Les clés de Laura
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1. Laura prend l’avantage
Il y a longtemps que je m’intéresse aux engins de chasteté. Je désire enfermer ma queue dans une petite cage d’acier que j’ai et partir sans les clés, ou les laisser au bureau pendant la nuit, ou même me les envoyer par la poste. Mais personne ne sait rien de mes jeux de chasteté, pas même Laura.
C’est ma colocataire. Autrement dit, nous louons une maison tous les deux et nous sommes amis mais pas en couple. Ce n’est pas que je n’aimerais pas qu’il y ait quelque chose entre nous – c’est une fille attirante -, mais je ne crois pas que je l’intéresse.
Samedi 6 mai
J’arrive dans le salon de la maison et je la trouve assise sur un divan, vêtue d’un jean et d’un chemisier, celui-ci étant déboutonné et dévoilant son soutien-gorge. Dès qu’elle m’entend entrer, elle ajuste rapidement son chemisier autour d’elle et s’exclame :
« Oh, Robert, tu m’as surprise !
— Tu n’as vraiment pas à t’en faire pour le boutonnage de ton chemisier : tu as un soutien-gorge en-dessous, tu n’exposes donc rien.
— C’est vrai, mais je ne voudrais pas que tu puisses penser que je te fais du charme ou que je te drague. Je sais comment vous êtes, vous les mecs. »
La vue de ses seins de bonne taille, enveloppés de satin noir cause des élancements dans ma queue, mais ce week-end, elle est enfermée et ne fait qu’appuyer sur l’acier. En respirant, je murmure :
« Le hasard ferait bien les choses. »
Puis je m’aperçois que j’ai dit ça trop fort. Laura demande :
« Que veux-tu dire ? »
Je m’affole et je réponds :
« Eh bien, c’est juste que je ne suis pas du genre à te sauter dessus à cause d’un peu de chair entrevue rapidement. »
Elle semble déçue.
« Oh, je vois. Est-ce que tu serais… homo ? »
Quelle ironie ! Alors qu’elle m’excite tant !
« Non, je ne le suis pas, j’aime les filles autant que le gars qui suit.
— Oh, alors je suppose que c’est lié à ma personne. »
Elle soupire. Je réponds rapidement :
« Non Laura, ne crois pas ça. Tu es une fille très séduisante.
— Alors si tu penses ça, pourquoi as-tu dit « le hasard ferait bien les choses », Robert ? »
Je vois qu’il faut que je lui fournisse une explication.
« Ce n’est pas que je ne voudrais rien faire avec toi, ni pour toi, c’est plutôt parce que je ne peux pas.
— C’est lié à… cette opération que tu as eue ?
— Mon appendice ? Non, ça n’a rien à voir.
— Bon, alors tu as fait vœu de célibat ?
— C’est déjà plus proche. Du moins, il est vrai de dire que je ne pourrais rien te faire de sexuel en ce moment.
— Pourquoi pas ? »
Je vais devoir tout expliquer.
« Tu vois, quelquefois, j’aime bien faire comme si… euh, montrer la puissance de la volonté sur… m’abstenir de… »
Elle semble intéressée.
« De sexe ?
— Oui, et…
— Ah, d’onanisme !
— Oui, c’est ça. »
Elle arbore un grand sourire. C’est la conversation la plus osée que j’aie jamais eue avec elle.
« Ainsi, tu t’en passes pendant un moment.
— Oui, mais c’est un peu plus que ça.
— Comment, tu l’enfermes, ou quelque chose du genre ? Dit-elle d’un ton sarcastique.
— Ouais, c’est l’idée.
— Tu plaisantes ! Qu’est-ce que tu fais ? Tu mets un gros cadenas autour de ton sexe, ou… ?
— C’est un peu plus sophistiqué. C’est un tube d’acier avec, euh, divers éléments.
— Montre ! »
Je ne m’attendais pas à ça ! Elle veut vraiment voir l’appareil de chasteté que j’ai tenu secret depuis toutes ces années !
« D’accord… Tu veux que la sorte ici ? »
Maintenant, elle a l’air plutôt excité, pas du tout horrifiée comme je m’y attendais.
