Rencontre

Le Cabaret
lundi 15 juillet 2019
par  Verdu
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Daniel
Tout en descendant vers le hall de l’hôtel, je ne pouvais m’empêcher de ressentir l’attirance « animale » que j’éprouvais pour cette charmante stagiaire. Ce sentiment était si fort qu’il en devenait presque palpable. Je ressentais encore sur mon membre les effets de notre dernière étreinte dans la douche quelques minutes auparavant. Etreinte au cours de laquelle j’avais déversé ma semence, en longs jets de plaisir, au fond de ses reins tandis que je la masturbais et profitait des effets de son propre plaisir. Elle était divinement trempée et ouverte.
Bien avant que nous entamions, elle et moi, les prémices de ce qui allait devenir une heure de pur plaisir, cette première journée de stage m’avait permis de repérer Virginie parmi le groupe que nous étions. Bien sûr, il y avait cette blonde au physique avantageux - si l’on considère ces canons de beauté stéréotypés dont nous abreuvent les médias au quotidien - qui n’avait pas arrêté de me lancer des œillades plus ou moins appuyées tout en prenant, avec une certaine ostentation, des poses savamment étudiées. Mais Virginie montrait, à son corps défendant et c’était là toute sa différence, autre chose. Quelque chose d’infiniment plus profond, plus sensuel, plus animal. Mais mes pensées s’entrechoquaient sans que je puisse précisément définir ce qui faisait qu’elle m’attirait aussi sûrement qu’un aimant le ferait avec une pièce de métal. Son visage souriant et avenant exprimant l’amour de la vie, ses formes généreuses et féminines faisant instantanément disparaître de l’esprit ces « beautés » commerciales et anorexiques qui étaient si loin de mes critères de choix. Mais il y avait quelque chose d’autre, de plus subtil, que mon corps percevait et imposait à mon esprit sans donner à ce dernier les éléments lui permettant de procéder à une analyse digne de ce nom. En somme, une équation impossible dont tous les éléments constitutifs étaient des inconnues mais dont le résultat était implacable. J’avais envie d’elle.
C’est perdu dans mes pensées que je pris conscience qu’elle venait de faire son entrée dans le hall. Elle était vraiment superbe dans cette robe de tissu léger mettant discrètement en valeur des rondeurs sublimes et une poitrine opulente. J’en avais la gorge sèche. Instantanément, mes sens reprirent le dessus et mon corps m’imposa un début d’érection qu’il me fallut combattre afin de conserver un minimum de décence. M’approchant d’elle, et la prenant par l’épaule, je l’invitais à me suivre.
- Ma voiture est garée à proximité et le restaurant n’est qu’à quelques minutes. Après la dépense énergétique que nous venons de subir, nous avons besoin d’un bon repas pour nous revigorer et nous permettre de poursuivre la soirée de la façon la plus agréable possible, lui Dis-je en faisant un clin d’œil.
Arrivés devant la voiture, j’entrepris d’ouvrir la portière afin qu’elle puisse prendre place avant de démarrer et prendre la direction du restaurant.
Durant le trajet, tandis que nous devisions de choses et d’autres avec, tout de même, une forte tendance à envisager l’après diner, je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Sa poitrine se soulevait au gré de sa respiration et m’imposait une douce torture qui vint vite à bout du combat que je livrais contre mère nature. J’étais maintenant en pleine érection. De façon impérieuse, ma main droite se posa sur sa cuisse que je caressais doucement au travers du tissu léger. Sentant Virginie réceptive et ayant perçu l’accélération de sa respiration, j’entrepris de faire remonter mes doigts sous le tissu jusqu’à son string - rempart symbolique que je franchis délicatement pour trouver un sexe ruisselant de plaisir et un petit bouton encore gonflé que ma langue avait longuement léché, sucé et aspiré quelques minutes auparavant. La situation me rendait fou et je ne pus m’empêcher de lui dire :
- Virginie, tu as de la chance que nous allions diner car sinon je ne sais pas si je pourrai me retenir. Puis de rajouter, Mais la soirée ne fait que commencer...
