La formation de Bess

Doctor Dan
vendredi 22 mai 2020
par  Henic
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1. L’admission

Nous sommes assis sur le canapé, il a ses bras autour de moi, et nous regardons le feu. C’est notre anniversaire et la dernière nuit avant mon admission à la clinique. J’ai dix-neuf ans et lui vingt-sept.
« Kalin, fais-moi l’amour... J’ai tellement envie de toi.
— Maintenant, Bess, nous avons un accord... Tu sais que je veux : te garder pure jusqu’à ce que tu sois mon épouse soumise... Assieds-toi, je vais jouer avec tes nichons. »
Ma mère était soumise, elle l’est devenue peu de temps après qu’elle m’a eue, alors je sais dans quoi je m’embarque. Même si j’avais le choix, à mon seizième anniversaire, j’ai été convoquée à une grande fête et c’est à ce moment-là que Kalin a dit qu’il me prendrait comme son épouse soumise. La veille de mon mariage, nous nous sommes assis et avons rempli des papiers pour que je sois formée pendant un an et un jour après mon mariage. Je devais recevoir des conseils intensifs pour assurer que je serais prête à faire un tel changement de vie.
Pendant ma lune de miel, Kalin a refusé de me faire l’amour. Il a dit que lui et moi ne ferions l’amour qu’après ma formation. J’étais déçue mais je savais que lui aussi était abstinent. Tout ce qu’il faisait, c’était jouer avec mes seins et je ne devais même pas me toucher entre mes jambes.
« Alors, dis-moi ce que tu as choisi pour moi... S’il te plaît, juste une chose. »
Kalin avait rempli un document où il avait choisi quel type de formation j’allais suivre. En caressant mes mamelons, il me dit :
« Eh bien, tu n’auras plus à te raser.
— Tu veux dire que je vais subir l’électrolyse ? »
Ma mère avait traversé cette épreuve destinée à ce que les poils ne poussent plus jamais sur son corps, de la tête aux pieds. Elle m’avait dit que c’était douloureux mais que ça valait le coup.
J’étreins ses grands bras pendant qu’il joue avec moi, les sensations montent en moi et me font tremper par en bas.
Cette nuit-là, nous nous sommes étreints et embrassés, et il m’a câlinée jusqu’à ce que je dorme. Le matin suivant, je me douche et quand je me regarde dans le miroir, je touche le monticule de duvet très court qui est entre mes jambes. Je m’habille très joliment et je me maquille. Je nous fais un petit déjeuner copieux et nous nous asseyons pour le manger. Nous nous dirigeons ensuite vers le canapé en attendant que les gens de la clinique viennent me chercher.
« J’ai un peu peur, dis-je en m’asseyant puis en faisant les cent pas. »
Kalin me prend et me serre contre lui sur le canapé. Bientôt, la sonnette retentit et mon ventre se serre un peu. Kalin va à la porte d’entrée et je l’entends parler. Il se dirige ensuite vers la porte menant au garage et l’ouvre. Un grand homme entre dans le salon avec un grand sac de sport noir.
« Salut, je m’appelle Mike... Je serai ton entraîneur pendant les prochaines semaines. »
Il tend la main et je la serre. Il s’assoit sur la chaise, en face de nous sur le canapé, et sort quelques papiers de sa poche.
« Ce sont les mêmes papiers que vous avez signés il y a un an. Le protocole veut qu’ils soient à nouveau signés. »
Kalin prend les papiers et se penche en arrière sur le canapé pour les lire. Je regarde Mike pendant que nous sommes là en silence.
C’est donc l’homme à qui mon mari va donner sa femme... Il prendra soin de moi pendant les prochaines semaines. Il verra chaque partie de mon corps, il me fera faire des choses et me punira quand je serai mauvaise. Mike me fait un petit clin d’œil quand il voit que je le regarde.
Kalin examine attentivement les papiers puis s’assoit et pose la dernière page sur la table ; il prend le stylo de Mike et les signe. Il les pousse ensuite devant moi et me tend le stylo.
« Dois-je les lire ?
— Non. Mike a raison, ce sont les mêmes qu’il y a un an, à l’exception de mes choix pour votre formation. »
Ma main tremble tandis que je signe à côté de la signature de Kalin. Mike prend les papiers, les plie et les met dans sa poche. Il se lève de la chaise, attrape son sac et le pose sur la table.
« Maintenant, Bess, si vous voulez bien vous déshabiller, nous allons pouvoir commencer... Nous avons un long trajet à faire en voiture. »
Je le regarde et ma bouche s’ouvre. Il veut que je me déshabille juste ici, MAINTENANT. Kalin saisit doucement mon bras et me tire pour me lever. Il m’embrasse sur les lèvres en saisissant mon chemisier et le remonte, puis le fait passer au-dessus de ma tête. Bientôt, je suis nue devant eux deux, je tremble et j’ai froid. Mes mamelons pointent de mes seins. Mike dit à Kalin :
