Deux amies

Isabelle devenue soumise de Sylvie
jeudi 14 décembre 2017
par  FRANKIE
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SUITE FANTASMÉE DU RÉCIT DE JOCELYNE METTANT EN SCÈNE 2 AMIES

Il ne fallait pas beaucoup de temps à Isabelle pour rejoindre Sylvie : uniquement descendre de leur chambre pour la rejoindre à l’hôtel, mais reprise par cette confusion des sentiments qu’elle avait éprouvée quelques minutes auparavant, elle prenait son temps, un peu angoissée à se déterminer sur l’attitude à adopter. Cependant, en arrivant vers Sylvie, elle lui dit d’une voix forte, comme pour exprimer son mécontentement : « dis-donc, tu m’as bien piégée avec les photos bien exposées sur la table ! » Surprise de cette déclaration tout de go, Sylvie lui répliqua de suite : « Isabelle, mais quel est ce gros mot dans ta bouche ? PIEGEE ? Et tu dis cela à une amie ? Ce matin, c’étaient bien des ébats entre amies amoureuses au réveil ? Au fait, cela fait combien de temps que nous sommes amies ? Vingt ou Vingt-cinq ans ? Non, aujourd’hui, je n’ai pas envie de te voir et d’aller à la plage avec toi. Vas-y toute seule te faire admirer ; moi je resterais sur la terrasse de l’hôtel, entre ombre et soleil, et si tu veux bien, nous nous retrouverons à 18 h dans notre chambre, pour avoir une explication. Allez, je te laisse, amuses-toi bien et profites bien de ta solitude ! »
Sylvie prit son sac de plage et s’en alla ; Isabelle, toute décontenancée, se rendant compte qu’elle avait, par cette apostrophe lancée sans réflexion : « tu m’as piégée » choquée fortement son amie, et sentant que ce n’était pas le moment de raccrocher les morceaux, partit vers la plage, et resta un moment sans se baigner ; l’heure était venue à la réflexion pour sortir de cette confusion de sentiments qu’elle avait depuis ce matin. Elle resta ainsi couchée sur la plage, se contentant d’un sandwich et d’une boisson proposés par un vendeur ambulant, se ressassant dans sa tête les mêmes pensées : pourquoi cette apostrophe violente à la face de mon amie ? Est-ce que j’ai tout gâché ? Est-ce qu’elle veut me pousser à lui obéir ? Pourtant notre matinée d’hier m’a rendue heureuse ; et c’est moi qui me suis laissée faire car elle me sentait heureuse. Vers 17 h , Isabelle ayant fait un peu le tri dans ses réflexions, alla se baigner environ ¾ h, ce qui lui fit beaucoup de bien , puis elle repartit vers l’hôtel de façon à être à l’heure au rendez-vous fixé par son amie .
A 18h précises, elle frappa à la porte de la chambre, et attendit patiemment la réponse de Sylvie qui se fit attendre. Puis « qui est là ? » Isabelle, tremblante mais déterminée, répondit de suite : « c’est moi Sylvie, je te prie de me laisser entrer ! »
Réponse rapide et surprenante : « viens-vite me rejoindre mon amour ! » Aussi, sans tarder Isabelle entra et vint se jeter sur les pieds de Sylvie, couchée, totalement à poil, sur son lit. Elle lui prit ses deux pieds pendant de longues minutes, les embrassa et les lécha, en pleurant et en disant à Sylvie : « pardonnes-moi Sylvie, je t’ai dit n’importe quoi et je t’ai blessée, choquée et blessée toi mon amie ! J’ai honte de mon emportement ; tout l’après-midi sur la plage, je n’ai pensé qu’à cela ; qu’avais-tu fait pour provoquer cette phrase stupide de ma part ? »
Sylvie laissait Isabelle demander pardon, car cela voulait dire que leur amitié n’était pas remise en question ; de plus la réaction spontanée d’Isabelle de lui embrasser et de lui lécher les pieds correspondait à un rite de soumission ; ce qui voulait dire que cette dernière regardait quelques sites de BDSM en privé, et peut-être fantasmait-elle sur une soumission possible de sa part à partir de l’un de ceux-ci ; et de tels fantasmes ne pouvaient qu’arranger Sylvie, qui, dans le 1° récit s’était dit en secret : « le plus beau c’est qu’elle m’appartient ! »
