Journal Intime (5)
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Très vite Nadine se détendit. Elle se pencha sur son mari, désireuse tout d’un coup de le sucer devant nous. Mais Roland l’arrêta d’un geste réprobateur, en lui disant de se réserver pour la soirée, chez Etienne. Je compris qu’Etienne avait organisé une partouze. Nous y étions conviés tous les trois dans sa villa pour 21h00. Mais, Roland avait tout de suite compris la passion naissante de sa femme pour moi, et l’invita tout de suite à m’emmener me baigner. J’étais aux anges. Elle se leva, et je découvris qu’elle était totalement épilée, comme Joyce. Ce n’était pas une surprise pour moi, les femmes de leur âge le sont toutes à peu près au Cap d’Agde. Elle portait aussi une fine chaînette dorée autour de sa taille. Elle n’était pas encore très à l’aise, en me voyant toujours maintenu en laisse par Etienne. Elle semblait désorientée, avant qu’Etienne lui tende ma laisse, en lui confirmant que j’étais son esclave, jusqu’à nouvel ordre. Et qu’elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait. Sous entendu, je lui appartenais jusqu’à la soirée. Je me levai, et la regardai saisir ma laisse un peu gênée et m’entraîner derrière elle en direction la mer. Elle semblait un peu mal à l’aise quand même. Cela pouvait se comprendre. Tout cela semblait si inattendu pour elle. S’offrir un jeune garçon androgyne de 18 ans pour une femme de cinquante balais, même sur une plage échangiste, ce n’était pas encore évident pour elle, cela se voyait. En plus elle devait le traîner derrière elle comme un petit chien en laisse.
Je sentais bien qu’elle avait besoin d’être rassurée. Quand nous fûmes éloignés, je lui dis qu’elle me plaisait énormément, et que j’étais très fier de lui appartenir. Elle me fixa le regard troublé, puis me sourit, pour m’avouer qu’elle me trouvait, elle aussi, très mignon. Je sentis de suite que l’idée de posséder un petit giton ne lui déplaisait pas. Je m’approchai d’elle, mon sexe tendu vint toucher sa cuisse bronzée. Elle me sourit, pour poser un petit baiser sur ma bouche, et me dire que j’étais fou, que je mériterais. Mais elle arrêta sa phrase pour me lancer un regard noir et me claquer les fesses de sa main. Je la sentais de plus en plus excitée par la situation, et désireuse de jouer la maîtresse à fond avec moi, même si elle n’avait pas encore trop l’habitude. Pour l’aider, je me jetai de suite à l’eau, et me laissai tomber sur mes genoux, et plonger mon visage et ma bouche entre ses cuisses. « Non pas ici, Axel ! » me cria t’elle en me repoussant au sol. « Chez moi, ce sera mieux ! », rajouta t’elle, très décontenancée par mon initiative. Je compris qu’elle n’était pas trop à l’aise en publique, vu mon âge. Elle préférait sans doute la discrétion de son domicile, peur sans doute de passer pour une pédophile. J’avais beau avoir 20 ans, je paraissais pour tout le monde bien plus jeune que mon âge. On me donnait souvent entre 15 et 16.
Elle me ramena auprès des autres et demanda à Etienne, et à son mari si elle pouvait m’emmener à la villa pour le reste de l’après midi. Ils ne furent pas trop d’accord qu’on les quitte si vite. Puis finalement acceptèrent, à la seule condition, que Nadine leur montre sur moi, dès ce soir, ses talents de maîtresse sado-maso, lors de la soirée chez Etienne. LIRE LA SUITE
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