J’avais réservé dans un petit restaurant cubain où j’avais mangé lors d’une dernière visite ici. Cette réservation nous offrait un confort très appréciable. Cependant, il nous avait simplement fallu remettre un peu d’ordre dans nos tenues respectives afin d’être présentables du fait d’un certains nombres d’arrêt câlins.
Installés à notre table nous avons commandé deux « Mojito » afin de pouvoir « papoter » tranquillement avant le service ; la musique latino ambiante, ni trop forte ni trop faible autorisait des discussions sortant des sentiers battus - voire plus intimes - sans que les voisins n’y prêtent attention.
La position de la table dans la salle était tout à fait de circonstance. En effet, placée près d’un angle, nous étions assis assez près l’un de l’autre. Ce qui autorisait des discussions « à l’italienne ». C’est à dire avec les mains qui parlent, bougent, se baladent...
Sans vouloir donner l’impression de brusquer Virginie, j’avais volontairement entamé la discussion sur ce qui semblait nous plaire à tous deux en ce jour. Le sexe et les différents moyens de parvenir au plaisir. Cela étant, je faisais particulièrement attention à avancer pas-à-pas, attentif à ses réactions. Je ne voulais surtout pas qu’elle prenne peur et fasse machine arrière. Dans un premier temps, je compris assez rapidement qu’après s’être installée dans son couple, la routine avait fait son œuvre ; grippant peu à peu les rouages de la sensualité. Même si, par ailleurs, des sentiments sincères semblaient toujours unir Virginie à son mari. Elle m’avoua même que, bien qu’y ayant déjà songé, elle ne l’avait jamais trompé. Ce qui était tout à son honneur, et en même temps un très beau compliment me concernant. En effet, elle m’avait assez vite confié qu’elle avait été séduite par ma façon de l’avoir abordée et envisagée comme partenaire de lit.
A chaque fois qu’elle me livrait une information sur sa vie sexuelle, je faisais tout pour la rassurer quant à ce qui était dit. C’est ainsi qu’elle m’avoua s’adonner aux plaisirs de la masturbation. Preuve d’un intense besoin de plaisir, mais également et surtout, preuve d’un côté cérébral que j’avais déjà ressenti lorsque j’avais découvert avec délice qu’elle semblait vivre telle ou telle situation tandis que je jouais entre ses cuisses ou envahissait les reins sous la douche. Du moins, c’était l’idée qui cheminait dans mon esprit. Bien entendu, je l’avais immédiatement rassurée en lui avouant à mon tour que j’aimais me masturber. Cette révélation sembla la rassurer.
Bien que ce sentiment soit diffus et compte tenu de la sensualité qui émanait de sa personne, il me semblait qu’elle devait aimer les mises en situations où elle se retrouvait devoir accepter le bon vouloir de son partenaire. Tant dans l’acte que dans les différentes situations qui pouvaient être mise en place. Aussi, si réceptive en cours de dîner, je me disais qu’il serait possible de l’emmener dans un cabaret « un peu particulier » où des situations de ce type étaient montrées sur scène - dans le détail - afin de jauger ses réactions.
Le repas se déroula dans une ambiance extrêmement complice, et j’eu assez rapidement confirmation qu’un petit crochet dans « le cabaret ». De plus, l’intégralité du temps fût consacrée par nos mains libres respectives à l’exploration de nos entre-jambes qui étaient à l’image de ce qui devait suivre. Trempé et totalement ouvert pour elle, totalement tendu et turgescent pour moi. Nous avions plus que visiblement besoin d’assouvir les envies et images qui peuplaient nos esprits respectifs. A ce titre, puisque submergés par le désir, nous décidâmes - entre l’entrée et le plat de résistance d’aller aux toilettes, séparément bien sûr, l’honneur doit rester sauf. Une fois sur place, et après m’être assuré qu’aucune méprise n’était possible, je l’avais rejoint afin que nous puissions nous faire de petits cadeaux buccaux. C’est ainsi que, adossée au mur un pied posé sur la cuvette, j’ai plongé mon sexe tendu comme un arc dans sa caverne brulante pour l’aimer consciencieusement tandis que nous nous embrassions à pleine bouche. Ensuite, assise sur la cuvette, elle recueilli ma semence dans sa bouche dans une fellation qui avait failli me faire chavirer de bonheur et, par la même occasion, tomber au sol de plaisir.

