« C’est tout, c’est tout, c’est bien, c’est très bien, je suis fière de toi »
« Je sais ce que tu ressens juste après cette jouissance, relâche-toi, ne pense plus à rien, laisse-toi aller… »
« viens là dans mes bras, tu es toute jolie, viens là dans mes bras tu y es bien, je te protège »
Jennifer n’avait pas souhaité ni prévu que Chantal puisse jouir si tôt mais il fallait parfois improviser et donner en retour afin de récompenser si nécessaire.
Elle savait que son esclave venait de passer un cap très important et qu’elle avait besoin de tout son réconfort.
Jennifer ne voulait pas perdre le pouvoir de séduction qu’elle exerçait sur elle, cet ascendant qu’elle avait pris dès le départ et qui avait d’emblée marqué leur relation.
C’est pourquoi elle embrassa encore longuement Chantal tout en effleurant sa poitrine et en descendant de la pointe de ses ongles tout le long de sa colonne vertébrale afin de lui procurer de douces sensations et de relancer quelque peu son excitation.
La réaction ne se fit pas attendre, son esclave était à nouveau troublée par ses caresses.
Elle s’attarda quelque peu sur sa poitrine et sur un des mamelons qu’elle taquina en pianotant de ses doigts selon un savoir-faire démoniaque.
Elle profita de ce moment pour susurrer à nouveau à l’oreille de Chantal ce qu’elle devait entendre et enregistrer.
« Je sais que tu es un peu perdue par ce qui t’arrive mais tu es à moi, tu m’appartiens. »
Elle insista encore un bon moment sur le mamelon de Chantal comme s’il était l’objet de toutes les convoitises.
Elle le sentait durcir et en profitait pour le soumettre à de savantes caresses et torsions.
Chantal se mordait les lèvres tant les caresses de Jennifer l’excitaient à nouveau.
Jennifer savait dès cet instant que Chantal était à nouveau à sa merci. L’excitation de son esclave la gagnait par vague successive. C’était un combat, une danse, une chorégraphie conduite et menée de bout en bout par les mains, le corps et le mental de Maîtresse Jennifer.
Elle voulait marquer le coup et elle ne s’en priva pas en lui chuchotant à nouveau à l’oreille de sa proie.
« Tu es à moi car tu ne peux t’empêcher de mouiller comme une petite chienne à chaque fois que je te caresse. »
Sur ces mots Jennifer venait à l’instant de glisser un de ses doigts sur la fente de Chantal pour y récolter la liqueur de ses plaisirs.
Chantal ne pouvait cacher combien elle était excitée à chaque fois que Jennifer la touchait ou la caressait.
Elle ne se sentait même pas la force de retenir ses envies tant ce qu’elle ressentait et éprouvait pour Jennifer grandissait dans son ventre d’heure en heure au point de lui remuer les tripes.
A cet instant précis, une étape avait été franchie et elle le savait, elle savait qu’elle en tombait amoureuse.
Mais Jennifer avait l’habitude de souffler le chaud et le froid, elle appela Diane avec impatience qui arriva presque instantanément dans le salon privé et découvrit Chantal chevauchant encore les bottes de sa Maîtresse.
Chantal était gênée de la présence de Diane et n’osa regarder vers elle.
« Diane prépare moi quelques tenues de soumises comme je te l’avais demandé tout à l’heure stp ? »
Pendant ce temps, Jennifer prit quelques mouchoirs en papier en s’adressant à sa soumise.
« Bon et bien il va falloir que j’essuie ta petite chatte car tu es toute mouillée et je ne voudrais pas que tu salisses la collection de Diane. »
Elle prononçait ces mots assez haut pour que Diane puisse l’entendre et ajouter à la gêne de son état tout en passant délicatement un mouchoir le long de son sexe comme si elle lui apprenait à se nettoyer après avoir été aux toilettes.
« On dirait une vilaine fille qui s’est faite dessus tellement tu es mouillée. Regarde cela ».
Jennifer ne lui laissa pas le temps de réaliser combien elle avait mouillé le mouchoir et ce qu’elle venait de faire, elle la releva en lui donnant une petite claque sur les fesses pour la guider vers Diane
Elle ne voulait pas laisser à Chantal le temps de penser à ce qu’elle faisait, profitant ainsi de chaque moment pour renforcer le lien de la Maîtresse envers sa soumise.
« Allez zou, va vite essayer ces tenues car un hélico nous attend pour rejoindre la mer. Ne me déçois pas ! »
Depuis qu’elle était entrée dans cette pièce, Chantal n’avait pu s’imaginer avoir une relation homosexuelle et encore moins se soumettre aux ordres d’une femme. Elle ne pouvait pas expliquer pourquoi elle allait essayer des tenues qu’elle n’aurait jamais pensé mettre un jour dans sa vie. Mais elle le faisait parce que car Jennifer lui demandait, pour lui faire plaisir et surtout fallait-il bien l’avouer car Jennifer était une très belle femme et qu’elle lui plaisait énormément.
Elle essaya plusieurs fois de se rebeller, choquée par le style des vêtements fétiches que Jennifer souhaitait choisir pour elle mais l’autorité de Jennifer et surtout sa beauté la rendait à nouveau docile.
Jennifer flasha sur un modèle très spécial, un harnais de cuir sadomaso pourvu de lanières sur toute la partie ventrale, passant ensuite entre la poitrine laissée apparente et puis remontant vers un collier. Une autre lanière repartait vers le bas, épousant parfaitement le sexe de Chantal, passait entre les cuisses, les fesses pour se séparer en deux nouvelles lanières soulignant chacune les dessous des fesses pour remonter et se fixer à la hanche. Deux bracelets fixés au niveau des biceps et des avant-bras étaient fixés au harnais privant la soumise de toute liberté de mouvement.
Pressée, Jennifer intima l’ordre à Diane de préparer les tenues choisies en toute hâte afin de regagner la Porsche au plus vite, ensuite prendre l’hélicoptère qui les attendait dans un petit héliport tout proche de la capitale.

Une femme pilote super sexy et au doux prénom de Charlotte attendait nos deux comparses. C’était une jolie jeune femme, on devinait un superbe corps sous sa combinaison, elle le savait et en jouait un peu auprès de son entourage.
Chantal avait reçu l’ordre de se placer à l’avant de l’appareil afin de mieux profiter du paysage.
Mais le vol allait être particulier grâce aux casques permettant de communiquer entre la pilote et les passagers.
Jennifer invita Charlotte à profiter un peu de la présence de Chantal qui se devait de relever sa pupe et d’ouvrir ses cuisses. Chantal était choquée par cette attitude mais obtempéra malgré elle.
« Tu peux caresser ses cuisses si tu veux comme je sais que tu aimes cela »
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