Histoire de Babette
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Babette descendit de cheval, de son cheval : Saltimbanque. Après l’avoir déharnaché et dessellé, elle entreprit de le bouchonner, de lui curer les pieds et d’essuyer la sueur collée à son pelage. Saltimbanque aimait visiblement cette opération. Babette, elle, aimait le galop, et cette allure grisante aussi bien pour elle que pour lui, les laissait ruisselants. Pour amplifier le galop, le bassin de la cavalière doit effectuer un mouvement d’arrière en avant en rythme parfait avec celui de sa monture ce qui a pour effet un frottement continu du périnée sur la selle et ne manque jamais de faire naître une excitation, excitation que Babette recherchait de toute façon.
Elle était seule dans la ferme. Sa jeune sœur et elle habitaient toutes les deux dans cette petite exploitation depuis la mort accidentelle de leurs parents. Elles étaient restées là, aidées par Valère, le fermier, et sa femme, persuadées que, mêmes orphelines, elles étaient mieux qu’en ville.
Comme d’habitude chaque fois qu’elle était seule, elle commença de caresser les couilles de son pur-sang, de lui décalotter le gland et de le « nettoyer » le plus attentivement possible à cet endroit. Cette caresse ne laissa pas Saltimbanque indifférent et une légère érection lui vint. Babette surveillait de près l’état de la chose et profitait, du creux de la paume, de la lourdeur de l’engin qui naissait sous sa main. Au bout d’un moment la queue de Saltimbanque avait pris une dimension très acceptable. Babette ouvrit son corsage laissant largement déborder sa poitrine somptueuse. Elle ne portait jamais de soutien-gorge quand elle montait. Elle aimait sentir ses seins ballottés par le trot ou le galop. Elle se glissa sous le ventre de la bête pour emboucher ce pieu palpitant. Son cœur et sa bouche s’emplirent de bonheur. Elle suça longuement le tube de chair brune, presque noire, de Saltimbanque. Tout en malaxant les couilles énormes et dures de l’animal, elle tétait le sexe de son cheval, certaine de le satisfaire mieux qu’une quelconque jument. Gagnée par l’excitation qui montait en elle, son sexe était maintenant trempé, elle le sentait du fond de son ventre, n’y tenant plus elle se déshabilla complètement, sûre de n’être vue par personne, et alors, complètement nue, agenouillée sur la paille de l’écurie, prise d’une folie soudaine elle continua goulûment sa fellation bestiale.
Le cheval se laissait faire sans bouger, habitué à la bouche de sa maîtresse et nullement inquiet ni apeuré du petit bout de femme qui s’agitait de plus en plus sous son ventre. Son érection avait bien augmenté et cela excitait prodigieusement Babette qui y voyait une récompense évidente à sa succion prolongée. L’odeur du pur-sang, de la paille, de l’urine même qui suintait du sexe de l’animal l’excitait au plus haut point. LIRE LA SUITE
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