De retour à table, dans une tenue impeccable que nous avions pris soin de reconstituer avant de quitter ce petit nid d’amour improvisé, mis à part pour Virginie dont le string avait fini par erreur dans la cuvette des toilettes, nous entreprîmes de finir notre repas. Non sans aborder différents sujets relatifs au sexe et au bonheur cérébral que cela faisait vivre.
Aussi, je lui proposai de nous rendre dans un établissement « un peu particulier ». Ne percevant pas d’empressement à dire OUI, mais ressentant assez nettement une envie de voir ça chez elle, je pris la direction de l’endroit. Un cabaret « underground » mais assez « classe » et fréquenté exclusivement par des personnes de qualité, un établissement discret et anonyme.
Arrivés devant la porte, et après avoir été reconnu par l’un des ouvreurs, nous prîmes place à la table à laquelle je m’étais déjà installé à quelques reprises ; située juste en face et à quelques mètres d’une petite scène en demi-lune. Tandis que l’une des hôtesses venait à notre rencontre pour prendre notre commande, je scrutais le visage et le regard de Virginie afin de lire son expression et y décoder tous les signes que je devais immanquablement y trouver.
L’un des spectacles avait déjà commencé. Face à nous, deux hommes masqués venaient d’arriver sur scène en tenant « prisonnière » et entièrement nue une femme d’environ trente-cinq ans. Après l’avoir attachée à un chevalet situé sur une plaque tournante, ils firent basculer ce dernier vers l’avant de sorte que la femme se retrouve sur le ventre, entravée, croupe cambrée et entre-jambes offert à la vue de toutes et tous.
Mimant un cérémonial se voulant mystique ou, tout au moins, occulte, l’un des hommes entreprit une savante préparation qui laissa la femme luisante sous les projecteurs avant de disparaître dans les coulisses. Après quelques instants de suspense, soutenus par une musique lancinante aux accents berbères, un colosse noir fit son entrée sur scène. Au-delà de son physique de géant et de sa musculature saillante, il arborait un sexe en pleine érection et au diamètre assez impressionnant qu’il caressait lentement en s’approchant du visage de la femme.
Faisant tourner le plateau afin que toute la salle puisse les voir de profil, il entreprit d’utiliser la bouche de sa « victime » pour consolider un membre qui n’avait visiblement pas besoin de ça.
Autour de nous, la majorité des tables étaient occupées par des couples qui, comme nous, ne perdaient rien du spectacle offert. Tandis que je scrutais le visage de Virginie qui semblait littéralement hypnotisée par ce qu’elle voyait, j’entrepris une visite discrète de son entre-jambes où ma main rencontra une véritable fontaine de plaisir. Son sexe coulait littéralement tant il était trempé et j’entrepris de la masturber consciencieusement avec une lenteur calculée lui disant :
- Tu n’as encore rien vu...
Sur scène, la femme venait d’avoir la bouche libérée par son « tortionnaire ». Ce dernier, faisant tourner le plateau de quatre-vingt-dix degrés afin que sa croupe se retrouve face aux spectateurs. Puis, lentement il s’approcha d’elle et entrepris de lentement plonger son membre dans ce sexe offerte à tous les regards pour se livrer à de lentes puis puissantes pénétrations. La vision de cet accouplement avait quelque chose de surréaliste mais également d’extrêmement sensuel. Je bandais comme un fou et avait une furieuse envie de faire l’amour à ma compagne qui coulait sans retenue sur mes doigts et luttait désespérément pour ne pas succomber au plaisir en pareille place.
Tandis que les pénétrations s’accéléraient, montrant avec force détails sa queue monstrueuse qui pilonnait maintenant indifféremment la chatte et l’anus de sa « victime », le black musculeux se retira afin que les spectateurs puissent contempler le résultat de cette impressionnante et sensuelle saillie. La salle, dans un état d’excitation assez avancé donnait elle-même un show assez inattendu. A droite de nous, un homme masturbait sa compagne sans aucune retenue, tandis qu’à la table de gauche une femme procédait à une fellation en règle. Non pas à son partenaire, mais à l’homme de la table voisine. Pendant ce temps, ma main toujours plongée sous la robe de Virginie plongeait littéralement dans un sexe trempé par l’envie et qui ne demandait qu’à être comblé.
Le clou du spectacle survint lorsque, sur scène, le black décida de tourner une nouvelle fois le plateau de 90° pour que lui et sa victime soient une nouvelle fois de profil pour la salle. Ensuite, il abusa de la bouche de la femme - une main lui tenant fermement les cheveux - avant de se retirer et de lui inonder le visage de plusieurs puissants jets de sperme.
C’est à ce moment que je sentis Virginie couler littéralement sur mes doigts et avoir un spasme accompagné d’un petit gémissement de plaisir intense.
C’est à cet instant que je me dis qu’il était temps de rentrer à l’hôtel afin de nous livrer au plaisir que nous avions envie de vivre. Ayant attendu tout de même qu’elle récupère, je lui glissai à l’oreille :
- Veux-tu que nous rentrions à l’hôtel pour nous livrer à nos envies ?

