Claquantes découvertes
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Gael ne quitte pas Annie des yeux, la voit sortir un gode, certainement le second, à la fois plus long et plus épais, toujours en forme d’obélisque.
Tenant l’objet en main, elle revient vers le lit, annonce :
— Cette fois, JE vais le mettre dans tes fesses…
— Ah ! Non ! Pas question ! Tu ne vas pas…
En même temps, Gael amorce un mouvement pour se retourner, afin de se lever, mais plus prompte, Annie pose le gode sur sa base sur la table de nuit, appuie sa main gauche avec fermeté sur les reins de son amant :
— Je vais te faire comprendre que maintenant c’est MOI qui décide.
Annie lève sa main droite et entreprend de refesser Gael, afin qu’il imprime définitivement ces données dans son cerveau.
D’emblée avec son derrière encore fragile après la première correction, Gael capitule :
— D’accord ! Aaaaaaaye ! C’est toi… Ouaaaaaaah !... Qui commande !... Arrrrrrrête !... Pitiiiiiiié !... Plus… La fessée !
Annie poursuit le châtiment, précise :
— La fessée est l’unique façon que tu imprimes une bonne fois pour toutes dans ton cerveau que tu dois m’obéir en toutes circonstances.
Sa main, si douce d’habitude, claque le cul rouge de son compagnon qui ne cesse pas de crier sa douleur en battant des jambes et en se tordant sous l’autre main qui le cloue sur le lit en appuyant sur ses reins.
Puis, Annie cesse la courte mais très cuisante fessée.
— As-tu bien saisi cette fois ?
Gael, hoquetant de douleur, bavant sur le drap, balbutie :
— Oui !... Oui !... J’ai compris…
Annie lâche les reins, se penche vers son amant, le fixe droit dans les yeux :
— Sûr ? La prochaine fois, si je te dois te corriger de nouveau, ce sera avec l’aide du paddle. D’accord ?
Haletant encore, Gael hoche la tête :
— D’accord !... Je te promets de t’obéir.
Annie se relève, quitte la couche :
— J’en accepte l’augure. Reprenons où nous en étions avant que tu ne m’obliges à te corriger.
Elle attrape le gode, ajoute une légère couche de gel sur le préservatif de cuir. Celui-ci mesure dix-neuf centimètres, le sommet est un peu plus épais mais toujours effilé, s’évase jusqu’à la large base. Comme le précédent, un goulet entre la base et la rondelle terminale clôt le gode afin qu’une fois entré dans le derrière il n’en soit pas expulsé.
Annie s’assied contre le flanc de son amant dont les larmes commencent à se tarir, tapote légèrement la croupe rouge, ordonne :
— Ecarte tes cuisses que je te mette ton gode nocturne.
Gael les écarte sans tarder, dit d’une voix encore enrouée par les sanglots de douleur :
— Fais doucement… S’il te plaît !...
Annie, en se penchant au-dessus du derrière aux lombes disjointes, rétorque :
— Bien sûr ! Tu me prends pour un bourreau.
Deux doigts sa main gauche écartent les deux fesses afin que l’anneau rectal soit visible et accessible.
Annie pose le sommet du gode sur l’orifice bien dégagé, appuie en forçant mais pas de trop.
Le trou du cul se distend autour du gode qui pénètre dans les lieux sombres. Gael se crispe un peu en sentant l’objet pénétrer en lui, mais juste un instant, car il sait qu’Annie n’hésitera pas une seule seconde à lui claquer de nouveau son cul rouge et douloureux.
Celle-ci, sans cesser la progression du membre factice, admire le spectacle de ce vit de cuir noir qui s’enfonce progressivement dans les profondeurs anales de son amant, qui, d’un coup serre ses fronces en protestant :
Arrête !... Arrête un peu… Rien qu’un peu… Je n’ai pas l’habitude d’être (il marque un court temps d’hésitation) … Enculé…
Annie stoppe aussitôt, laisse le gode, caresse le cul encore chaud, tout en douceur, puis, main sur la base du membre de cuir, reprend la progression. Il reste la partie la plus large, c’est-à-dire les huit-neuf derniers centimètres, à enfoncer.
Gael a l’impression que son orifice va éclater, crie sa douleur sous l’empalement final :
Aaaaaaaye !... Nooooooon !... Ça suffit !... Ça m’éventre !... Pluuuuuuus !...
