1 Greta, ma propriété
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Une femme qui devient un objet sexuel et son mari propriétaire. Elle voulait connaître ses limites. Il la transforme en un objet sans volonté, entièrement dévouée et soumise sexuellement. Cette histoire n’est ni réaliste ni sympathique, elle ne recherche pas à comprendre les personnages, les sentiments des soumises ou des dominants mais à provoquer –à vous de juger. Contient des scènes d’humiliation, de dégradation, de philosophie sexiste, de viol et actes sexuels et dégradants sans consentement. Si vous n’aimez rien de tout cela, passez votre chemin.
Chapitre 1 – Premier contact
Greta entendit la porte et voulu se lever pour courir vers son mari et lui demander de s’en aller de ce lieu horrible.
Cela faisait deux heures qu’elle avait été amenée ici par son Charles, son mari. Une petite maison de banlieue, enfermée au sous-sol, dans une pièce sans fenêtres, aux murs dégradés, suintants l’humidité. « Je m’occuperais de toi plus tard ! » avait-il simplement dit en refermant la porte à clé. Des mots menaçants qui s’accordaient à l’ambiance. Des anneaux aux murs, une chaîne. Une pièce glauque et peu avenante. Peu de meubles en bois brut, sales, vieux : une bibliothèque contenant des livres pornographiques et des photos de femmes battues, attachées, torturées ; de hauts tabourets l’un d’entre eux avait un siège évidé, et semblait arrangé pour attacher la personne qui s’y aventurerait ; dans le coin le plus sombre, un grand coffre métallique, fermé à clef, comme les portes blindées et capitonnées. La pièce évoquait une oubliette plus que la cave d’une petite maison de banlieue. Greta frissonna : un cercueil ? Si personne ne venait elle mourrait ici… La pensée lui paru très réelle dans cette ambiance sinistre. Elle senti sa dépendance, sa soumission comme le lui rappelait Charles à chaque instant. Elle était bien devenue son objet.
Elle avait accepté comme le reste, par un besoin d’aller toujours plus loin. Il la menait par le bout du nez, « par le con » disait-il ! Ils avaient baisé encore ce matin. Plus violemment que d’habitude. Cela faisait longtemps déjà qu’elle acceptait tout de lui : les mots rudes et déplacés, les remarques blessantes, les gestes contrôlés, l’exécution d’injonctions absurdes, d’actes dégradants, les « punitions » devenues de plus en plus fortes, longues, douloureuses, la crainte aussi de ne pas le satisfaire pleinement. Et son permanent état d’excitation sexuelle. Cette fois, il lui avait dit de s’habiller simplement sans se laver ce qu’elle n’appréciait guerre. « Ton con doit être humide et tu dois sentir le sexe. Tu garderas le sperme en toi. Qu’il souille ta culotte ». Comme ce fut une « séance à deux trous », comme il disait, ce matin-là, elle sentait couler les jus dans sa culotte devant et derrière. Une culotte étroite légèrement trop petite qui glissait dans les plis de son entre-jambe. Qui tachait sa jupe un peu trop courte. Ou alors, était-ce son imagination ? Elle sentait son humidité comme si elle avait fait pipi dans cette culotte. Elle sentait de temps à autre l’odeur de sexe, l’odeur persistante de l’amour avec son mari. Mais ce n’était plus de l’amour : juste une froide réminiscence, qui lui sciait le sexe et striait ses fesses. Charles lui dit que l’odeur de moule était la marque de sa soumission. L’odeur de moule la fit rougir de honte. Elle ne pouvait pas répondre. Que dire sinon approuver son abjecte sujétion. Et quand elle lui demanda où allaient-ils, il ne lui répondit rien d’autre que « là où tu vas parfaire ton éducation ». Ils avaient déjà joué à ces jeux du maître et de l’élève et c’était l’occasion de sessions sauvages de sexe enragé. Elle adorait ces sessions. Une sorte de drogue. Sa volonté semblait s’enfuir et tout devenait prétexte au sexe. Elle se laissa entraîner dans cette maison en rêvant… Mais là dans le froid…
La pièce en dehors des meubles en bois n’avait qu’un canapé en cuir noir. Tout était triste et glauque là-dedans. Elle détestait cette attente, cette incertitude et les pires pensées l’habitaient. Elle sentait son odeur et elle était sûre qu’avec l’humidité ambiante toute la pièce devait sentir cela. Elle feuilleta quelques livres en attendant : des BD immondes, des photos porno de mauvaise qualité. Sur la table il y avait un verre et une carafe d’eau… Elle se dit que c’était curieux : une carafe d’eau. Quelqu’un l’avait posé là avant qu’ils ne viennent. Quel était le propriétaire de cette maison ? Elle n’avait rien à faire. Elle fit plusieurs fois le tour de la pièce. La lumière unique au plafond, un bulbe au bout d’un simple fil, était très faible. Le froid commençait à lui transpercer la peau. Le froid… la peur aussi.
Elle s’arrêta net en voyant son mari accompagné d’un petit homme, chauve, très corpulent, torse nu, habillé d’un pantalon en cuir et de bottes hérissées de clous. Il avait une épaisse ceinture cloutée qui servait à retenir un bâton assez long, une cravache et un fouet plié dans une gaine de cuir. Un flic, un gardien, un garde-chiourme… Il souriait en examinant Greta de haut en bas puis de bas en haut avec beaucoup d’attention. « Vous avez là une belle femme, Monsieur Charles ! Nous allons en prendre soin, n’ayez crainte ! Attendez que je prépare mon bazar pour le transport. ». LIRE LA SUITE
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