« Ouais ! À moins que tu ne veuilles pas que je voie. »
Je n’avais jamais pensé que je ferai ça un jour, mais je défais mon pantalon et en extrait ma queue et mes couilles, telles qu’elles sont équipées. L’appareil de chasteté se compose d’un tube en acier plutôt serré autour de ma bite, avec un treillis métallique à l’extrémité. Il y a un ensemble de barres d’acier qui sont autour de la base de mon sexe et écartent mes boules en poussant chacune d’elles vers sa propre cage d’acier de chaque côté de l’engin. Tout au bout se trouve un petit trou destiné à recevoir la clé.
Laura regarde attentivement l’appareil, elle en est presque émerveillée. Elle pose un certain nombre de questions usuelles comme « est-ce que ça fait mal ? » et « comment fais-tu aux toilettes ? » Puis elle demande :
« Et où est la clé de cet appareil ?
— Eh bien, à vrai dire, en ce moment, les clés sont probablement dans le bureau de tri de la poste : je me les suis envoyées.
— Ouaouh, Robert, ainsi, tu es vraiment coincé là-dedans. Quand as-tu fait cela ?
— Jeudi. Je les ai envoyé en tarif lent et je n’ai pas mis le code postal sur l’adresse, ce qui ralentit la distribution, ce ne sera donc pas avant lundi.
— Alors tu es bien enfermé dedans pour tout le weekend ! »
Laura demande si elle peut toucher l’appareil, et lorsque je dis oui, elle le tourne doucement pour le voir de tous les côtés.
« Au toucher, il est assez chaud. »
Je souris :
« Oui, il y a beaucoup de sang qui y circule en ce moment !
— Oh ! Est-ce que tu es « dur » en ce moment ?
— Je serais dur si c’était possible. Mais, et ça ne te surprendra pas, j’ai une fille magnifique qui me manipule la queue !
— Alors tu es as toute cette excitation et tu ne peux rien y faire ! Je dois dire que je me sens plus en sécurité de savoir que je n’ai pas à m’inquiéter de quoi que ce soit qui pourrait te venir à l’esprit, et que je n’ai pas besoin de me couvrir autant quand tu es près de moi. »
Dimanche 7 mai.
Le soir, lorsque Laura descend regarder la télévision, elle ne porte qu’un soutien-gorge avec son jean, et rien au-dessus. C’en est un différent, avec plus de dentelle, cette fois, et qui dévoile un petit peu plus son opulente poitrine. Elle me sourit et dit :
« J’espère que ça ne t’ennuie pas, Robert, mais parfois, j’aime bien ne mettre qu’un soutien-gorge quand il fait chaud, et je sais que tu ne n’entreprendras rien d’inapproprié.
— Non, ça ne me dérange pas du tout. »
J’apprécie plutôt la fermeté qui vient juste de se développer dans mon appareil. Je suis vraiment impatient de récupérer les clés demain !
Lundi 8 mai ; le matin.
Encore au lit, j’entends le facteur qui pose le courrier sur le paillasson et j’entends Laura qui se précipite pour le ramasser. Je descends et vois une pile de lettres mais pas le paquet contenant ma clé de chasteté. Je demande à Laura :
« Laura, y a-t-il quelque chose pour moi au courrier de ce matin ? »
Elle se contente de me sourire en disant :
« Nous en parlerons ce soir. »
Lundi 8 mai ; le soir.
La journée fut longue : je ne porte pas souvent mon appareil de chasteté au travail et d’habitude, je ne le porte pas aussi longtemps sans interruption ; de plus, je ne sais pas ce que Laura a en tête. Finalement, après une longue soirée à essayer de ne pas en parler, Laura me dit :
« Alors, Robert, à propos de ces clés…
— Oui ? »
J’essaie de ne paraître ni anxieux ni désespéré.
« Eh bien voilà comment je vois les choses. Tu as cherché les problèmes en postant les clés le jeudi de telle manière que tu ne pouvais pas les récupérer avant le lundi. Il me semble donc que ton idée était bien de ne pas disposer de tes clés pendant un certain temps. »
J’hésite, je ne sais pas bien si j’aime ou pas où cela va m’emmener.
