L’avocate (2)
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Les jours qui ont suivi ce premier contact, je repensai souvent à cette jeune femme désemparée, et plus particulièrement la nuit où je partais dans mes fantasmes en l’imaginant dans les situations que lui imposait son maitre chanteur. Cela me plongeait dans des jouissances puissantes. J’en étais par ailleurs surprise car jamais jusqu’à présent je n’avais jamais eu de relations lesbiennes et des rapports de soumissions, mais je me raisonnais en me disant que si cela m’excitait, à mon âge il était temps de ne plus rien me refuser.
J’attendis donc avec impatience notre prochain rendez-vous, où elle devait me remettre toutes les photos qu’il lui avait envoyées et me raconter en détail tout ce à quoi elle était soumise.
Le jour de notre rendez-vous, j’arrivai un peu en retard et de loin je la vis devant la porte du bâtiment, comprenant qu’elle hésitait à rentrer, mais je vis également qu’elle avait à la main un porte-document qui devait certainement contenir les photos.
En arrivant dans son dos, je la fis sursauter, profitant de la surprise je l’invitai fermement à entrer en la poussant devant moi, puis après avoir salué Noémie, ma secrétaire, je l’introduisis directement dans mon bureau.
Je m’installai confortablement dans mon fauteuil alors qu’elle restait debout n’osant s’avancer.
Je tendis la main lui demandant de me remettre les documents. Elle me dit alors d’une toute petite voix qu’elle n’aurait pas dû venir, quelle ne pourrait jamais me montrer ces photos et me raconter en détail ce qu’elle était obligé de faire…
Avec autorité je me levai et lui dis que je n’avais pas de temps à perdre, qu’elle n’avait qu’à se débrouiller toute seule avec son maitre chanteur, je l’attrapai par le bras et la conduisis jusqu’à la porte. Elle se mit alors à pleurer en s’excusant et me dis que j’étais en effet la seule à pouvoir l’aider et qu’elle allait faire ce que je lui demanderai.
Je saisis alors sans douceur son porte-document, m’assis à nouveau derrière mon bureau, puis lui demandai de s’assoir face à moi, pendant que je commençai à examiner les photos en les étalant devant elle.
Le voyeur avait dû prendre ces clichés sur plusieurs mois, il y en avait de toutes sortes, dans toutes les situations, mais tous d’une qualité parfaite. Il est vrai que lorsque l’on est seule chez soi, on ne se doute pas que l’on peut être espionné, et on n’a pas idée de tout ce que l’on peut montrer…
Toutes ces photos ne cachaient rien de son intimité la plus secrète, avec parfois de très gros plans.
Certaines étaient prises dans la salle de bain ou l’on pouvait avoir tout un panorama de son corps nu dans toutes les positions, comme par exemple celle où elle essuie le sol devant la douche de dos jambes écartées. Le zoom d’une grande précision permet de bien voir les poils roux peu fournis, qui remontent entre ces fesses, l’écartement des cuisses dévoile ses lèvres intimes, décollées, laissant voir les chairs internes d’un rose très pâle. LIRE LA SUITE
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