complètement. Son corps se raidit de part en part, malgré le peu de mouvement qu’il est capable de produire. Une jouissance de courte durée terrasse MII, une jouissance extrêmement violente, mais très brève. C’est nouveau en elle. Malgré sa brièveté, son effet est terrible. Elle provoque le manque, son corps immédiatement demande, réclame, exige avidement une suite. Elle est comme droguée de sexe. Sa respiration est saccadée, son corps transpire abondamment. Elle sait qu’elle va perdre pied, qu’elle va crier, hurler, réclamer ces plaisirs qui l’envoient au-delà du raisonnable…

L’attente est encore plus terrible que lorsqu’elle peut se laisser aller dans le plaisir. C’est quasi insupportable et elle se met à appeler à ce que cela recommence…

— S’il vous plaît, ne me laissez pas comme cela, je deviens folle ! S’il vous plaît, encore, ce n’est pas assez ! Je ferai tout ce que vous voudrez… Je serai votre chose, votre putain, votre fille de joie, mais je vous en prie, ne me laissez pas comme cela, faites-moi jouir, fouettez-moi….

Hélas ! Il n’y a que le silence qui est en mesure de l’accompagner dans sa faim sexuelle.
Les moindre parties de son corps sont ouvertes et les deux sexes qui la transpercent au milieu de son corset se mettent à la fête. Là est le vrai siège de sa folie…

A force d’y penser, de revenir sur cette jouissance si brève et en même temps si intense, MII se prend à son propre jeu, elle plonge. Immédiatement son corps et son sexe réagissent et soudain…

— Noooooon ! C’est pas pooosssible je jouiiiiiis ! Aaaaah ! Oooooh ! c’est troooop, c’est tellement foooort !

MII jouit, sans aucune aide extérieure autre que son esprit. Elle s’aperçoit qu’elle est capable et cela pour la première fois de jouir d’elle-même. Bien sûr, elle est dans une circonstance particulière, dans ce siège, avec les pals fichés au plus profond de son être. Cependant, elle s’aperçoit qu’elle peut guider ses sensations et se faire jouir par sa volonté. Auparavant, elle ne pouvait le faire qu’en se caressant le sexe, le clitoris. Là, elle est immobile, incapable du moindre mouvement. C’est de cette immobilité qu’elle tire son plaisir, cette contrainte est justement l’instrument de la montée du plaisir. Plus elle y pense et plus le plaisir monte, facilement.

— C’est tout simple, mais fallait y penser !

Il fallait y penser ou oser y penser ? A la réflexion, elle pense pour la deuxième solution. C’est le chemin dans sa soumission,les émois provoqués créént les conditions de cette découverte.

— Je me connais un peu plus, tout simplement !
Est-ce que j’arriverai à me faire jouir, sans me toucher, n’importe où, n’importe comment ?

Cette pensée lui brûle l’esprit par la folie qu’elle laisse supposer..

— Alors, elle en est où, ma soumise ?

— Maître, c’est trop ce que vous me faites vivre, je découvre que grâce à vous, il y a des rivages qui s’ouvrent à moi. Ils sont sans frontières !

— De quoi parles-tu dans ce langage poétique qui est assez peu en rapport avec ta situation ?

— Maître, par vous et ma soumission, je viens de découvrir que je suis capable de jouir de moi-même comme la plus jouisseuse des courtisanes !

— Des putes, tu veux dire …

— O…. - Oui, maître, mais j’ai de la difficulté à prononcer un tel mot.

— Pourtant c’est ce que tu vis en ce moment !

— Oui, mais je le fais à travers vous, à travers ma soumission. Je peux l’accepter, mais n’arrive pas à le prononcer, même si je sais qu’en moi, le mot existe. Vous m’avez donné à d’autres, vous avez voulu que je sois prise devant vous par d’autres, j’en ai joui comme une folle et vous m’en avez puni et vous continuerez à le faire. Je sais que cela se passe, avec vous, par vous. Mon plaisir vous est dédié. J’ai besoin que vous le ressentiez ainsi. Si votre plaisir est grand, alors je suis grande, sinon punissez-moi !

— Remercie-moi de te permettre de vivre cet état.

— Merci, Maître …

— C’est bien ! Je dois m’absenter jusqu’à demain ! En mon absence, tu dépends des autres maîtres et de Carmen la servante chargée de suivre ton éducation !

— Oui, Maître ! Maître ?

— Oui ?

— Vous me manquez déjà !

— Attends, je vais te donner une raison encore plus forte de ton manque !

