Pourquoi moi ?

Chapitres 7 et 8
mercredi 20 octobre 2021
par  Henic
popularité : 1%
25 votes

Au moment où nous rentrons à l’écurie, je suis une épave. J’ai perdu le compte du nombre de fois où j’ai joui lors de ce dernier galop désespéré à travers le champ et je suis avachie sur le cou du cheval, la selle et mes cuisses trempées par ma chatte dégoulinante, mon cul serré autour de la bite ramollissante de mon ravisseur. Il est resté dur après son premier orgasme et m’a montée pendant quelques-uns des miens avant de serrer durement mes seins et de gémir lorsque son membre a pulsé et giclé dans mon tendre trou du cul. Je sens son sperme couler et se mélanger avec le jus de ma chatte pour créer un beau gâchis sous moi, et je ne désire rien de plus que de descendre de cette horrible selle et de me nettoyer.
Nous allons dans une petite cour d’un côté de l’écurie et mon ravisseur sort sa queue de mon cul, me faisant haleter, et met pied à terre. Il conduit le cheval jusqu’à un poteau et l’y attache avant de détacher mes poignets et les chaînes de la bride du cheval. Il laisse mes pinces à tétons en place, puis me soulève du pommeau de cuir et me jette au sol où je tombe à genoux, incapable de supporter mon propre poids. Il me remet debout et m’entraîne dans la fraîcheur de l’écurie, contraste bienvenu avec le trottoir de la cour qui est inconfortablement réchauffé par le soleil de fin d’après-midi. L’écurie elle-même est magnifique, tout en bois brillant, avec des sols impeccables et des odeurs propres de foin et de cuir. J’entends des voix douces à l’autre bout du bâtiment, mais je ne peux pas dire s’il s’agit d’hommes ou de femmes, ni ce qui se dit. Je suis conduite dans le couloir principal de l’écurie, passant devant de nombreux chevaux magnifiques, jusque dans une sellerie avec des rangées de selles et d’autres équipements d’équitation sur les murs. Je remarque que de nombreuses selles sont modifiées comme celle que je viens de monter, certaines avec de multiples bites en cuir qui pointent. Il y a aussi des cravaches et des fouets sur les murs, ainsi qu’une sélection de mors qui paraissent trop petits pour un cheval. Au centre de la pièce se trouve un chevalet de sciage avec des lanières de cuir dessus, et à proximité, une balle de foin également liée avec du cuir, mais l’homme ignore les deux, me pousse vers un endroit vide contre un mur et m’ordonne de m’agenouiller. Je tombe sur mes genoux, les écarte lorsqu’il utilise le bout de sa botte pour pousser mes cuisses, et j’attends pendant qu’il remonte mes mains au-dessus de ma tête et les fixe à un anneau rivé dans le mur. Il déclare :
« En fait, je ne crois pas qu’il faille punir les salopes lorsqu’elles sont épuisées. Cela les empêche de se concentrer correctement sur la punition, et elles n’en apprennent pas autant. De plus, j’aime l’anticipation d’une punition, la façon dont vous vous énervez et avez peur en l’attendant. Ainsi, ta punition sera la première chose du matin. En attendant, les palefreniers finissent tous pour ce soir et ils ont besoin d’une récompense. Tu vas sucer tous les hommes qui entrent dans cette pièce, et tu vas faire du bon travail ou je rendrai ta punition encore plus désagréable, tu comprends ? »
J’acquiesce puis me rattrape rapidement en voyant l’expression sur son visage. Soucieuse de ne pas le mettre en colère, je halète :
« Oui, monsieur !
— Bonne fille, dit-il en me caressant légèrement la joue. Au fait, je m’appelle Maître Hawkes. Tu peux m’appeler ainsi ou Monsieur, mais tu ne t’adresseras pas à moi d’une autre manière, c’est clair ?
— Oui, Monsieur.
— Bien. »
Sur ces mots, il retire mes pinces à tétons et s’éloigne, me laissant pleurer tandis que le sang se remet à circuler dans mes mamelons. Je baisse la tête et halète, essayant d’ignorer la brûlure dans mes tétons jusqu’à ce que j’entende des pas s’approcher. Je lève les yeux pour voir deux jeunes hommes entrer dans la pièce. Ils ont à peu près mon âge, tous deux sont vêtus de jeans et de chemises en flanelle malgré la chaleur de la journée, et ils sourient en voyant mon corps nu. L’un d’eux dit :
« Oh ! Bien : une nouvelle stagiaire… »
Il s’approche de moi, ouvrant son jean au fur et à mesure. Il sort sa queue à moitié dressée de son pantalon, place une main derrière ma tête et appuie sa bite contre mes lèvres. Je suis choquée par la soudaineté de cela, mais je me souviens des ordres de Maître Hawkes et j’ouvre la bouche. Il enfonce sa bite tout du long, gémissant un peu, et se met à baiser ma bouche, poussant parfois plus loin dans ma gorge et me faisant étouffer. J’essaie d’utiliser ma langue sur lui, j’essaie de le sucer, mais il est trop rapide et trop brutal et j’abandonne rapidement ; je le laisse m’utiliser comme il le souhaite. Je me concentre sur la respiration entre ses poussées, mes yeux larmoient lorsque j’ai la nausée sur sa longueur, et je gémis autour de sa bite lorsqu’il commence à accélérer. Je le sens gonfler dans ma bouche et il se met à haleter un peu, marmonnant dans sa barbe quelle bonne petite pute je suis. Quelques minutes après avoir commencé, il pousse un petit cri et sort sa bite, crachant du sperme sur mes seins avant de reculer et de rentrer lentement sa queue ramollissante dans son jean.
« Pas mal, dit-il. »
Puis il se retourne et quitte la pièce. Je reste agenouillée là, haletante, alors que l’autre homme s’approche de moi, caressant sa queue complètement érigée. LIRE LA SUITE


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Commentaires

Logo de de Perry
vendredi 22 octobre 2021 à 00h09 - par  de Perry

Le postulat avance tranquillement. Même si certaines scènes peuvent sembler excessives voire difficiles à lire, par son habile traduction, tout à fait en phase avec le lecteur de langue française, Henic réussit à les rendre passionnantes. Si bien que le lecteur ne se lasse pas au contraire, attend la suite avec une grande impatience. Sylvain.