Alors demande surprenante de Sylvie qui surprit Isabelle : « vite, mets-toi à poil comme moi, et viens mon amour te mettre étendue sur moi, sexe contre sexe, seins contre seins, bouche contre bouche ; oui viens que nous nous aimions avec toute la force de notre jeunesse ; et après nous nous expliquerons comme 2 amies, sûres de leur amitié et de leur amour, sans secret entre elles, 2 jeunes femmes responsable de leurs actes, et qui savent reconnaitre leurs erreurs ! Oui viens vite ! » Pendant que Sylvie parlait, Isabelle l’écoutait avec attention, toute contente de ce revirement auquel elle ne s’attendait pas, mais aussi quittait à la hâte son maillot de bain, et s’étendait comme demandé par Sylvie, qui pouvait admirer son sexe de petite fille.
Aussi, après s’être aimées corps à corps en quelque sorte, Sylvie demanda à Isabelle de se coucher en sens inverse d’elle, de façon à ce que chacune puisse atteindre le sexe de l’autre, Sylvie ayant plaisir comme la veille à lécher celui lisse d’Isabelle, et cette dernière ayant aussi plaisir à lécher le sexe encore pleins de poils de son amie ! C’est avec beaucoup de plaisir et de jouissance que chacune embrassait, léchait, pénétrait le sexe de l’autre pendant quelques minutes.
Puis Sylvie interrompit ce jeu sexuel en disant à Isabelle : « tu sais, il y a quelques minutes, quand tu es entrée dans la chambre et que tu t’es jetée à mes pieds, pour les embrasser et les lécher tout en me demandant pardon, j’ai été surprise et émue par ces gestes que tu as fait sur mes pieds, comme tu les as peut-être vu sur des sites BDSM ;c’est le rituel qu’accomplit la soumise quand elle rencontre sa maitresse pour la1° fois de la journée ; or cela ne te concerne pas car tu n’es pas ma soumise à ce que je sache…..du moins pas à ce jour sauf au cas où tu le désirerais ; mais ce n’est pas le sujet d’aujourd’hui. Par contre cette manière que tu as eue de t’incliner devant moi en me demandant pardon, cela m’a émue, car à ce moment-là ce fut pour moi le rappel de nos souvenirs de jeunes , vers 15 ou 16 ans, alors que nous étions déjà amies :te rappelles-tu, lorsque nous faisions des bêtises , ta mère t’invitait à te courber devant elle et à lui demander pardon, puis elle exigeait , que devant moi, tu baisses ta culotte pour que l’on voit tes fesses, et elle te donnait la fessée toujours devant moi ; cela ne te gênait pas , parce que cela faisait déjà longtemps que nous avions fait une découverte mutuelle de nos fesses dans des séances de touche-pipi, comme on disait à cette époque. Cela m’a émue parce que c’est comme si, en faisant ce geste aujourd’hui, tu t’inclinais devant moi comme si j’étais ta mère, et me demandais pardon. Cette émotion, provoquée par un souvenir lointain, me fait réfléchir, et je voudrais te proposer en quelque sorte un jeu de rôles : viens jusqu’à moi sans crainte, je vais te montrer ; viens te blottir dans les bras de ta maman pour t’expliquer, et elle pleine d’affection pour toi, va te donner la tétée, d’abord un sein, puis l’autre, et tout cela en se parlant ! »