D’abord, le maître appose sur les seins de MII, puis sur ses fesses une dizaine de coups de fouets très précisément placés qui la projettent dans une sourde douleur avant de rencontrer ce plaisir sulfureux qui la reprend, puis il la caresse sur ses bouts, en les malaxant doucement, mais fermement, tout en caressant le clitoris complètement humide en raison des jouissances précédentes. Il ne manque pas en même temps de faire bouger les pals qui achèvent de l’exciter ..

— Ooooooohhhh Oui, Maître, c’est bon, j’aiiime !

— Carmen, vous noterez dix coups de fouets pour la punir des plaisirs qu’elle va prendre durant ma courte absence ! En attendant, profitez de voir de quoi elle est capable !

— Bien, maître !

Il disparaît.

MII tout en regrettant ce départ profite du silence pour se retrouver. Elle est triste du départ, mais heureuse de sa solitude qui la rapprochera de lui. Elle pourrait en profiter pour se laisser aller, elle préfère jouir du calme, pour autant que sa situation présente puisse le lui apporter. En effet comment oublier le corset, les pals, les liens. Mais ils font partie d’elle, elle fait corps avec. Ils sont les garants de ses plaisirs. Alors elle plonge dans une demi-rêverie assez chaste, il faut qu’elle en convienne.

Mais…

Mais la rêverie est de courte durée, une secousse électrique la tend subitement des seins au sexe, comme la première fois. Cette fois, elle est plus longue, plus profonde et atteint ses dernières fibres nerveuses. Son corps réagit immédiatement par une jouissance qui lui coupe la respiration, la fait transpirer et enfin lâcher ces cris profonds, bestiaux qu’elle ne peut plus retenir.

Quelle folie ! Mais où son corps va-t-il chercher tous ces émois ? Elle aimerait écarter les jambes, se lover, se retourner, monter les fesses comme lorsqu’elle est prise par derrière, crier dans le coussin comme elle aime le faire. Nenni, elle est solidement contrainte à son siège si étrange et ne peut trouver de délivrance que dans ce un long cri d’amour infini, comme n’en finit pas non plus la secousse électrique qui prolonge ce long plaisir.

— Auuuuu secooours, je n’en peux plus, mais j’aiiiime ! Et la folie du sexe se prolonge, la tend, lui couple le souffle, les ondes de plaisir se succèdent sans discontinuer. MII transpire, elle sent les gouttes glisser le long de ses joues, sur son corps, se mêlent à l’onguent diabolique qui recouvre toute sa peau. Le contact de la sueur qu’elle produit réagit très fortement sur la pommade et son corps qui s’enflamme.

MII hurle comme jamais elle n’a hurlé jusqu’ici. Ses seins lui paraissent énormes. Le courant électrique, les pals et la contrainte imprimée à son corps agissent de concert pour la perdre un peu plus.

— Encooooore, baisez-moi, fouettez-moi, claquez-moi, je veux être pénétrée par des sexes, tous les sexes du monde, arrachez-moi ces faux sexes, je veux des bites, des grosses queues qui me défoncent, mais qui bougent….

Elle n’a pas achevé ses paroles qu’elle sent en elle des mouvements terribles…

Les sexes bougent, vont l’un vers l’autre, comme s’ils étaient vivants, ils tournent, s’arquent et folie suprême, changent de volume !

— Aaaaaaaaaahhhhh ! C’est troooop ! J’éclaaate ! Mon cul est défoncé, mais c’est …. Booooon ! Mes lèvres vont éclater…

Mais les deux faux sexes sont sourds à ses cris !

Mus par une invisible pulsion, ils s’acharnent à la perdre et atteignent leur but.
Constamment, ils changent de volume. Lorsqu’un diminue, c’est l’autre qui grossit tirant de MII des soupirs, des cris des hurlements de plaisir qu’elle ne peut et ne veut plus contenir. Elle devient dans sa contrainte un animal réclamant sa pitance, une baiseuse sa jouissance, à la différence près que MII ne cesse de jouir, si bien qu’elle perd une fois encore connaissance en pleine vague de plaisir.

Carmen, accompagnée de M et de deux autres maîtres, revient.

— Elle réagit diablement bien, dit un des maîtres.

— Mieux que cela, regardez la sudation, elle brille de plein feu !

— C’est une vraie jouisseuse, bravo, M, belle trouvaille !

— Je crois que l’on peut passer à la phase deux.

— Carmen, fermez le siège !

— Bien, maître !

MII est alors entourée de toutes parts par des panneaux transparents jusqu’à son cou. Il n’y a que sa tête qui émerge. Elle est enfermée de toute part.