« Maintenant, ils ont des rivets qui, lorsqu’ils sont fermés, ne s’ouvrent pas... La seule façon de les retirer est de les couper. »
Kalin acquiesce en hochant la tête. Mike prend un bracelet en cuir noir avec une grosse bague en métal dessus et Kalin tend mon bras pour que Mike puisse placer la sangle autour de mon poignet. Ma main tremble violemment. La même opération est faite à mes chevilles.
« Je crois que je vais vomir, dis-je alors qu’une vague de nausée m’envahit. »
Kalin me conduit à la salle de bain et me tient le front pendant que mon petit déjeuner repart. Quand j’ai fini, je me rince la bouche. Kalin m’embrasse.
« Je t’aime... Tu sais que je t’aime de vouloir faire ça, non ? »
Je hoche la tête et j’ai un aperçu de moi-même dans le miroir en pied. Je me tiens là, nue, à l’exception des lanières de cuir à chacune de mes extrémités. Kalin me ramène au salon. Où Mike se tient avec encore une autre chose en cuir, qui comporte de nombreuses sangles. Kalin dit :
« Désolé pour ça.
— Pas de problème, ça arrive... Elle est juste nerveuse, c’est tout, c’est compréhensible. »
Je me retrouve devant Mike et il tend l’ensemble en cuir.
« Ce n’est qu’une ceinture de chasteté temporaire, jusqu’à ce qu’elle soit équipée de la permanente. »
Ceinture de chasteté... Je regarde Kalin et il hoche la tête. Mike passe la main autour de mon dos et met une sangle en cuir autour de ma taille, puis il la boucle. Quelque chose pend derrière moi et Mike me fait écarter un peu les jambes.
« Plie un peu les genoux, Bess. »
Je plie mes genoux, avec les jambes légèrement écartées et il passe la main entre elles pour tirer la partie en cuir entre mes jambes et jusqu’à la ceinture. Une mince lanière de cuir entre dans mes fesses, elle s’élargit ensuite entre mes jambes pour me couvrir complètement devant. Il la serre bien.
« OHHH... Dis-je alors que le cuir se resserre sur ma fente.
— Désolé Bess, ça doit être bien ajusté. »
Je me tiens debout pendant qu’il boucle la ceinture sur moi, je suis dans la lune. Je me sens comme une condamnée qui va en prison, mais c’est bien ce en quoi consiste le fait d’être soumise, n’est-ce pas ? Il se recule et me regarde, puis passe dans mon dos et place un doigt entre moi et la petite lanière de cuir qui descend dans la fente de mon derrière.
« C’est bien, dit-il. »
Il fouille de nouveau dans le sac et en sort une autre sangle. J’ai beau chercher, je ne sais pas où il va la mettre. Il y a deux gros anneaux dessus. Je vois le cuir passer devant mes yeux et il fait le tour de mon cou. Il s’ajuste parfaitement autour de mon cou et j’entends les boutons pression se mettre en place car mon collier fait maintenant partie de moi. Mes mains se lèvent pour le tâter et un sourire apparaît sur mon visage. Je me souviens du collier de ma mère.
« Vous voulez toucher ? Dit Mike en me retournant pour faire face à Kalin. »
Au début, je ne comprends pas, mais Kalin me regarde de haut en bas et je peux dire qu’il a envie de moi. Si je ne partais pas pour la formation, je sais qu’il m’aurait prise tout de suite. Il m’aime en cuir ; je le regarde et je prononce les mots : « Je t’aime ». Il me prend dans ses bras, me serre fort contre lui et m’embrasse sur la bouche, puis il glisse ses mains sur mes mamelons exposés et fait un pas en arrière en me regardant dans les yeux.
Mike passe derrière moi, il prend un de mes bras et le soulève au-dessus de ma tête, puis place ma main derrière ma tête. Il attache ensuite mon serre-poignet à mon collier et fait de même avec l’autre bras. Mes bras sont maintenant fixés derrière ma tête et cela projette encore plus mes mamelons très érigés. Kalin se contente de me contempler pendant que Mike me retourne et me conduit à la porte du garage, Kalin le suit.
« Vous pourrez venir pour une visite après qu’elle sera sortie du service hospitalier de la clinique, déclare Mike alors que je suis conduite dans le garage où se trouve une voiture.
— Je te verrai bientôt, bébé. »
Je regarde derrière moi pour le voir me regarder partir. Des larmes me viennent aux yeux, nous n’avons pas été séparés depuis notre mariage. Mike m’ouvre la porte et m’aide à m’asseoir à l’arrière. Il boucle ma ceinture de sécurité et je m’assois en sachant que les gens pourront voir le haut de mon corps exposé pendant que nous roulons.
Sur la route, Mike et moi discutons. Il est entraîneur depuis treize ans et je lui demande à quoi je dois m’attendre. Il m’en dit une partie, mais je suis sûre qu’il ne me dit pas tout.