Isabelle, surprise de la régression à laquelle elle était conviée, cependant se laissa faire comme si elle se retrouvait petite fille auprès de Sylvie, surtout encore toute excitée de leurs jeux sexuels précédents ; elle avait plaisir à se blottir dans les bras de sa « petite maman », et à caresser et exciter ses seins en acceptant la tétée comme une petite fille ; et c’est dans cette position que Sylvie commença la mise au point sur cette dispute : « Isabelle, je me suis mis en colère contre toi à cause de cette expression surprenante « tu m’as piégée », mais cela n’a pas cassé notre amitié ni notre amour, et tu viens d’en faire l’expérience. Alors dis-moi, calmement et en toute franchise, qu’est-ce qui t’a amenée à penser que je t’avais piégée et comment ? »
« C’est ce matin quand j’ai découvert que tu avais volontairement laissé en évidence les 6 ou 7 photos que tu avais prise de moi hier, toute nue, avant et après l’épilation de mon sexe, ainsi que la petite boite où tu avais mis les poils que tu avais recueillis de ma « foufoune » ; et cela je l’ai vite compris quand j’ai rencontré dans le couloir la femme de chambre, la mine toute effarée en me voyant. Mais quand cette après-midi, je suis restée seule sur la plage et que j’ai pensé à tout cela, je me suis rappelée qu’après m’avoir épilée, tu m’avais dit : »je ne veux pas que nous soyons que deux dans le secret, tu es tellement belle toute nue ; c’est comme cela que je désire que ce soir tous les gens de la plage découvrent que tu as un sexe de petite fille, et moi toute émoustillée et excitée par cette séance d’épilation, j’ai été contente de ce projet, même si j’avais un peu d’angoisse pour le moment où cela se passerait . »
« Donc tu reconnais que je ne t’ai obligée à rien ; et je pense que tu as dû être contente qu’une personne de l’hôtel participe à la découverte collective avant les autres. Au fait, à la plage, en sortant de l’eau, tu as mis comme convenu une de tes petites culottes ? »
« Oui, mon amour ! »
Et ensuite, en rentrant de cette plage, tu es passée devant les baigneurs qui restaient sur la plage, notamment le monsieur avec ses petites filles, qui te matait, nue totalement comme je te l’avais demandé ? »
« Non, je n’ai pas osé, encore toute tourneboulée par le clash entre nous ! »
« Maintenant tu es d’accord pour exécuter ce projet demain ? Je te regarderais agir à une distance de quelques mètres une fois ce monsieur dépassé ! »
« Oui, mon amour, je t’obéirais, car je suis tout à fait d’accord avec toi, aujourd’hui comme hier pour m’exhiber nue comme une petite fille, surtout que je n’oublie pas qu’hier tu m’as tressée des nattes, et que demain j’aurais le souvenir bienfaisant de la tétée d’aujourd’hui ! » LIRE LA SUITE



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Commentaires

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vendredi 17 juin 2022 à 07h21 - par  Henic

Je trouve bien sévère le commentaire de Sylvain de Perry, qui semble ressentir une certaine frustration car de nombreuses fessées ( à la main ou à la cravache) sont annoncées mais pas décrites par le menu.
Cela n’empêche pas le récit d’avoir une ligne directrice claire et, si l’on peut regretter le manque de « fioritures », il y a une originalité certaine dans la différence de traitement des deux « sœurs en soumission ». Ce genre de choses peut-il être pérenne ? Dans une histoire, bien sûr, dans la vraie vie, ça l’est moins. Mais l’idée méritait d’être traitée.

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vendredi 29 décembre 2017 à 12h48 - par  Sylvain de Perry

Bonjour Frankie.

Je salue votre performance pour ce récit. C’est un récit d’intention : nous ferons ça, je prévois que tu fasses ça etc.. Il y a peu de

description de fessée, ou de cravache etc. Frankie est plutôt décevant, comme s’il s’ennuyait, et du même coup, ennuyait le lecteur.

Sauf erreur de ma part, à ce jour, pas un vote. Un récit à vite oublier. Cordialement vôtre, Sylvain.