L’éveil d’une femelle

mardi 15 décembre 2020
par  MasterB
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Je suis une soumise dans l’âme depuis plusieurs années déjà. J’ai toujours aimé les jeux de soumission, d’humiliation accompagnés ou non de traitements parfois très douloureux.
J’ai joui à de nombreuses reprises lorsque la peau de mon cul, de mes seins mais aussi de ma chatte était bien marquée par les cinglées d’un fouet, d’un martinet ou d’une cravache et qu’après j’étais prise comme une bête par plusieurs hommes peu regardants sur la façon dont ils me traitaient.
Jusqu’à présent, il m’a toujours été difficile de vivre mon fantasme en toute confiance et si j’ai rencontré quelques vrais Maîtres, j’ai croisé aussi quelques rigolos et une poignée de cinglés. Je cherche depuis longtemps quelque chose de plus qu’une soirée ou un après-midi de jeux plus ou moins violents au cours desquels j’aurai été malmenée avec cette violence à laquelle j’aspire régulièrement. Il y a longtemps déjà, j’avais alors tout juste 19 ans, que j’ai découvert que d’être humiliée, battue, baisée de toutes les manières possibles m’apportait des orgasmes incommensurables.
Mais, je n’ai jamais trouvé un Maître auquel j’aurai pu m’attacher.
Je ne cherche pas à m’évader dans un autre monde. Je suis juste à la recherche de ce plaisir, de ces éblouissements qui me laissent pantelante, parfois de longue heure après.
Je ne suis pas sans ressources et je n’ai jamais eu l’intention de devenir une femme facile. Je suis plutôt intelligente et instruite, j’ai un bon emploi et, selon toutes les apparences extérieures, j’ai donc une belle vie. Je ne suis juste pas moi. Il me manque ce piment dans ma vie qui m’apporte trop rarement une forme de plénitude totale même si mon corps en reste marqué de longs jours. Je vous garantis qu’un cul cravaché à sang se rappelle à vous tous les jours pendant une, deux ou trois semaines. S’asseoir est alors une épreuve et même chier si la cravache s’est immiscée entre les deux globes fessiers.
Sur Internet, j’ai longtemps navigué sur les sites BDSM, à la recherche d’un Maître qui me permettrait de satisfaire mes fantasmes. Mes lectures et les films que je trouvais sur des sites spécialisés avaient créé en moi une envie qu’avec une pointe d’humour je qualifierais de bestiale. Je voulais devenir un animal, une chienne, pas de ceux ou celles qui sont dorlotés par leurs adorables petites maîtresses au brushing toujours parfait mais plutôt de ceux ou celles qui sont dressés avec sévérité, brutalité, sans pitié. En disant cela, je m’en voudrais de choquer les amis des animaux… je ne parle que de moi bien sûr. Je voulais être vache, truie, brebis, connaître l’expérience de la boue, de la bauge, être avilie et sentir dans ma chair les marques de cette servitude volontaire. Je rêvais de ne plus être qu’un animal sans statut humain qui servirait de bête de somme et d’objet sexuel tout à la fois.
J’ai mis à jour mes profils Internet dans l’espoir de cibler ma recherche. Je cherchais un vrai propriétaire qui voulait un animal de compagnie, un animal tout court qu’il aurait à cœur de dresser.
Quelques semaines plus tard, j’ai reçu une réponse d’un Maître intéressé.
Il a commencé par me demander quelle était ma motivation à propos de mon désir de vivre comme un simple animal et ce que cela signifiait pour moi. Je lui ai répondu en lui décrivant mon fantasme et en insistant sur ma volonté de vivre intensément ce genre d’expérience. J’ai dû être persuasive car très vite il m’a écrit me disant qu’il avait une propriété dans le sud de la France et qu’il possédait plusieurs esclaves et autres femmes cavales. Il n’était pas à proprement parlé propriétaire d’un cheptel mais n’était pas contre l’idée d’en constituer un. J’en serais la première bête. En lisant cela, j’ai ressenti une crispation dans le bas de mon ventre. Je coulais sur ma chaise.
Il a expliqué que sa propriété était un ancien ferme château médiévale qu’il avait rénové et qui permettait de laisser libre cours à toute une série de fantasmes BDSM. Il était membre d’un club très privé et recevait fréquemment des maîtres et des maîtresses accompagnés ou non de leurs esclaves personnels. Ses esclaves, mâles et femelles, dont il assurait le dressage étaient bien sûr tous volontaires.
A part peut-être les femmes cavales, il ne s’était jamais occupé de dressage de femme en mode animal, mais le défi lui plaisait. Il était intéressé par le passage du mode femme à celui de femelle avait-il insisté.
Notre correspondance a continué quelques semaines durant. Je lui ai expliqué mon désir d’être gardée comme n’importe quel autre animal, à quatre pattes, muette, portant un collier, vivant dans une cage et n’importe quoi d’autre qu’il lui plairait de m’imposer. Je voulais des règles dures, dont le non – respect serait impitoyablement puni.
Pour que le dressage soit un tant soit peu efficace, j’acceptai d’avance toute sorte de punitions qu’il me ferait subir pour le parfaire et avançait finalement un dernier argument en faisant valoir qu’il pourrait utiliser mon corps comme bon lui semblerait. Ma bouche, ma chatte et mon cul seraient à son entière disposition.
Nous avons ensuite échangé les photos et informations habituelles pour d’une part qu’il puisse avoir un avant-goût de son futur animal et d’autre part qu’il puisse se faire une idée de mon niveau de maturité dans le monde du BDSM. Je me prêtais de bonne grâce à ces échanges et mouillait encore plus abondamment la chaise sur laquelle j’étais alors assise. Il ne fallait ensuite que quelques passages de mes doigts sur ma chatte et sur mon clitoris pour jouir furieusement.
Nous avons finalement convenu que je m’y rendrais un prochain week-end.
Dire que j’étais nerveuse était un euphémisme. Les six heures de route semblaient plus longues que toutes celles que je n’avais jamais parcourues. Maître Pierre m’avait proposé de le rejoindre par avion, se proposant même de venir me chercher à l’aéroport, mais j’ai choisi de faire le trajet en voiture, profitant de cette liberté, du temps de la route pour réfléchir et considérer les conséquences de mon choix.
Quand je suis arrivée devant sa propriété, j’ai tout de suite été frappée par la présence d’une enceinte murée qui s’éloignait à perte de vue des deux côtés du portail. Mon cœur a sauté un battement ou deux d’appréhension. Dans quoi m’étais-je engagée…
Sans que je n’aie rien fait, le portail s’est ouvert m’invitant à m’avancer dans le domaine. LIRE LA SUITE


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Commentaires

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jeudi 2 novembre 2023 à 10h24 - par  Henic

Dans la catégorie « la descente aux enfers pleinement choisie », voici un bon exemple.