« Eh bien, tu auras des moulages pour une ceinture de chasteté, un masque pour la tête et un dispositif de retenue pour les seins. Tu devras passer une visite médicale complète, puis tu commenceras le processus d’épilation. Après avoir terminé à l’hôpital, tu descendras à l’étage en dessous pour commencer ta formation. Lorsque tu atteindras l’étage du bas, tu seras remise à ton mari.
— Et qu’est-ce que comporte la formation ?
— Je ne suis pas libre de le dire... Ton mari a choisi des choses spécifiques pour que tu sois formée. »
Nous roulons pendant quelques heures et les gens regardent de nouveau lorsqu’ils voient que je suis nue, avec les bras au-dessus de ma tête, comme un prisonnier. Je regarde toujours vers l’avant mais je sais qu’ils me fixent. Nous sortons de l’autoroute et roulons longtemps sur une route de montagne. Nous tournons ensuite dans une allée et, à travers les arbres, je vois une partie d’un bâtiment de trois étages. Mike m’aide à sortir de la voiture et nous entrons dans un ascenseur qui nous monte au sommet. Lorsque la porte s’ouvre, je suis devant une grande salle d’hôpital. Avec un grand bureau. Mike me conduit au bureau et donne des papiers à la dame qui s’y trouve.
« Mettez-la dans la chambre six. »
Mike me conduit dans un couloir et je vois que chaque chambre a des portes vitrées qui me permettent de voir les filles allongées sur leurs lits. La plupart d’entre elles ont les bras au-dessus de la tête avec leurs attaches en cuir fixées à une barre de métal. Les jambes de certaines femmes sont relevées en forme de V et retenues à un cadre métallique.
« Et voilà, Bess... Ce sera ta chambre pour les prochains jours. »
Il lève la tête du lit en position assise et me fait signe de m’asseoir. Je m’exécute et m’appuie sur le dossier avec les bras reposant sur le haut du lit. L’armature de cadre métallique est au pied du lit et une barre est à la tête.
« Pouvez-vous s’il vous plaît libérer mes bras... ils sont engourdis.
— Pas encore tout à fait Bess ... Tu te détends juste un peu pendant que je fais un peu de paperasse. »
Il quitte la pièce, me laissant nue à l’exception du cuir. Je regarde des hommes passer devant ma chambre, certains d’entre eux me regardent et d’autres ne me prêtent aucune attention. Je prends une profonde inspiration pour m’empêcher de pleurer. Je suis seule et j’ai peur. Je regarde autour de la pièce. Cela ressemble à une chambre d’hôpital ordinaire, avec une table roulante sur laquelle je mangerai et une chaise à dossier droit. Sur un côté, il y a une potence pour intraveineuse. Il n’y a ni fenêtres ni rideaux, juste la grande porte vitrée coulissante à laquelle je fais face.
Mike revient longtemps après. Il prend la chaise à dossier droit, la retourne et s’assoit en s’adossant.
« Bon, Bess, nous allons évoquer quelques règles... Je veux que tu écoutes attentivement ; si tu ne respectes pas les règles, tu seras soumise à une punition. Les sanctions sont infligées une fois par semaine et durent toute la journée. Je veux donc que tu comprennes à quel point il est important d’être bonne et de faire ce que je dis. »
Je hoche légèrement la tête.
« Bien... Tout d’abord, tu t’adresseras toujours à moi en tant que « Monsieur Mike », et à partir de maintenant, à ton mari en tant que « Maître ». Tu me demanderas la permission de parler, d’aller aux toilettes, de manger et de boire.
Tu ne te débattras pas ni n’utiliseras de langage grossier. Lorsque nous nous déplaçons dans les couloirs, tu dois regarder tes pieds. Si quelqu’un s’adresse à toi, tu t’adresses à lui en retour en tant que Monsieur... ou Madame. À partir de maintenant, si tu ne suis pas mes instructions, je devrai te punir... Bess, est-ce que tu comprends ?
— Oui Monsieur.
— Oui Monsieur Mike... Tu dois m’appeler Monsieur Mike.
— Oui Monsieur Mike.
— As-tu des questions ?
— Quel genre de punition recevrai-je si je suis mauvaise ?
— Nous utilisons les lavements et les fessées. » LIRE LA SUITE

Table des matières
1. L’admission
2. À l’hôpital
3. Visite médicale et soins internes
4. Épilation et traitements divers
5. La formation commence
6. Une journée de punitions ordinaires
7. L’infraction majeure

Traduit de l’anglais par Henic



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Commentaires

Logo de Sylvain
samedi 23 mai 2020 à 00h04 - par  Sylvain

Quel plaisir de retrouver une parfaite traduction de Henic ! Le récit lit avec grand plaisir, parfaitement traduit comme sait si bien le faire Henic. Une très agréable lecture, vivante, passionnante. Sylvain.