La formation de Claudia

4° partie
vendredi 28 février 2020
par  Sylvain de Perry
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A son tour Marc grimpe sur la couche nuptiale, à genoux, place les siens entre les jambes de sa femme, pose une main sur la hanche gauche, la dextre guide son vit bandant sur l’anneau rectal brillant de gel. Il invite :
— Ne te contracte pas, sinon tu vas avoir mal.
Marc commence à pousser.
Rose maintient d’un bras les épaules de Claudia sur la couche afin de l’empêcher de se soustraire à la défloration anale ; son autre main caresse la chevelure en un geste de gratitude.
Sous la douleur causée par l’épaisse bite qui la pénètre doucement mais en force, Claudia hurle :
— Ouaaaaaaah !... Nooooooon !...
Le gland réussit à glisser dans l’antre chaud, y est enserré et maintenu par le trou du cul qui se resserre sur la colonne qui suit.
Bien décidé à poursuivre le dépucelage, Marc ne marque aucun arrêt. Mains agrippées aux hanches, il persévère dans sa lente avancée, aidé par le gel qui recouvre sa bite.
La douleur devient lancinante, envahissante pour Claudia, qui tente de se dégager de l’étreinte de Rose en se remuant en tous sens. En vain. Elle voudrait passer ses mains vers l’arrière pour retenir son mari, mais sa position et le corps de Rose l’en empêchent.
La pauvre Claudia a l’impression qu’un fer rouge est en train de l’envahir ses reins, le crie :
— Ca me brûûûûûûûle !… Aaaaaaaye !... Pluuuuuuus !
Rien n’y fait.
La queue maritale, longue et épaisse, achève la première pénétration anale de Claudia, qui sent le ventre de Marc se coller contre son derrière torturé.
Marc accorde un répit miséricordieux à la dépucelée dont il caresse les flancs. Rose dit :
— C’est fini, chérie. Tu l’as en entier en toi. Tu vas apprécier la suite.
Marc, qui a compris le message, commence un retrait stratégique, aussi douloureux car les chairs internes ont adhéré au vit perforateur.
Claudia le crie :
— Reste !... Ne sort paaaaaaas !... Ca piiiiiiique !
Rose la tient toujours parfaitement, baisse la tête, embrasse la joue, puis l’oreille où, alors que Marc s’avance un peu plus vite, elle murmure :
— Ça va passer, chérie.
Très vite, Marc, se sentant de plus en plus à l’aise dans le fourreau qui l’enserre un peu moins, commence à accélérer ses allers et retours.
Rose a lâché Claudia : une de ses mains est allée sous le ventre et deux doigts titillent le clitoris dans sa gangue mais qui sort sous l’excitation digitale.
Malgré tout Claudia, sous les caresses de Rose, qui sent l’excitation la gagner, resserre son canal anal sur le vit qui poursuit sa va-et-vient.
Marc perçoit le changement de sa femme, il sait qu’il ne pourra pas résister longtemps et se laisse à aller. Puis, dans un enfoncement aussi total que violent dans profondeurs du cul, inonde le canal de son sperme.
Claudia inonde les doigts de Rose en vibrant.
Quelques minutes plus tard, le trio se sépare. Marc commande :
— Rose sert nous un drink, sans t’oublier.
Rose procède rapidement, mais à l’insu du couple, elle verse rapidement une dose de somnifère puissant, pris dans une fiole sous le plateau de la table, dans le verre de Claudia. Car elle a autre chose à faire, mais n’a aucun besoin de Claudia.
Elle donne les verres. Du coin de l’œil, Rose s’assure que la jeune femme boit tout. Le produit étant sans odeur ni saveur, Claudia ne sent absolument rien d’autre que le goût de son Glenfiddich.
Cinq minutes plus tard, Claudia baille à s’en décrocher la mâchoire, Rose la soutient et la couche dans sa chambre, la quitte après l’avoir bordée, repasse par sa propre chambre, enfile rapidement un pantalon de cuir moulant, prend sa cravache, une paire de menottes souples, un gode graissé dans un sac de cuir, et rejoint Marc.
Quand il la voit entrer dans cette tenue dans sa chambre, Marc blêmit, repose machinalement son verre vide sur la table d’une main tremblante. Comme Rose, sans un mot a déposé ses ustensiles sur la table avant de prendre une chaise à haut dossier droit où elle s’assied, il proteste :
— Non ! Non ! Pas ce soir… Tu ne peux pas… Me punir… Pour…
Rose le coupe d’une voix froide :
— Ne perd pas de temps pour rien. Mets-toi à plat ventre sur mes cuisses !... LIRE LA SUITE


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