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Claire rentre au domicile conjugal comme tous les vendredis soir vers dix-sept heures. Le week-end du couple est toujours réservé aux agapes sexuelles. La jeune femme est toujours la dominatrice dans leur couple. Ce soir, elle a mis au point dans son plan un stratagème imprévisible pour Jean, lequel a été prié de ne pas rentrer avant 21 heures au lieu des 20 heures habituelles.
Le personnel de l’hôtel particulier s’est vu accorder trois jours de repos.
Claire se douche soigneusement, choisit sa tenue de dominatrice préférée : pantalon et caraco de cuir noir moulant sous lesquels elle est nue.
À dix-huit heures trente, la sonnerie de la porte d’accès à l’allée résonne dans la maison. Claire, après vérification par la télévision en circuit fermé, en déverrouille l’accès électroniquement, puis ouvre la porte d’entrée à peine une minute plus tard, marque un temps d’arrêt. Le visiteur est mieux que ce à quoi elle s’attendait après un contact pris par internet :
— Bonsoir Alex…
Elle tend la main au jeune garçon qui empoigne sa valise, l’invite à entrer, clôt la porte dans son dos, le guide, alors qu’il s’enquiert :
— Bonsoir Madame… Vous aviez l’air surpris. Un problème ?
Claire s’arrête, lui fait face :
— Pas du tout. Au contraire, je te trouve plus beau que sur la photo que tu m’as envoyée par mail. Ne restons pas dans le hall, je te conduis à ta chambre…
Alex reste deux pas derrière, admire la croupe bien ferme dans le pantalon de cuir, alors qu’ils montent au premier étage par le grand escalier de marbre. Elle pénètre dans une vaste chambre, explique :
— Tu as une salle de bain à toi (elle lui désigne la porte à droite), prend une douche, change-toi : chemise blanche, nœud papillon, ceinture où tu bloqueras le bas de ta chemise afin d’être nu en dessous. Je t’attendrai à dix-neuf heures quinze en bas afin de t’expliquer le déroulement de la soirée.
Claire abandonne Alex et gagne le rez-de-chaussée.

À l’heure et avec la tenue prévues, Alex s’immobilise à l’entrée de la salle à manger. Claire, sous la chambranle d’une porte ouverte, l’invite :
— Viens ici. Je vais te donner les détails du repas qui a été préparé par ma cuisinière. Jean, mon compagnon, toi et moi serons seuls jusqu’à lundi matin…
Après les détails culinaires, ils repassent dans la salle à manger, où la jeune femme, va s’asseoir dans un fauteuil, poursuit :
— … Sers-nous un verre : Glenfiddich pour moi, sans glace, toi, ce que tu veux. (d’un geste elle lui désigne le plateau garni d’une dizaine de bouteilles sur le meuble de droite)…
Alex, qui n’a jamais pénétré dans un appartement ou une maison de Neuilly sur Seine, admire le vrai luxe, sans ostentation, s’offre la même boisson que son hôtesse, s’assoit dans le fauteuil en vis-à-vis alors que Claire poursuit :
— … C’est à moi, uniquement à moi, que tu obéiras. Quoi que dise Jean, je serai la seule maîtresse du jeu. As-tu bien compris ?
Alex acquiesce :
— Oui, Madame. Comment dois-je appeler votre compagnon ?
— Jean, tout simplement.
— Et vous ?
— Selon l’avancée de la soirée, ce sera Madame ou Maîtresse.
— Parfait, Madame. Si jamais je commets une erreur, comment sera-t-elle réglée ?
Un sourire carnassier éclaire le visage de Claire qui répond :
— Rassure-toi. Tu as sous ton oreiller le paiement de ta prestation pour ce week-end. Même si tu fais des erreurs, je ne toucherai pas à ton enveloppe. Par contre je te sanctionnerai selon mon humeur. Autre question ?
— Non, Madame.
Claire consulte son chronomètre : 19h35. Elle invite :
— Viens-là !
Alex, sûr de lui, pose son verre sur la tablette proche, se lève, se positionne face à la jeune femme.
Claire fixe le jeune homme droit dans les yeux, empoigne le sexe qu’elle décalotte, manipule légèrement, le sent durcir, puis le relâche avant d’ordonner :
— Va dans la cuisine, apporte-moi un gant de latex.
Alors qu’il fait demi-tour, une claque percute sèchement sa fesse nue. Alex s’arrête, se retourne vers Claire :
— Tu as oublié : « Oui, Madame ! »
—Excusez-moi, Madame.
— Je ne pensais pas que tu commencerais si tôt des erreurs. Va !
Alex ramène le gant de latex, le tend à Claire qui le passe sur sa main droite avant de tendre index et majeur vers la bouche du garçon :
— Salive-les !
Le jeune homme les imprègne complètement de sa salive avant que Claire ne lui commande :
— Penche-toi vers l’avant, écarte les jambes et présente-moi ton cul !
Alex prend la position ordonnée, Claire, avec deux doigts de sa main gauche, écarte les deux globes, pose son majeur sur l’anneau rectal l’enfonce lentement jusqu’à la paume. Puis, après l’avoir fait naviguer en tous sens, l’extrait. Quelques marques de souillure marron apparaissent. Claire lâche :
— N’as-tu pas pratiqué un lavement avant de venir ?
Alex se retourne, bégaie :
— Je… Je n’ai pas… Eu le temps…
— Je vais réparer cette erreur. Tu mériterais que je te fasse lécher mon doigt, mais tu as de la chance, je n’ai aucun goût pour le scato.
Claire ôte son gant, vide son verre, se lève, claque le cul :
— Suis-moi. LIRE LA SUITE