Pourquoi moi ?

Chapitre 9 (et fin)
jeudi 4 novembre 2021
par  Henic
popularité : 1%
30 votes

Après le départ de M. Bauer, l’un des hommes de l’écurie vient me chercher et je m’agenouille sur le sol, pour qu’il puisse rattacher mes poignets avant de me ramener à l’écurie. Je le suis à travers les couloirs dans un profond brouillard de honte et d’apitoiement sur moi-même, mon cerveau revenant sans cesse sur la rencontre que je viens de vivre. Tout ce qu’ils m’avaient fait jusque-là avait semblé presque irréel, ressemblant à un fantasme, comme si je pouvais éventuellement me réveiller et découvrir que tout cela avait été un mauvais rêve ou une erreur. Voir M. Bauer m’a ramenée à la réalité et j’ai du mal à comprendre ce que ma vie est devenue. Ce n’est pas un fantasme, ce n’est pas temporaire, et ces hommes vont vraiment me transformer en esclave sexuelle, que je le veuille ou non. Je n’ai aucun moyen de m’échapper et personne pour m’aider ; pour la première fois je réalise vraiment à quel point je suis perdue. Ma vie telle que je l’avais connue est terminée.
Après m’avoir frotté dans la pièce carrelée maintenant familière, mon guide me ramène à la sellerie et m’attache à la balle de foin au centre de la pièce. Je suis vautrée dans ma dépression, indifférente et lointaine, mais le picotement désagréable du foin piquant sur mes seins continue de percer mon misérable brouillard et de me ramener à l’instant présent. Je remue, essayant de trouver une position qui me soulage mais je suis trop attachée. L’homme me ligote de telle sorte que mes jambes sont largement écartées et que ma tête et mon cou pendent, sans soutien, sur un côté de la balle tandis que mes genoux reposent sur le sol. Je sens l’air frais tourbillonner sur ma chatte et mon trou du cul exposés et cela aussi est distrayant. Je fixe le sol avec découragement, souhaitant qu’ils ne fassent que tout ce qu’ils vont me faire ensuite, mais personne ne vient dans la pièce. J’attends ce qui semble durer des heures, mes seins et mes mamelons se frottent contre le foin, mes genoux commencent à devenir douloureux à force d’être posés sur le ciment dur, mais il n’apparaît toujours personne. Avant aujourd’hui, cela m’aurait rendu folle mais maintenant, je suis agenouillée là, inconsciente de mon environnement. Quand j’entends enfin des bruits de pas entrer dans la pièce derrière moi, je ne réagis même pas, je reste à regarder le sol en ciment lisse, engourdie et misérable.
Une main caresse mon cul avant de caresser légèrement ma colonne vertébrale jusqu’à mon cou. Mes cheveux sont lâches, pendent de chaque côté de mon visage, et il les rassemble en un nœud à l’arrière de ma tête et les y fixe avec une sorte de pince. Je continue à regarder le sol et il soupire, utilisant un doigt pour soulever mon menton et le tourner pour que je regarde le visage de Maître Hawkes. Je le dévisage, l’air stupide, et il hoche la tête comme si je venais de faire quelque chose d’attendu.
« Ouais. Je me demandais si ça te briserait. Toutes les salopes craquent à un moment ou un autre, tu sais ça ? Certaines craquent quand on les prend pour la première fois, d’autres quand on les surprend “en train de s’échapper”, et d’autres quand elles doivent assurer le service de quelqu’un qu’elles connaissaient dans leur vie antérieure. Quelques-unes craquent plus tard, mais pas beaucoup. Ça rend mon travail plus facile quand ça arrive tôt, mais peut-être pas aussi amusant. J’aime les petites chattes combatives. »
Il lâche mon menton et je baisse le regard vers le sol, n’entendant ou ne comprenant que partiellement ce qu’il dit. Qu’importe, de toute façon ? Je sais ce qui va arriver. Lui ou quelqu’un d’autre va me baiser. Ou ils vont me fouetter. S’ils pensent que je veux jouir, ils me le refuseront, et s’ils pensent que je lutte, ils me le forceront. De toute façon, je ressentirai de la honte et du dégoût envers moi-même, et je ne pourrai rien y faire. Je l’entends bouger derrière moi, mais je l’ignore, ne me souciant pas de ce qui va se passer.
« Alors, comme je le disais, à présent, tu es brisée. C’est un peu comme nous faisons pour dresser des chevaux. On les attrape et on les monte jusqu’à ce qu’ils abandonnent et arrêtent de lutter. Ensuite, on n’a plus qu’à les former jusqu’à ce qu’ils soient juste comme on veut. C’est toujours un peu difficile de les amener à lutter à nouveau, de les rendre amusants et épicés, mais je connais quelques astuces. Je veux que tu sois brisée, mais je ne veux pas que tu sois ennuyeuse. Voyons si nous ne pouvons pas te faire réagir, hmm ? »
