Journal Intime (9)
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Vautrée sur la table de jardin, cuisses grandes ouvertes, Nadine se laissa posséder comme la dernière des salopes, le regard chaviré, le visage déformé par l’extase dans laquelle elle se trouvait.
Agrippé à ses cuisses un peu flasques, je me mis à lui labourer à grands coups de bite violents son orifice béant d’où dégoulinait une mouille gluante. Après ce qu’elle m’avait fait subir, je me vengeais à ma manière, et ne lui épargnais rien. C’est ce qu’elle aimait cette vieille pute, car elle ne cessa de m’hurler de la défoncer. Je ne m’en privai pas, bien décidé à la traiter comme la dernière des salopes. C’est ce qu’elle était après tout, pour se laisser baiser comme ça, par un garçon de mon âge. Mes coups de queue se succédèrent, à un rythme effréné, la projetant plusieurs fois au milieu de la table. Affolée par son propre plaisir elle n’était plus qu’une poupée désarticulée, incapable de résister à cette lame de fond qui l’emportait. Incapable de maîtriser ses débordements, la vielle brune siliconée se mit à pousser des cris de démentes, le corps saisit de soubresauts désordonnés. Elle se mit à jouir, ses ongles plantés dans mes poignets.
L’ayant comblé, je sortis ma queue, pour me branler sur elle, incapable de contenir mon excitation. Je devenais complètement dingue de cette femme. Mais elle me saisit fermement par le poignet pour m’attirer à elle, et engloutir ma bite dans sa bouche, pour me montrer qu’elle seule décidait de la manière que j’allais jouir. Elle m’administra férocement une longue fellation, pompant jusqu’à la dernière goutte, mon sperme. Puis la main agrippée à la hampe de ma queue, elle me lécha et suça presque religieusement mon gland, le regard relevé vers moi, comme si j’étais un ange pour elle.
Puis elle se releva pour m’enlacer amoureusement, presque maternelle, en caressant mon visage et me couvrant de baisers, brulante de désir. Je la saisis par la taille, pour serrer mon ventre contre le sien, et lui confiai, presque ému, que j’aurais aimé avoir une mère comme elle. Mon aveu ne la surprit pas trop. Elle releva la tête pour me fixer dans les yeux, tout sourire, et me demander avec son air espiègle s’il était normal qu’un garçon couche avec sa maman. Et elle conclut sa phrase en m’embrassant fougueusement, sa langue se mêlant à la mienne dans un long baiser passionné. Comme si elle voulait me montrer que c’était possible qu’une maman et son fils puisse s’aimer ainsi, aussi fort.
Puis, devenue sérieuse, presque gênée, elle m’avoua un peu bouleversée qu’elle aurait aimé avoir un fils comme moi. Un fils aussi mignon et aussi obéissant que moi. Un garçon qu’elle avait toujours rêvé d’avoir, et qu’elle aurait, c’était sûr, la connaissant mieux maintenant, étouffé, dominé et abusé, pour en faire son petit boy à disposition. Elle était certaine d’elle. Que ce que nous vivions là, se serait passé ainsi, entre elle et moi. Que je me serais laissé facilement soumettre à elle, sans me défendre, bien au contraire. Elle se mit à regretter amèrement de ne pas m’avoir mis au monde. Puis, de plus en plus émue, la voix nouée, elle me révéla, ce que je ne cessais de pressentir, qu’elle ne pouvait plus se passer de moi. Qu’elle avait besoin de moi. Et le plus naturellement du monde elle me proposa, si j’étais prêt, de m’acheter à Etienne et Joyce. Roland avait beaucoup d’argent et il était disposé à lui faire ce cadeau pour ses cinquante ans dans quelques jours.
A l’écouter échafauder ses intentions, tout le monde l’aurait prise pour une folle. Pas moi. Je l’écoutais attentif, m’expliquer comment elle voyait les choses, que nous resterions vivre ici dans cette villa au Cap d’Agde. Que Roland, trop pris par son travail, verrait d’un bon œil qu’elle s’épanouisse avec ce nouveau fils adoptif, dont elle aurait tout le temps de bien s’occuper. Je n’arrivais pas à imaginer que tout cela puisse se réaliser, comme cela, aussi facilement. Je vivais un rêve. Un rêve que je ne voulais pas briser, en lui racontant que Joyce n’était pas ma mère et que j’avais simplement fugué de chez moi. Mais innocemment je lui demandais, comment elle pourrait faire de moi son fils, qu’il ne suffisait pas de m’acheter comme cela, pour qu’elle soit ma mère. Les choses ne peuvent pas se passer comme cela, aussi facilement. LIRE LA SUITE
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