Virginie
- Oui ! Rentrons ! Dis-je alors que je suis encore parcouru des spasmes de l’orgasme procuré par les doigts agiles de Daniel. Je reprends lentement mes esprits alors qu’il m’invite à me lever pour prendre le chemin de l’hôtel.
Arrivé à la voiture, alors que nous nous embrassons, il me murmure :
- Je veux te prendre sur le parking là maintenant, appuie-toi à la voiture et penche toi en avant.
Envoutée, je me mets dans cette position et il soulève ma robe et je le sens me tenir par les hanches. D’un mouvement rapide et sans hésiter, il pénètre mon ventre qui ne cesse de dégouliner entre mes cuisses. Lui aussi est excité et rapidement, je le sens se déverser dans mon ventre. Il me retourne et nous échangeons un long baiser passionné avant de monter dans la voiture.
Sur le trajet du retour, il me demande de retrousser ma robe afin de dévoiler mes cuisses et mon bas ventre. Je suis gênée mais devant son charme, je ne peux résister à sa demande et exhibe mon intimité. Heureusement qu’il fait nuit et que personne ne peut me voir.
Nous arrivons enfin à l’hôtel et Daniel se gare dans le parking souterrain. Avec élégance, il me précède dans l’ascenseur et appuie sur le bouton qui mène à l’étage de ma chambre. Lorsque nous arrivons à l’étage, il me regarde et me demande d’un ton qui ne prête pas à désobéissance :
- Retire ta robe.
- Mais ? Je le fixe surprise. Je ne peux pas traverser le couloir nue.
- A cette heure-ci, il n’y aura personne ! Fais-moi confiance."
Rouge, confuse, je laisse glisser ma robe à mes pieds et reste nue devant lui qui sourit. Il me caresse la joue du dos de la main.
- Tu vois ce n’est pas si difficile.
Je frissonne. Sa main descend sur mon cou, ma poitrine, mon ventre et passe sur mes fesses.
En me donnant une petite tape sur la fesses, il me dit, Avance, mais sans courir.
Je me baisse pour ramasser ma robe, mais il me relève.
- Laisse-la, là ! Tu n’en as plus besoin pour cette nuit, ajoute-t-il en rigolant. Je t’en offrirai une autre demain.
Prenant mon courage à deux mains, je m’avance dans le couloir. Heureusement que ma chambre n’est qu’à quelques mètres de la sortie de l’ascenseur. Arrivée devant, je m’immobilise pour chercher ma clé dans mon sac à main. Je la trouve et ouvre la porte en tremblant. Daniel sourit en me voyant entrer rapidement. Il me suit et referme la porte derrière lui.
- Ne bouge pas ! me dit-il. Je reste debout immobile, au milieu de la chambre. Il me tourne autour me caressant le ventre, les fesses, les cuisses, la poitrine.
- Tu es magnifique !
Je souris, il se déshabille lentement. Je le regarde hypnotisée. Une fois nu, il se dresse face à moi et posant ses mains sur mes épaules, il appuie doucement dessus pour m’agenouiller. Je sais très bien ce qu’il a en tête et je me laisse faire avec plaisir. A genou, mon visage devant son sexe à nouveau raide, je pose mes lèvres sur le gland et commence une douce et longue fellation. Ses mains sur ma tête guident le rythme de mes mouvements. Il est incroyable, sa résistance est surprenante. Son sexe continue de grossir dans ma bouche et je sens le gland forcer le fond de ma gorge.
- Tu as vu la femme sur la scène dans la boite ? Je suis sûre que tu peux faire comme elle.
J’ai un haut-le-cœur, il ne force plus quelques secondes puis reprend en douceur. Je bave sur mon menton, des larmes aux yeux alors que le gland force ma gorge. Je voudrais lui faire plaisir mais c’est plus fort que moi, je ne peux pas.
Daniel s’en rend compte et arrête.
- Je vais y aller doucement mais je suis sûre que tu pourras la prendre entièrement bientôt.