Elle sent alors de l’eau monter à une température tout à fait agréable. Cette eau est animée d’un fort courant, comme si elle se trouvait en thalasso. Les buses qui agitent l’eau provoquent un vigoureux massage de toute la surface de son corps. Comme elle est immobilisée les jambes écartées, les bras également, le dos cambré, corsetée, l’eau masse les endroits les plus sensibles. La pression de l’eau sur son sexe agite les pa ls en elle et commencent à nouveau les sensations délirantes. Les effets sont redoutables et MII jouit une nouvelle fois.

Elle n’a pas le temps de se remettre qu’elle sent à nouveau les secousses électriques sur ses seins, sur les pals et la jouissance reprend de plus belle…

MII est forcée de hurler tellement la jouissance est sauvage, brutale, lui couple le souffle..

— Je jouiiiis comme une foolle, n’arrêtez pas, c’est boooon ! Je suis à voooous ! Encoooore ! J’exploooose !

— Acceptes-tu d’être à nous, rien qu’à nous, de faire en tout temps ce que l’on te fera, que tu aimes ou non ?

— Ouiiiii !

— Acceptes-tu d’être l’esclave de plaisir de ton maître, quoi qu’il te fasse, quoi qu’il t’oblige à faire ?

— Ouiiiii ! Mais n’arrêtez pas ma jouissance !

— Carmen, vous pouvez la délivrer et la ramener à sa cellule. Comme elle a tout accepté, elle va assumer son esclavage au grand jour. Mais vous la laisserez se réhabituer progressivement à la lumière avant la suite de son éducation.

— Bien, Misses Gladstone !

— Demain, vous nous l’amènerez en bibliothèque. Jusque là, qu’elle se repose totalement nue et attachées !

— Comme il vous plaira Mr Gladstone !

MII retrouve le calme dans son corps. Elle s’aperçoit qu’au travers de ses jouissances multiples, elle commence à en connaître les moindres réactions, les moindres sensations. Les plus petits attouchements sont irrésistibles.

— Et si mon esclavage ne me menait tout simplement pas à la reconnaissance de ce que j’ai en moi ?

MII se retrouve debout, nue, encore humide des traitements subis. Elle faillit chuter, incapable de se tenir debout. Heureusement, Carmen, aidée d’une domestique ont réussi à la rattraper. Elles l’essuient, pendant qu’aussi doucement que possible Carmen la délivre du corset terriblement serré.

— C’est aussi terrible quand tu me l’enlèves que quand tu me le serres !

— Oui, je sais, c’est pour cela qu’on t’en met un souvent et qu’il est aussi enlevé régulièrement. Le corset est là pour que jamais, tu m’entends, jamais tu ne puisses t’y habituer. Cela doit rester une contrainte, une folie en dehors de toi. Lorsqu’on te l’enlève, c’est le manque qui doit se faire sentir.

Ensuite, vient la délivrance des deux pals. Là aussi, la liberté est un manque..

— C’est terrible, c’est insupportable au moment où je suis ouverte, puis tellement familier ensuite que j’ai de la peine à supporter le vide. Je me sens complètement nue, transparente !

— C’est que veulent t’apprendre Mr et misses Gladstone !

— Bon, au lit maintenant !

MII se retrouve très vite écartelée, sanglée dans une position qu’elle connaît bien. Suite aux traitements qu’elle a subis, elle se sent encore plus ouverte.

— Maintenant j’éteints la lumière pour libérer les yeux. Garde-les fermés encore un moment, jusqu’à ce que l’on ait éteint la lumière. Je te dirai quand tu pourras les ouvrir, ainsi tu pourras t’habituer à la semi-obscurité. Je reviendrai plus tard !

— J’ai faim !

— Pour cela, il te faudra attendre que tu sois autorisée à manger. Même cela ici ne t’appartient plus, comme ton sexe, ton œillet, tes seins !

— C’est terrible, tellement j’ai un creux à l’estomac !

— C’est sans doute que tu as l’œillet et le sexe trop ouverts, plaisante Carmen. Allez à demain !

MII n’a pas le temps de soupirer que déjà Morphée la saisit pour l’emporter dans ses torrents d’émois tous plus osés les uns que les autres…

PRECEDENT .............................................................................. A suivre


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Commentaires

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mardi 11 août 2009 à 15h20 - par  Rêves de femme

Et bien ce récit me rappelle le récit intitulé « Déclic pour 26 » écrit par Mr de V. dont la lecture m’a fait frémir... et dont j’aimerais bien lire la suite un jour prochain....

Site web : Le déclic pour 26
mardi 11 août 2009 à 14h01

Ah, bon ! Soyez plus précis !

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samedi 8 août 2009 à 14h50 - par  Rêves de femme

C’est vrai....

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samedi 8 août 2009 à 12h31 - par  Mr de V

Ca me rappelle qq chose....