Pendant qu’il parle, il me caresse le cul et les cuisses avec des mouvements fermes et apaisants, comme j’imagine qu’il le ferait à un cheval. Je m’attends à ce qu’il attrape ma chatte, pour essayer de me faire mouiller, mais il n’arrête pas de me frotter, en me pinçant le cul de temps en temps. Je sens une de ses mains se soulever et puis une pression ferme contre mon trou du cul. Je le détends, ne me souciant pas de ce qu’il lui fait, et l’objet s’enfonce de quelques centimètres avant que je sente mon trou du cul se refermer sur une encoche plus étroite. Je prends une profonde inspiration et je reste soudain immobile, le nez frémissant. Je sens une odeur de gingembre. Il n’a sûrement pas mis de gingembre dans mon cul ! Non, il n’aurait pas pu, ne l’aurait pas fait ! Je me crispe inconsciemment sur l’objet, puis je halète lorsque je suis envahie d’une sensation d’ardente brûlure. Mon cul a l’impression d’être en feu, et même la détente des muscles ne procure qu’un léger soulagement. J’essaie désespérément d’ignorer la sensation, de me retirer dans mon engourdissement béni, mais il n’y a aucun moyen d’échapper à cette douleur ardente qui brûle dans mon cul. Je me mets à me débattre contre mes liens, en ruant et gémissant, contractant alternativement mon anus pour tenter d’expulser l’horrible bouchon de gingembre, puis le détendant alors que la douleur devient écrasante. Je halète alors que Maître Hawkes enfonce le gingembre plus loin, et me contorsionne contre la balle de foin, piquant mes tétons sur le matériau agressif. Il lâche prise et contourne la balle de foin, pour s’accroupir devant moi.
« Bonne fille, combats-le. Montre-moi quelle petite chatte combative tu es. »
Je pleure et me cogne la tête, les larmes coulent sur mon visage tandis que je lutte pour ignorer la douleur.
« Voilà. Maintenant, nous allons commencer ta leçon. Quand je serai satisfait, je retirerai le gingembre et tu pourras me supplier de te baiser le cul. Si tu ne fais pas bien comme il faut, le gingembre reste en place et j’utiliserai de la sauce piquante sur tes tétons et ton clitoris. Tu piges ? »
Je gémis et hoche la tête, désespérée de faire n’importe quoi qui mette fin à ce tourment.
« Pas assez bien, con. Nous avons déjà parlé de la façon dont tu dois me répondre, n’est-ce pas ? »
Je grimace, espérant que mon erreur ne suffise pas pour qu’il décide que j’ai mal fait, et je halète aussi vite que possible :
« Oui, Monsieur !
— Bien. “Nous allons commencer par une leçon sur les parties du corps. Tu es une vilaine petite connasse, donc tu dois apprendre à parler comme telle. »
Sur ces mots, il passe les deux mains sous moi et saisit mes seins, les prenant en coupe et les protégeant du foin piquant. Je gémis tant c’est bon, et il les pince, faisant rouler mes tétons le long de ses paumes, et dit :
« Ce sont tes nichons. Dis-moi ce que je leur fais.
— Vous… vous tenez mes seins. »
Je réponds dans un gémissement, et il attrape immédiatement mes tétons et les pince fort, me faisant grincer en signe de protestation.
« Ne fais pas l’idiote, connasse. Nous savons tous les deux que tu es très intelligente, alors essayons à nouveau.
— Mes… mes nichons. Vous tenez mes nichons. Haleté-je.
— C’est mieux. »
Il relâche sa prise sur mes tétons et se remet les serrer légèrement.
« Sois plus précise. Et ne me fais pas t’extraire les vers du nez, ou on va s’arrêter là et je vais chercher ma sauce piquante. »
Je gémis à nouveau, mais j’essaie de me concentrer sur ce qu’il veut. LIRE LA SUITE



ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)

ALLOPASS OU PAYPAL
OFFRE DECOUVERTE (1 jours)
ABONNEMENT 7 JOURS
ABONNEMENT 15 JOURS
ABONNEMENT 1 MOIS





ABONNEMENT 3 MOIS





ABONNEMENT 6 MOIS





SE DESABONNER


Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)


Commentaires

Logo de de Perry
dimanche 7 novembre 2021 à 14h36 - par  de Perry

Final (mais en est-ce un ?) excellent. L’auteur tenait un très bon sujet que le traducteur a su plus que parfaitement mettre en valeur par le choix du vocabulaire. BRAVO aux deux, car le premier a été réhaussé par le second. Sylvain.