Il se retire de ma bouche et me prenant la main pour me relever m’allonge sur le lit. Il me caresse tendrement et en roulant je me retrouve sous lui, aussitôt je sens son membre prendre à nouveau possession de mon ventre. Comment peut-il être aussi vigoureux ? Alors qu’il va et vient en rythme, mon regard est de nouveau attiré par son pendentif qui balance sous mes yeux. Je vais jouir de nouveau. Il s’en aperçoit, se retire et me demande de me mettre sur le ventre. Je devine son envie et même si c’est nouveau pour moi, je me retourne et lui offre mes fesses. Comme je m’y attendais, je sens sa virilité en moi. Ses mains font comme un étau sur mes hanches et il commence de profond va et vient régulier, étant déjà à limite de l’orgasme, je pousse un long feulement de plaisir au moment où je le sens se répandre en moi.
Epuisés, nous nous affaissons dans le lit. Je le sens toujours en moi alors que je m’endors épuisée par cette soirée de sexe.
Je fais un rêve qui me bouleverse.
"Daniel me guide sur la scène de ce cabaret. Je suis nue, exposée aux regard du public. Je dois me tourner, exhiber mon ventre, ma poitrine, mes fesses sous les encouragements des hommes et des femmes assis devant moi.
La femme de la boite apporte un pilori et m’attache la tête et les poignets dans les trous prévus à cet effet. Puis je vois Mélanie passer dans l’assemblée avec deux paniers, chaque homme prend une boule dans chaque.
- Le spectacle peut commencer, vous allez chacun ouvrir vos boules, dans la bleue, il y a votre ordre de passage et dans la rouge, l’orifice où cette magnifique femelle va vous accueillir. Le numéro un peu s’approcher.
Je suis effrayée mais entravée comme je le suis, je ne peux que subir. Je vois un homme d’un âge certain venir près de moi, il montre les papiers à Daniel qui l’invite prendre possession de son prix. Je sens ses mains sur ses hanches et son sexe entrer en moi. Je fais face au public qui peut donc voir mes réactions. Je les entends applaudir quand l’homme se vide en moi.
Le suivant monte, et le même manège se reproduit. Ils se succèdent ainsi pendant de longues minutes, je suis plusieurs fois submergée par le plaisir. S’avance alors un homme nimbée dans une lueur bleue vêtue d’une sorte de cape, il montre le papier contenu dans la boule rouge au public qui frémit. Je me demande pourquoi. Il retire sa cape devant moi et je découvre un sexe bleuté hors norme. Il passe derrière moi, et je comprends la réaction du public. Il commence à forcer ma petite rondelle. Je hurle.
"
Je me réveille en sursaut dans le lit. Daniel est là endormi profondément à côté de moi, il me tourne le dos et j’aperçois un tatouage représentant des armoiries sur son épaule droite que je n’avais pas repéré au cours de nos joutes précédentes. Je sens mon sexe humide et brulant. Je sais que je vais devoir me caresser si je veux pouvoir me rendormir. Je fais alors ce que je n’aurais jamais imaginé faire avant, glisser ma main entre mes cuisses à côté d’un homme qui n’est pas mon mari. Je jouis rapidement en silence et détendue, j’arrive à retrouver le sommeil.
Un rayon de soleil vient chatouiller mon visage et me réveille, je me tourne dans mon lit, je suis nue, je suis seule, mon amant n’est plus là, je me redresse dans le lit, ses affaires ont disparu. Il est parti sans un mot.
Ai-je encore une fois rêvée cette soirée et cette nuit ? Mais je regarde l’heure et je constate que j’ai tout juste le temps de prendre une douche et de m’habiller pour descendre prendre mon petit déjeuner avant de retourner sur le lieu de la formation.


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Commentaires

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vendredi 30 juin 2023 à 07h05 - par  Henic

Faut-il vraiment une suite ?
L’auteur nous quitte après une séance aussi torride qu’adultérine. Le lecteur peut alors imaginer la suite qu’il désire ou qu’il redoute. Il phosphore beaucoup plus et s’excite rien que d’y penser : c’est finalement plus érotique ainsi. Même si c’est frustrant !

Logo de Sylvain de Perry
vendredi 19 juillet 2019 à 13h54 - par  Sylvain de Perry

Un excellent récit qui appelle une suite. Tant le style que la narration sont parfaits.

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