Coupe du monde
par
popularité : 1%
C’est le grand jour, l’équipe nationale va jouer son premier match de phase finale de la Coupe du monde de foot. Par bonheur, on a réussi à avoir des places au stade et on se prépare. Je dis « on », car nous sommes toute une petite bande de copains. Il y a de l’électricité dans l’air et on sent qu’on va bien s’amuser.
Depuis quelque temps, je cherchais un moyen original de soutenir notre équipe et finalement, j’ai décidé de me parer de ses couleurs. Quand je dis me parer, je veux dire me faire peindre directement les couleurs de l’équipe sur le corps.
Nous sommes deux filles du groupe à avoir eu cette idée quand nous avons vu qu’un « atelier de peintre » avait été improvisé, tenu bien sûr par deux mecs. Nous sommes là cinq ou six filles venues de divers horizons et les types nous peignent le corps en rouge et blanc. Bien entendu, ils nous ont fait mettre torse nu et parmi la vingtaine de spectateurs qui se rincent l’œil gratos il y a bien 95 % de garçons (en fait, ça fait une fille pour 19 mecs !). Heureusement qu’ils sont contenus par une sorte de barrière qui doit se trouver à un mètre cinquante ou deux mètres de nous.
Un des artistes commence à me peindre en rouge les épaules et une partie du torse qui comprend la moitié extérieure des seins. J’ai de beaux seins assez lourds, ce qui fait le bonheur de certains de mes copains. Un bon 90C.
Aussi, le gars a « absolument besoin », pour les nécessités de son art cela va sans dire, de me tenir le nichon qu’il est en train de peindre, sans se priver de le palper et de le soulever pour le peindre en dessous. Quand il a fini, il me fait retourner pour me peindre le dos et je dois alors faire face aux « admirateurs ». Quelques-uns commencent à siffler et j’ai le réflexe de lever mes mains pour cacher mes seins. Aussitôt, le peintre s’écrie :
« Non, non, n’y touche pas, c’est pas sec ! Laisse tes bras le long du corps ».
Je baisse donc les bras et je laisse les salopards me mater les seins à moitié peints. La limite de la peinture passe juste au milieu de l’auréole et j’ai les bouts qui se dressent.
Les types s’énervent :
« Dis donc chérie, ça t’excite drôlement. T’as les tétons qui pointent. J’ai bien envie de te les tripoter pour voir s’ils sont aussi durs que je le pense… ».
Les autres filles aussi se sont retournées et les mateurs ne savent plus où donner de la tête. Et ça dure un bon bout de temps, car les peintres commencent une fille puis passent à une autre pendant que la première sèche, pour que les couleurs ne se mélangent pas. Et pendant ce temps-là, les mateurs se régalent.
Vient enfin le moment où la peinture est terminée, et sèche, et nous partons, tout notre groupe de copains-copines vers le stade. Pour compléter mon déguisement, j’ai mis une petite jupe blanche, des bas rouges et des bottes noires qui me montent presque jusqu’aux genoux. Nous sommes une dizaine dans le groupe, dont trois filles. L’une des deux autres est peinte comme moi et porte un jean et des baskets. Ses seins sont assez petits. Je me sens nettement plus sexy qu’elle, surtout quand on danse en se trémoussant dans la rue et que mes gros seins se balancent au rythme de notre déhanchement.
La nuit commence à tomber et au bout d’un moment, je m’aperçois que je me suis éloignée du groupe et que je suis maintenant entourée de gars que je ne connais pas. Des mecs qui dansent sur le même rythme que nous et qui ont l’air assez sympas. Au bout de quelques pas, un des types me dit :
« Dis donc, t’as pas de soutif, t’es à poil ! », et il vérifie tout de suite la véracité de ses dires en me pétrissant le sein le plus proche de lui. « Eh les mecs, elle est poil ! et elle a des méga nichons. Venez voir ça ! »
Et aussitôt, un essaim de mâles excités fond sur moi, qui me malaxent les nibards à qui mieux mieux.
Je tente de me protéger avec les mains, mais je n’en ai pas le temps : mes bras sont maintenus dans mon dos par deux des gars pendant que leurs copains s’en donnent à cœur joie.
« Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ! Vous avez vu la petite jupe qu’elle a mise ? Juste ce qu’il faut pour en montrer un max sans être vraiment une pute. Et c’est des bas ou des collants ? On parie pour des bas, ça collerait plus à son style ».
Un des mecs relève le devant de ma jupe pendant que les autres continuent de me tripoter, malgré mes protestations, dont ils se fichent royalement bien entendu.
« Gagné ! je vous l’avais dit qu’elle portait des bas ! Putain le joli spectacle. Dis donc c’est un string, non ? ».
« Allez, dis-nous c’est bien un string ? ».
C’en est bien un, mais je ne veux pas leur dire. Effectivement, j’avais hésité un moment avant de choisir un joli petit string rouge qui allait bien dans le ton de la soirée. Mais je ne pensais pas le montrer. En tout cas pas à eux.
« Alors, tu réponds ? C’est un string, non ? »
Comme je ne réponds que par un faible « mais laissez-moi donc » en essayant de me dégager de leur emprise. Le même type continue :
« Tu veux pas le dire ? c’est pas grave, on va vérifier nous-mêmes. »
« Allez, les mecs, faites nous voir ça ! » fait-il à l’adresse de ceux qui me tiennent les mains dans le dos.
Et ma jupe remonte derrière comme elle est remontée devant. En fait, il me reste tout juste une large ceinture qui ne cache plus rien. J’ai beau m’écrier :
« Oh, non ! », le mal est fait et mes fesses sont à l’air. LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (1 jours) | ABONNEMENT 7 JOURS | ABONNEMENT 15 JOURS | ||
---|---|---|---|---|
ABONNEMENT 1 MOIS |
ABONNEMENT 3 MOIS |
ABONNEMENT 6 MOIS |
SE DESABONNER |
OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)
Commentaires