L’éveil d’une femelle
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Ma laisse est à nouveau tendue et je la suis dans un couloir vers la salle de bain des esclaves. Elle a un beau cul… qui se dandine sous mes yeux. Je suis essentiellement attirée par les mâles, mais je dois reconnaître que je ne suis pas insensible à la beauté féminine et il m’est arrivé quelques aventures avec des femmes. Ma dernière maîtresse ressemblait quelque peu à l’esclave qui me promène. En plus de sa marque, je peux voir les traces récentes d’une fouettée violente. Il faut dire que pour le moment je n’ai pas encore croisé d’esclave, mâle ou femelle, dont la peau soit parfaitement intacte.
Un instant je la plains, elle a dû souffrir ! Mais n’est-ce pas un peu pour cela que nous sommes ici, obéir, souffrir, jouir !
Là, j’ai eu le droit de procéder à quelques ablutions, me rafraîchir, remettre mes cheveux en ordre, rincer ma vulve et mes cuisses et rapidement m’essuyer. Ensuite la fille m’emmène devant la cuvette d’un w.c., c’est l’abreuvoir du matin. J’ai une soif d’enfer et sans rechigner j’y plonge la tête. J’ai plus que soif et je m’en fous à ce point que je bois avec délice l’eau de la cuvette qui, c’est tout de même mieux, est propre.
Pendant que je m’abreuve, la fille, j’apprendrais plus tard qu’elle se prénomme Élise dans la vie de tous les jours, ne peut s’empêcher d’émettre un petit ricanement en me fixant d’un air supérieur. Elle est esclave, je ne suis qu’animal et elle s’est cru avoir un droit qu’elle n’avait pas… compétition imbécile, mais soit. Je m’arrête et je rougis, l’eau dégoulinant de mon menton. Je la regarde, elle a le sourire aux lèvres et continue son petit cinéma en me regardant avec une certaine arrogance. Ce qu’elle n’a pas réalisé, c’est qu’il y a un des maîtres visiteurs derrière elle qui regarde la scène. Elle m’essuie le visage avec un peu de papier w.c. sans beaucoup de douceur et prenant mes cheveux maintenant mouillés qui me pendent sur le visage les rejette vers l’arrière de la tête. Après quoi, elle tire sur ma laisse d’un coup sec m’invitant à la suivre. Alors qu’elle tourne sur ses talons, elle se retrouve face à face avec le Maître qui l’observait l’instant d’avant. Elle se fige immédiatement et baisse la tête. Devant l’air sarcastique du maître, elle a compris qu’il en avait après elle et que son comportement ne lui avait pas plu. Sans un mot, mais avec un regard impérieux, il lui tend la main droite. Elle y dépose l’extrémité de ma laisse. « Viens chienne », il m’appelle comme il appelle son chien à la maison. Je passe devant l’esclave, je m’arrête devant lui et m’assieds comme une chienne le ferait, le cul sur les talons, le bras tendu et le buste le plus droit possible, position qui fait jaillir entre mes bras mes mamelles dont je suis si fière… Il me donne une petite tape sur la tête. « Petite chienne, reste comme tu es et attends-moi. » Je ne bouge donc pas d’un iota. Le Maître s’approche alors à quelques centimètres de l’esclave. Sa main droite lui saisit le menton qu’il relève avec fermeté. Ils restent un instant les yeux dans les yeux. « Tu trouves ça drôle ? » demande-t-il d’un ton sec. Elle essaie désespérément d’échapper à son regard. Il lui relâche le menton et sa tête se baisse immédiatement, de sorte qu’elle ne voit plus que le bout de ses orteils. « À Genoux ! Maintenant ! » aboie-t-il. Sans une hésitation, elle se laisse tomber sur les genoux, frémissante de crainte. LIRE LA SUITE
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