Trio succède à duo
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I.
Comme convenu avec Carole, vers 15 h Julien entre au volant de la BMW X3M Compétition de Pascal, son patron, dans l’allée qui mène à la grande villa du couple. Cette invitation a surpris le jeune homme, car il est rare qu’il retrouve sa maîtresse le vendredi après-midi. M’enfin… ce que femme veut.
Une fois l’auto garée, Julien avance vers le large perron. Les sept cents mètres carrés habitables sont de plain-pied. Il compose le code sur le clavier à droite de la porte d’entrée, pénètre dans la maison.
Comme toujours, par ordre de sa maîtresse, il se rend directement au dressing, y dépose son sac, se déshabille entièrement, passe dans la petite salle de bain attenante, nettoie sa bite et ses fesses, ouvre la porte donnant accès au couloir qui mène aux chambres. Ce rituel ne varie pas, sa maîtresse l’attend dans la chambre d’ami.
Insouciant, Julien entre dans les lieux et reste cloué à peine le seuil franchi : Carole est en train de faire l’amour avec… Pascal.
Il n’a pas le temps de faire demi-tour pour fuir, la voix grave et tranchante de son patron l’immobilise :
— Nous t’attendions. Entre et ferme la porte.
Carole se détache de son mari, considère l’arrivant avec un grand sourire, dit :
— Nous voulions te faire la surprise. Pas de doute, c’est réussi…
Devant la mine ébahie de son amant, la femme poursuit :
— … Pascal et moi t’avons choisi lorsque tu as postulé il y a deux mois, car tu nous plaisais à tous les deux. Je suis devenu rapidement ta maîtresse afin de tester ton potentiel. Aujourd’hui, c’est le grand jour…
Carole tourne la tête vers son mari :
— … Continue, toi.
— Non. Vas-y ! Je vais aller me laver un peu, ta mouille me colle à la bite.
Julien regarde le gros sexe de son patron debout, en est impressionné, encore plus lorsqu’en passant Pascal caresse son cul, ce qui le fait frissonner. Carole reprend :
— Donc voilà ce que nous te proposons : nous aurons des relations sexuelles tous les trois. Toi et moi, toi et Pascal, lui et moi bien sûr. Pour pimenter notre trio, nous ajouterons : fessée, martinet, cravache, gode pour toi ou Pascal ou moi…
Pascal revient à ce moment-là, se place au côté gauche de Julien, lui enlace le cou, coupe en le forçant à lever la tête pour le regarder yeux dans les yeux :
— Tu peux refuser. Si ça t’emmerde, tu démissionnes avec deux ans de salaire à la clé, ou tu restes. Simple non ? Ta réponse dans dix minutes maximum.
Il fait un clin d’œil à son secrétaire, gagne le lit où il s’assoit, sa femme allongée à plat dos à ses côtés.
Julien ne bouge pas, pèse le pour et le contre. « Après tout, pourquoi pas ? Qu’est-ce que je risque ? Pas grand-chose. Même si le piment énoncé par Carole ne l’excite pas à priori, mais… Chi lo sa ? ».
— J’accepte, mais…
Pascal coupe :
— Pas de, mais. Toutefois si tu as peur des châtiments, chacun de nous aura à sa disposition un mot code. C’est simple : notre prénom. Comme ça rien à se rappeler. Tu n’as aucune raison de dire Julien et nous le nôtre. Autre question ?
Comment a-t-il deviné ce que Julien allait dire ? Peut-être l’a-t-il devancé, car il a prévu son ignorance totale relative au BDSM ? Allez savoir…
— Non, plus de question.
Pascal décide :
— Comme il faut bien commencer par quelque chose, je donne une fessée à Claire, car je sais qu’elle a pris beaucoup de plaisir avec toi, en tout cas plus que ce dont nous avions convenu à la base…
Claire proteste :
— Ce n’est pas vrai… Je ne…
Pascal, sans même se retourner, claque la cuisse de sa femme qui glapit, coupe :
— Laisse-moi finir. Ensuite, Claire te donnera une fessée afin que tu partages sa peine et pour complicité.
Pascal tourne son torse vers la droite, son long bras musclé entoure sa femme alanguie sur son flanc, la soulève apparemment sans forcer, la bascule à plat ventre sur ses cuisses musclées, la dispose à sa convenance, dit :
— Cambre-toi bien que je t’offre ta fessée promise ! LIRE LA SUITE
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