Dans un état dictatorial

Présentation
lundi 15 juillet 2019
par  Arto
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Salvador est un dictateur aussi cruel que libidineux, ce jour-là il fit venir Marcel avec sa femme et sa fille. Celui-ci en retard de plusieurs impositions se retrouve avec les nouvelles lois imposées par le dictateur dans une situation catastrophique. Il est condamné à 12 ans de prison, qu’il peut éventuellement éviter moyennant une condition abominable.
Marcel en a parlé longuement avec sa femme et sa fille, il ne voulait pas accepter, c’était inacceptable. Mais à court d’arguments face à sa femme et à fille il a dû se plier aux exigences du dictateur. C’est pour cela qu’il se trouve aujourd’hui devant lui.
Huit jours avant il a reçu un courrier lui proposant le marché. Il devait livrer sa femme et sa fille aux plaisirs salaces du dictateur, sinon il irait croupir en prison. Sa première réaction fut terrible et son refus catégorique. Mais devant l’insistance de sa femme et de sa fille, il se laissa convaincre, il s’agissait quand même de 12 années de prison dans les cachots insalubres de la forteresse. Il allait y laisser sa vie et celles-ci, prêtes à se sacrifier, ne voulaient pas le perdre.
Salvador les regarde alignés tous les trois. Lui, petit homme déjà brisé par le travail et fatigué de ses 56 années se tenait un peu voûté à la droite des deux femmes.
Sa femme Mathilde, à son côté, forte de ses 40 ans bien conservés et toujours magnifique tout en gardant un physique assez juvénile. Au contraire de leur fille Mélanie superbe jeune femme de 22 ans qui semblerait aussi mûre que sa mère.
L’ordre tombe comme un couperet,
—  Marcel, tu vas me déshabiller ta fille ! Je veux une obéissance absolue, sinon c’est le cachot qui t’attend
Tout tremblant celui-ci se rapproche de Mélanie, n’osant pas la regarder. Celle-ci le regard noir, toise le dictateur afin de le défier.
—  Ma petite, tu as intérêt à baisser ce regard, sinon c’est ton père qui va prendre à ta place.
Salvador jette un regard en direction d’un de ses sbires qui tient dans ses mains une cravache.
Mélanie n’insiste pas et baisse le regard alors que son père commence le déshabillage. Le chemisier tombe en premier, suivi de la jupe. Elle se retrouve maintenant en sous-vêtements. Son père la regarde, avec tristesse mais aussi avec admiration, il n’avait pas vu sa fille si peu habillée depuis plusieurs années.
—  Le soutif, vite ! Ordonne Salvador
Marcel s’exécute avec maladresse, manque d’habitude de décrocher un soutien-gorge. Mélanie met immédiatement les mains devant ses seins pour les cacher.
L’ordre tombe immédiatement
—  Tes mains dans le dos et vite, sinon la cravache sera aussi pour toi !
Morte de honte celle-ci s’exécute, laissant apparaître une magnifique poitrine d’un bon 90C auréolée de deux taches plus sombres en leur centre avec des tétons déjà durcis par la peur.
—  Le slip maintenant !
Marcel se penche et baisse doucement le string de sa fille, non sans jeter un regard discret sur les charmes qui apparaissent à sa vue.
—  Pas mal, la petite, je sens que je vais bien m’amuser, écarte un peu les jambes que je voie un peu mieux ta chatte. Demi-tour, montre-moi ton cul, jambes écartées et garde les mains dans le dos. Penche-toi en avant maintenant que je puisse voir ton trou du cul avec ta chatte par en dessous.
Mélanie exécute chaque ordre la rage au ventre, mais incapable de se rebeller, la vie de son père est en jeu.
—  Très bien, maintenant approche que je constate la marchandise.
Salvador toujours installé dans un large fauteuil jubile à la vue de cette beauté.
Toujours les mains derrière le dos, Mélanie s’approche de son tortionnaire la peur au ventre.
—  Présente tes seins, j’ai envie de les triturer, et si je te fais mal, tu te tais, sinon, tu goûteras de la cravache sur les tétons
Il attrape les deux fraises brunes entre pouce et index et commence à les tordre dans tous les sens, étirant la poitrine en hauteur puis de chaque côté, serrant de plus en plus fort les fragiles bouts. Mélanie commence à se plaindre et geint doucement.
—  Tais-toi je t’ai dit, sinon ce sera terrible pour toi !
Les larmes aux yeux, celle-ci n’a d’autre choix que de se laisser faire. Ce petit jeu dure un bon moment, la laissant pantelante.
—  Bon, maintenant offre-moi ta moule, j’ai envie de l’inspecter, mets ton bassin en avant et écarte bien les cuisses.
L’exécution de cet ordre encore plus abominable que le précédent est une nouvelle épreuve.
En attendant, Marcel et sa femme témoins de tout cela se retiennent de foncer sur le dictateur pour lui arracher les yeux, mais fort des menaces cravache et prison, ceux-ci ne bougent pas.