Mais cette fois Annie poursuit la douloureuse pénétration finale sans tenir compte des cris de son amant, dont l’orifice anal se referme déjà sur le goulet final.
Elle se penche vers le visage dont la bouche est tordue sous les cris, dégoulinant de sueur, dit gentiment en le caressant avec le drap :
— Ca y est, chéri… Tu l’as en entier dans ton cul… Calme-toi !
Annie essuie la sueur, ajoute :
— Je vais t’accompagner à la douche, maintenant.
Reprenant du poil de la bête, Gael proteste :
— Non ! Pas avec ça dans les fesses !
Annie se recule légèrement, demande d’un ton ironique mais sévère :
— Dois-je encore te fesser afin de t’aider à te lever et obéir ?
Gael secoue négativement la tête, crie presque :
— Non ! Non ! Je me lève.
Il amorce un mouvement tournant, mais la présence du gode tempère son énergie, car l’engin occupe une place envahissante.
Annie l’aide à se mettre sur pied, sourit en le voyant rester penché vers l’avant, commande :
— Arrête ton cinéma, redresse-toi ! Vite !
Gael force son ego et se redresse. Il se met en marche à petits pas, Annie collé dans son dos.
Il a du mal à monter la marche de la cabine, réussit, suivi par Annie qui a eu le temps de se débarrasser ses short et soutien-gorge de cuir.
Gael, surpris, lâche :
— Dis-donc, tu me surveilles de près.
Annie rétorque :
— Tu te reprends vite, mon chéri. Je vais te laver. Ouvre l’eau !
Elle s’est emparée de la spugna bagno, la savonne copieusement puis frotte son amant des pieds à la tête, néglige les parties sexuelles et fesses.
— Rince-toi !
Gael obtempère, n’a pas le temps de se demander pourquoi elle a ignoré sa bite. Annie a fait couler sur ses mains du gel douche, s’empare de la bite qui ne bande pas, l’enduit de gel ce qui la fait durcir doucement.
Annie attrape le tuyau de douche, rince le sexe, commande :
— Tourne-toi, cambre-toi bien !
Gael obtempère, se demande ce qu’elle lui prépare.
Annie savonne le cul, l’entre-fesses, soigneusement, rince avec le même soin les parties mousseuses, puis une de ses mains se pose sur l’anneau rondelle terminale, l’autre sur la bite molle. Elle agite l’anneau, ce qui se répercute au gode et la bite commence à durcir.
Gael supplie :
— Ne fais pas ça, j’ai mal dans mes fesses !
— Peut-être mais tu bandes !
Annie cesse, sort de la cabine, tend une serviette à son amant avant de s’essuyer puis de regagner la chambre.
Quand Gael la rejoint, il voit sur le drap une ceinture à laquelle sont suspendues trois chaînettes argent.
Annie lui fait signe de la main :
— Viens là, que je te mette cette ceinture.
— Pourquoi ?
Comme il s’est rapproché, Annie claque le cul :
— Cesse de poser des questions sans arrêt, ça devient lassant.
Elle passe la ceinture de cuir, assez large, autour du ventre de Gael, commande :
— Tourne-toi ! Ecarte tes cuisses !
Par l’ouverture, Annie récupère une des deux chaînettes qui suivent l’aine, tire un peu, force même afin que l’anneau terminal parvienne à celui du gode. Elle le boucle ; ensuite procède de même avec l’autre chaînette. Enfin la troisième, qui passe dans la raie des fesses, est également bouclée.
Gael, qui sent l’envahissant gode d’avantage enfoncé en lui, s’enquiert :
— Ça sert à quoi ?
— Comme ça tu ne risques pas de l’expulser en dormant.
— Mais… Je vais le garder toute la nuit ?
— Bien sûr ! Allez, viens te coucher !
Annie dut presque le forcer afin que Gael lui fasse l’amour normalement, sans aucune contrainte.
Pendant la nuit, elle surveille qu’il n’ôte point la ceinture.
Le lendemain…
Que prévoyait Annie pour le lendemain ? Certainement forcer Gael avec le gode n°3… Et puis quoi d’autre ? Vous le saurez en lisant la quatrième et dernière partie de ce récit.
29 mars 2018
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