KIDNAPPING ET SOUMISSION

TOME XIV
mercredi 10 novembre 2021
par  manumaitre
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5ème et dernier jour de soumission pour Lola

Le Maître shibari entra dans la chambre de Lola. Celle-ci préparait son bagage de retour. Le Maître intima l’ordre à Lola de s’allonger sur le brancard qui se trouvait à ses côtés. Il lui attacha les poignets et les chevilles avec des bracelets type hôpital psychiatrique. Un anneau buccal vint bloquer sa bouche.
Le Maître Shibari conduisit sa « malade » vers la salle de séminaire. Tous les collaborateurs de Monsieur Yamamoto se restauraient lorsque le Maître Shibari pénétra dans la salle poussant le brancard. Un claquement des mains et tous les cadres se rassemblèrent autour du brancard pour admirer le dernier numéro de cette folle semaine…
Monsieur Yamamoto prit la parole :
« Messieurs, pour la dernière journée de notre convention, je vous ai concocté une petite surprise à laquelle vous allez tous prendre part. Voici notre esclave de la semaine, j’ai nommé Lola. Celle-ci a été fort serviable et nous aura diverti toute cette semaine. Nous allons donc conclure notre convention de fort belle manière ! »
Monsieur Yamamoto fit un signe de la tête et le Maître Shibari quitta la pièce. Il revint quelques instants plus tard tenant une valise à la main qu’il déposa sur une servante près du brancard. Lola observait ce qui se passait autour d’elle. Sa tête tournait dans tous les sens. Les séminaristes voyaient l’inquiétude dans ses yeux et s’en délectaient.
Monsieur Yamamoto ouvrit la valise et sortit un anneau d’écartement buccal qu’il déposa sur la servante. Il replongea la main dans la valise et apparut alors à la vue de Lola des blisters contenant des dizaines d’aiguilles, certaines très longues. Lorsqu’elle vit les aiguilles, son corps se tendit comme un arc. Elle hurlait et suppliait qu’on la libère. Elle en pissa de peur.
« Maître, mes seins sont siliconés, vous ne pouvez pas ! »
« Mais je le sais très chère… Ton Maître m’a autorisé à t’utiliser comme bon me semble, tu iras te plaindre auprès de lui. »
Il prit l’anneau buccal qu’il positionna entre les dents de Lola et le serra autour de sa tête.
Monsieur Yamamoto ordonna à Lola de tirer la langue, mais celle-ci lui répondit négativement d’un signe de tête. Il réitéra son ordre et haussa le ton ouvrant grand les yeux pour montrer son impatience et son désappointement devant la désobéissance de Lola. Il associa son nouvel ordre en pinçant le téton droit de Lola qui cria sous la douleur.
Elle sortit timidement sa langue. Monsieur Yamamoto prit trois aiguilles qu’il tendit à un de ses collaborateurs.
« Yuriko ? »
« Yamamoto San. »
« Mettez ces aiguilles entre vos doigts, j’aurai plus de faciliter à opérer sur notre cobaye. »
« Hai. » Fit le cadre japonais en inclinant la tête.
Le directeur prit une aiguille de sa main droite et de sa main gauche tira la langue de Lola. Elle couina et serra les mains. Elle pensait que son tortionnaire allait lui arracher la langue à force de la tirer à l’extérieur de son gosier. Monsieur Yamamoto piqua la langue de Lola en son milieu. Il prit les deux autres aiguilles et les planta à droite et à gauche de la première. Lola ne pouvait plus rentrer son organe car les aiguilles étaient bloquées sur l’anneau buccal.
Lola geignait comme une fillette. Des larmes coulaient du coin de ses yeux. Elle avalait difficilement sa salive maintenant que sa langue ne pouvait plus rentrer dans sa cavité buccale.
« Cette dernière attraction s’appelle « Play-piercing ». Nous allons réaliser un play-piercing sur notre charmante petite pute. Séparez-vous en deux groupes et mettez-vous de chaque côté du brancard Vous lui planterez chacun une aiguille comme celle-ci dans le bras gauche et l’autre groupe se chargera du bras droit. Il ne s’agit pas d’enfoncer l’aiguille au travers des muscles de cette pute, mais de les placer juste sous la peau, comme un piercing, d’où le nom « Play-piercing ».
Monsieur Yamamoto prit une petite aiguille et la plaça au-dessus du bras gauche de Lola, près de son poignet. Il leva la tête et regarda son auditoire Il baissa les yeux et fixa Lola. LIRE LA SUITE


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Commentaires

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samedi 13 novembre 2021 à 20h19 - par  Henic

J’ai relu intégralement le tome 2 (du moins dans son état actuel, on peut supposer qu’il n’est pas achevé).
Il y a quelques fautes de frappe ou d’orthographe, mais sur les 98 pages publiées, ce n’est pas tragique.
Je dois vieillir, et m’attendrir avec l’âge... Je trouve que ce tome 2 est complètement inhumain, même s’il se situe dans le monde de la « prostitution professionnelle », qui n’est pas réputé pour la prise en compte des souhaits de son personnel...
Il y a une grande variété de situations mises en scène : l’imagination de Manumaître est indéniable. Mais la dureté des situations rappelle la fin des histoires de Fatum : au début, c’est attirant, jouissif même, mais la fin est toujours épouvantablement sèche, triste, désespérante. Là, l’épisode de la rencontre du mari et de la femme est plutôt désespérant et donne envie de zigouiller l’ex-mari, qui a complètement oublié son engagement devant le maire : « Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance. ».
C’est pourquoi, quoique reconnaissant une réelle créativité à l’auteur, je n’aime pas cette histoire. Je reconnais là une faiblesse personnelle : la difficulté à prendre du recul avec les personnages et leur histoire. C’est comme ça : c’est mon opinion et je la partage !