Cheerleaders violées et torurées
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Je ne pouvais pas croire à quel point je me sentais reposé le matin. Je me suis réveillé ma joue pressée contre le sein de Monique. J’étais un peu surpris de la trouver endormie, respirant doucement, apparemment satisfaite.
Je me levai du lit et me dirigeai vers la salle de bain. Je pouvais déjà sentir la douleur dans mes reins. Je savais que j’avais besoin de la baiser à nouveau.
Quand je suis sorti de la douche et que je suis retourné dans la chambre, j’ai pu voir les yeux de Monique s’ouvrir. Il était 10 heures du matin, je ne pouvais pas croire que j’avais dormi si longtemps, mais la nuit avait été courte. Je me saisis de mon téléphone, j’appelai le garage et demandai Jim. Cela prit quelques minutes, mais bientôt mon copain de toujours était au téléphone.
« Hé, Jim, quoi de neuf ? ». J’ai regardé Monique me regarder. J’étais sûr qu’elle n’avait aucune idée de ce que je faisais.
« … »
« Ouais, je suis resté tard au garage et j’ai fait de la paperasse. Tu ne croiras pas ce qui s’est passé ! Je ne peux pas t’en parler maintenant, mais je veux que tu viennes ce soir, je suis sûr que tu imagines pourquoi. » J’ai fait un clin d’œil à Monique.
« … »
« Non, je ne peux pas t’expliquer maintenant, mais tu aimeras. » Je me suis assis sur le bord du lit et j’ai pris la poitrine de mon nouvel animal en coupe.
« … »
« Tu ne peux pas venir ce soir, eh bien, viens demain. Tu dois, crois-moi !
« … »
« Au fait, il y a une voiture à l’arrière, près des arbres. Ne laisse personne l’approcher, garde le silence. Nous devrons nous débarrasser de la chose… une nuit si tu vois ce que je veux dire. » J’ai pincé le téton de Monique jusqu’à ce qu’elle pousse un cri.
“…”
« Ne prévoie rien pour le week-end, tu devras rester ici. » J’ai rampé dans le lit à côté de Monique, j’ai poussé mon corps contre elle, enroulant mon bras autour d’elle pendant que je parlais à Jim au téléphone.
« … »
« Ouais mon pote, tu vas adorer. Occupe-toi du garage pour moi. Je ne serai pas là avant quelques jours. À plus tard ».
« S’il vous plaît, j’ai mal, s’il vous plaît, arrêtez. » Elle a essayé de me repousser avec ses mains liées, mais elle n’en avait pas la force.
« Monique ! » Je lui lançai un regard renfrogné, puis j’enfonçai mon doigt plus profondément dans sa chatte.
« Tu veux que je te fasse jouir encore une fois, salope ? » J’ai utilisé mon pouce pour masser son clitoris. Elle gémit doucement alors que j’introduisais mon doigt dans sa chatte.
« C’était mon pote Jim au téléphone, il va venir une de ces nuits. Ne t’inquiète pas, je ne le laisserai pas te baiser, tu es à moi seul. »
Ma bite me faisait mal. Je savais que je ne pourrais pas tenir plus longtemps, alors je me suis mis à genoux et j’ai délié la corde de ses chevilles.
« Écarte ces jambes comme une bonne fille, Monique. » Elle a commencé à pleurnicher en écartant les jambes.
« J’ai mal, s’il vous plaît… » J’attrapai ses mains liées et les soulevai au-dessus de sa tête.
« Ne t’inquiète pas bébé, tu t’y habitueras. »
Je me suis mis entre ses jambes et j’ai passé mes mains à l’intérieur de ses cuisses. Elle a crié alors que je me pressais sur son bassin, j’ai utilisé ma main pour guider ma queue dans sa chatte bien serrée. LIRE LA SUITE
Merci de m’avoir lu. J’apprécie toujours les commentaires, c’est toujours encourageant et j’aime particulièrement ceux des femmes qui aiment mon travail. Merci….semiater
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