Salvador avance les mains, tâte les grandes lèvres, puis le clitoris, en souriant de l’effet produit sur sa prisonnière qui tremble de plus en plus. Il pénètre le vagin de deux doigts, le trouvant à son goût et bien serré, puis, la faisant mettre de biais, une main devant et l’autre derrière pour inspecter le trou du cul au grand malheur de celle-ci.
Il se repaît un bon moment des ouvertures de la fille, fier de sa toute-puissance.
—  Bon, pas mal tout ça, j’inspecterai tes trous un peu plus en profondeur plus tard si tu vois ce que je veux dire ! Dit-il avec un rire sardonique. Approche, à genoux entre mes jambes, sort mon sexe, tu vas me faire une petite gâterie !
La fille s’exécute à nouveau la rage au ventre, mais toujours dans l’impossibilité de désobéir.
Elle sort un sexe, malodorant, mais énorme. Au moins 6 cm de diamètre pour une longueur d’environ 25 cm.
—  Allez, suce et applique-toi !
Prenant le phallus en bouche, elle crut qu’elle n’arriverait pas à l’engouffrer. C’était pour elle une première fois et elle ne savait pas trop ce qu’il fallait faire. Elle commence alors une succion douce, comme si c’était un biberon d’où elle pourrait tirer du lait.
—  Plus fort et prends-en plus en bouche, bientôt, tu pourras le prendre en entier, jusqu’au fond de ta gorge, mais on a le temps. En attendant, suce fort, comme si tu voulais aspirer mes couilles à travers le trou de ma bite !
Hilare de ce mot d’esprit, le dictateur faillit s’étouffer alors que la fille s’applique de son mieux.
Salvador se repaît de cette gâterie tout en regardant les parents de Mélanie complètements décomposés.
—  Allez Marcel, maintenant tu vas t’occuper de ta femme, déshabille-là tout de suite !
Marcel s’exécute, avec l’envie de tuer son tortionnaire. Lui si jaloux des hommes qui regardent sa femme chaque fois qu’ils sont en public. Il est vrai que celle-ci possède une beauté que seule sa fille rivalise. Mais rien ne peut l’aider en ce moment, il faut s’exécuter.
Une fois nue, celle-ci semble résignée.
—  Ben mon salop ! tu ne te prives de rien avec une femme comme ça ! un canon comme j’en ai rarement vu ! C’est pas des seins qu’elle a, mais des obus ! Allez, on va jouer avec ! Mets-toi derrière elle, et attrape ses bouts. Pince fort et tire vers le haut ! Plus haut ! Si elle n’a pas mal, c’est que tu tires pas assez, allez, tire-les pour qu’ils soient plus haut que ses épaules.
Mathilde souffre passablement, ça se voit aux larmes qui coulent de ses yeux, mais celle-ci ne sort pas un son, pas un cri.
—  Parfait, maintenant on va te donner des pinces, tu vas les placer sur ses tétons et sur son clito.
Marcel attrape les pinces que lui tend un des sbires présents, des pinces à classeur, en acier bleuit, serrant abominablement.
—  Allez, exécution !
Se positionnant au niveau du téton droit, Marcel approche la première pince, la desserrant doucement et en essayant de la lâcher tout aussi doucement.
—  Argggg ! Crie Mathilde avec l’impression que son téton allait éclater.
—  Voilà qui est bien aboya Salvador, allez, l’autre !
—  Argggg ! La deuxième toute aussi terrible la fit vaciller pensant qu’elle allait s’évanouir.
—  Bien ! Bien ! Maintenant le clito, je sens que je vais pas tarder à décharger dans la bouche de ta fille, le spectacle est vraiment bandant.
Marcel hésite, sur le clitoris de sa femme, la pince sera encore plus terrible que sur les seins, lui qui n’a jamais fait de mal à Mathilde, il est aujourd’hui son tortionnaire involontaire.
Il présente ses doigts contre les grandes lèvres de sa femme afin de faire ressortir le clitoris. Celui-ci apparait en haut de la fente. Tout rose et d’une réelle fragilité. Approchant la pince en tremblant, il n’arrive pas à se résigner à la poser.
—  Tu as 3 secondes, sinon ce sera pire ! Cria Salvador !
—  Arggggggggggg ! Crie Mathilde à nouveau lorsque la pince écrase son clito. A Suivre


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Commentaires

Logo de Christine
mercredi 7 août 2019 à 14h28 - par  Christine

Bonjour,
Pour l’instant ce récit s’achève sur le mot « clito » (que j’ai effectivement tronqué lors de la copie sur le site). J’espère que très rapidement Arto m’adressera la suite de ce récit. Vous pouvez d’ailleurs le contacter à ce sujet. Trop souvent, en effet, des récits restent ainsi inachevés, ce qui est très dommage et très frustrant pour les lecteurs.

Logo de GAILLAU
mardi 6 août 2019 à 23h14 - par  GAILLAU

Bonjour pas de pdf pour cette histoire elle s arrete en plein milieu d’un mot

Site web : Ou est le pdf

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