La formation de Claudia -3-
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Claudia capitule, tellement est grande sa peur d’être à nouveau fessée. Elle change de position, se retrouve face à Rose, laquelle doit lever les yeux pour la fixer.
Elle presse deux fois la main de Claudia, qui gémit :
— Aaaaaaaye ! Ca gonfle. Ça fait mal.
Sans répondre, yeux dans les yeux de Claudia, Rose ajoute deux nouvelles pression. Elle regarde le compteur : 3.
Claudia piétine, se plaint en tentant de se libérer de la poigne de Rose :
— Ça m’écarte trooooooop !... Arrrrrrrêtez… S’il vous plaît…
— Te plaindre ne sert absolument à rien. Nous irons jusqu’à 4.
Pour le prouver Rose appuie de nouveau deux fois sur la main de Claudia qui du coup se met à piétiner sur place en se plaignant :
— Ça m’éventre…
La main libre de Rose claque la joue de Claudia :
— C’est fini, oui ?
Sous la surprise de la gifle, Claudia reste la bouche ouverte.
Deux nouvelles pressions, suivies après quelques instants de deux autres. La flèche du graduateur se positionne sur 4.
Très vite, Rose se penche vers le fessier, ôte le tuyau qui le relie la valve, s’assure de la fermeture hermétique en remuant celle-ci, puis se recule pour ranger le tout.
Claudia s’agite, porte ses mains vers son derrière. Mais il lui est impossible de faire évacuer l’air. Pour cela il faudrait que le tuyau fût branché. Rose le lui dit :
— Impossible, ma belle. Par contre, si tu réussis à de libérer du gode, nous irons plus vite jusqu’à 5… A toi de voir.
Claudia se rebelle :
— Mais… Mais ça me gêne… Je ne vais pas pouvoir le garder tout le temps.
Rose éclate de rire :
— Ah ça non ! Dès demain matin je te l’ôterai afin que tu fasses tes besoins intimes, puis le nettoierai et te le remettrai jusqu’à 4 et demi.
— Oh ! Non !... J’ai… J’ai envie de faire…
Rose tranche :
— Normal ! Mais ça va passer. Voilà le programme. Tu es libre jusqu’au déjeuner. Je viendrai te chercher, mais comme tu n’as pas été raisonnable, je te donnerai une fessée en guise d’apéritif…
Marc rentre comme prévu le vendredi soir après le dîner. Rose l’attend dans le hall, lui relate la semaine de Claudia en l’accompagnant dans sa chambre où il se déshabille. Quand Marc se dirige vers la douche attenante, Rose l’escorte et le lave soigneusement.
Ensemble Rose et Marc pénètrent dans la chambre de Claudia, où celle-ci, nue, les attend, allongée sur son lit, dans une position alanguie.
Quand elle voit son mari, escortée de Rose, Claudia se précipite vers lui, l’embrasse en se suspendant à son cou, puis murmure des phrases incohérentes :
— Elle m’a fait mal… A pénétré mes fesses…
Marc prend les bras de sa femme, la repousse vers Rose, qui lui claque la joue, sèchement, la tance :
— Explique-toi bien sinon ton époux ne va rien comprendre.
Claudia, une main sur sa joue qui rougit de la marque des doigts de Rose, ânonne un résumé presque fidèle.
Rose et Marc écoutent tranquillement. Quand Claudia a terminé, Marc, la voix sévère, conclut :
— Rose n’a fait qu’obéir à mes ordres (Il regarde les fesses de Claudia bien blanches voire pâles). D’ailleurs tu n’as aucune marque. Pour la récompenser, ce soir, comme je dois dépuceler ton cul, Rose va rester avec nous…
Claudia, sous la surprise, ouvre la bouche pour protester, mais aucun son n’en sort avant que :
— Non ! Non ! Tu n’as pas le droit de me faire ça !
Marc se rapproche vivement de son épouse, pose ses mains sur les seins, deux doigts sur chacun des mamelons, serre :
— Aaaaaaaye !... Tu me fais maaaaaaal !...
— Écoute-moi !
Malgré la douleur de ses seins, Claudia porte ses mains sur celles de son mari, l’écoute, bouche ouverte :
— Rose a tous les droits sur toi, même de claquer ton cul en ma présence…
Marc fait un signe des yeux à Rose, qui se poste dans le dos de Claudia, et alloue deux claques puissantes à la croupe offerte dans toute sa plénitude.
— … Comme ça !
— De te tenir à ma disposition.
Rose attrape les mains, réunit les poignets dans le dos de Claudia, qui se retrouve cambrée, seins offerts à son mari qui cesse de pincer les mamelons. De sa main libre, Rose claque chaque fesse deux fois, dit à l’oreille de Claudia :
— Écarte tes jambes, que ton mari ait accès à ton sexe ! LIRE LA SUITE
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