« … et… ?
— Et j’aime assez l’idée de pouvoir faire ce que je veux dans la maison parce que tu es enfermé. Des choses comme ça, par exemple… »
Laura retire le T-shirt qu’elle portait et dévoile un soutien-gorge demi-bonnets qui contiennent à peine ses seins. Elle me sourit en jouant de ses charmes :
« Est-ce que tu m’aimes me voir comme ça ? »
Je déglutis.
« Oui !
— Et maintenant, tu apprécies d’être enfermé sans les clés, c’est donc une solution de type gagnant-gagnant. »
Elle se rassoit, satisfaite, et prend la télécommande de la télé.
« Bon, c’est une bonne idée mais… quand est-ce que je vais récupérer mes clés ?
— Ne t’inquiète pas, je te maintiendrai pas enfermé indéfiniment, je sais que vous, les hommes, ne pouvez pas tenir le coup sans un peu de jeu de pantalon de temps en temps. Disons, jusqu’au weekend ?
— Euh, d’accord. C’est assez effrayant de ne pas avoir mes clés. Je n’ai jamais fait cela auparavant. Je veux dire, je ne les ai jamais données à quelqu’un d’autre.
— Tu ne me les as pas données, je les ai prises. Et j’ai pensé que tu n’aimerais pas avoir le contrôle, c’est pourquoi je savais que tu serais d’accord. »
Un supplice. C’est un vrai supplice. La chair de mon membre s’efforce de sortir par la moindre ouverture dans l’engin d’acier, plus fort qu’elle ne l’avait jamais tenté jusqu’ici, et je ne peux rien faire pour la sauver de cet emprisonnement.
Mercredi 10 mai.
Laura est en bikini. Cette fille sexy se pavane dans la maison sans rien d’autre qu’un bikini qui ne couvre qu’à peine ses courbes splendides, et elle m’excite comme l’enfer mais m’empêche de faire quoi que ce soit pour me soulager. Elle me demande :
« Est-ce que je peux revoir ton appareil à queue ? »
C’est une demande inhabituelle, pas de celles auxquelles je m’attendais.
« Oui, d’accord. »
Je me lève et fais tomber mon pantalon et mon slip. Elle s’agenouille devant moi, m’offrant le spectacle du magnifique sillon entre ses seins, pendant que ses mains vont et viennent le long de la tige métallique de ma queue. Elle semble ne penser à rien d’autre qu’à faire passer ses doigts sur les petites parties de chair qui sortent à travers les orifices de l’appareil, ou sur mes couilles qui sont exposées quoiqu’enfermées sur les côtés. Elle tire même sur la tige, doucement au début, puis plutôt fort ensuite, secouant et stimulant ma bite, et dit :
« Je vérifie juste que l’appareil est bien verrouillé, je ne veux pas que tu en sortes furtivement, hein, Robert ? On dirait que tu es plutôt excité, en ce moment ?
— Certes. C’est à peu près aussi serré que l’acier qui entoure ma queue, et c’est à cause de ton bikini ! »
Elle lève les yeux vers moi.
« Je prends ça pour un compliment. Je parie que tu aimerais être libre et te taper une bonne branlette, maintenant ?
— Ouiiiiiii, soupiré-je. »
Elle se relève et s’assoit sur son fauteuil.
« Eh bien cela n’arrivera pas avant dimanche, comme ça, tu as quelque chose à espérer ! »
Dimanche 14 mai.
Elle porte un short de jogging plutôt court et un T-shirt moulant sans rien dessous, ce qui fait ressortir magnifiquement ses mamelons. Elle me dit :
« C’est l’heure de la liberté ! »
Laura me conduit à ma chambre et me dit de me déshabiller. Je suis beaucoup plus excité que nerveux à l’idée qu’elle va me voir nu, aussi, en quelques secondes, je n’ai plus sur moi que mon appareil de chasteté. Ma main tire déjà sur la tige mais elle dit :
« Pas si vite ! Allonge-toi d’abord sur ton lit. » LIRE LA SUITE
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