Cheerleaders violées et torurées

Chapitres 4 et 5
dimanche 14 novembre 2021
par  arikha
popularité : 1%
15 votes

Quand je me suis réveillé, un moment j’oubliai ce qui s’était passé en début de journée, mais ensuite, la glorieuse réalité m’est revenue et je me suis souvenu que Monique était de l’autre côté du couloir, et mes quatre autres beautés au sous-sol. La vie était belle !
En regardant à l’extérieur, le soleil se couchait à l’ouest. Je devais encore préparer le dîner pour moi et les filles, et à plus grande échelle, je devais commencer les préparatifs pour mon donjon. Je devais aussi acheter des tenues pour mes filles, des trucs en dentelle, du cuir, tout ce sur quoi j’avais toujours fantasmé. J’avais beaucoup de travail !
Je commençai à aller vers la porte de Monique, mais j’y renonçai. J’avais besoin de la faire souffrir plus longtemps avant de lui fourrer ce gros gode dans la chatte…
Quand j’arrivai à la cuisine, les chiens devenaient fous. J’avais fait installer une porte pour chien l’année dernière pour qu’ils puissent aller et venir à leur guise. J’avais environ 10 acres de terrain clôturé à l’arrière avant que les bois ne commencent et les chiens avaient passé la majeure partie de la journée dehors.
Spike a bondi sur moi, sa queue remuant comme un fou.
« Hé mon pote. »
Je savais qu’il pouvait sentir les filles dans la maison. J’ai pensé que j’utiliserais les chiens plus tard pour faire peur aux filles, même si je savais que les deux chiens ne leur feraient aucun mal, mais les filles n’avaient pas besoin de le savoir.
Je me suis mis à préparer de la nourriture pour les chiens et les filles, mes deux groupes d’animaux de compagnie. J’avais besoin de garder les filles demandeuses et dépendantes de moi. Je ne savais toujours pas exactement ce que j’allais faire à long terme avec elles, mais c’était très amusant de l’imaginer.
Je savais que Jim, mon copain, devenait probablement fou d’impatience. J’avais probablement été un peu cruel de ne pas lui en dire plus, mais que pouvais-je faire d’autre ?
Après avoir fini de nourrir les chiens, j’apportai la nourriture des filles dans le sous-sol. Elles étaient blotties les unes contre les autres sur le sac de couchage.
« Bonsoir, mes animaux. »
J’avais préparé un plateau de blancs de poulet et de légumes cuits avec de la limonade.
« Le dîner est servi. »
Je posai le plateau juste devant la porte du chenil et m’appuyai contre le cheval de métal.
« Tara, ne sois pas timide, viens. »
Tara s’avança et ramassa la nourriture, la rapportant à ses amies. J’aimais qu’elle reprenne un peu d’assurance, pour mieux la casser par la suite.
Je m’assis et je les ai regardées manger, sans dire un mot, profitant simplement de la vision de mes amours. Je savais qu’elles pouvaient sentir le poids de mon regard sur elles, j’étais sûr qu’elles se demandaient quelle horreur j’allais leur infliger ensuite. Je ne voulais pas abandonner mon emprise, pas encore du moins.
« Je voulais te demander Emily, comment as-tu aimé le goût du sperme quand toi et Monique vous êtes embrassés ? »
J’ai vu ses lèvres frémir alors que je souriais.
« Eh bien, j’ai des choses à régler, mais je vous verrai demain matin. Nous aurons un visiteur demain, l’un de mes plus vieux amis. Je suis sûr que vous ferez tout votre possible pour prendre grand soin de lui. Dormez bien. »
Je ris en moi-même en les enfermant dans le sous-sol pour la nuit. Je me demandais à quoi elles pensaient maintenant.
Je préparai de la nourriture pour Monique et la lui apportai. Elle était sur le lit, cachée sous les couvertures.
« Hé, ma salope, le dîner est servi. »
Ses yeux me suivirent à travers la pièce. J’ai vu le godemiché à côté de la caméra, à peu près aussi loin d’elle que possible. Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire.
Je tapotai sa jambe sous la couverture.
« Je dois m’absenter pour le moment, mais ne t’inquiète pas, je reviendrai. Nous regarderons cette cassette ce soir. »
C’était difficile de quitter mon troupeau, mais j’avais décidé que je devais laisser les filles seules pendant un moment et faire quelques courses. Je manquais de nourriture avec toutes ces invitées supplémentaires. Je me suis assuré d’acheter des légumes pour lesquels j’avais en tête un travail à double usage. J’eus quelques très beaux, très gros concombres.
Je pensai passer au magasin pour parler avec Jim, mais ma bite me faisait encore mal et j’avais hâte de regarder la vidéo avec Monique. Je savais que c’était un spectacle intéressant.

Après avoir tout rangé, je m’assis et je regardai la télévision pendant un moment. Je savais que plus j’attendrais, plus Monique mijoterait.
Monique écarquilla les yeux lorsque j’entrai dans la pièce. Elle était là, le collier autour du cou, assise nue sur le lit. Dieu qu’elle était magnifique ! Instinctivement elle rentra ses bras, essayant de se couvrir, subtilement elle rapprocha ses jambes.
Je m’assis au bord du lit.
« Comment s’est passé ta journée ? »
Je tendis la main et pris son menton en coupe. Ses yeux étaient déjà humides et Je pouvais dire qu’elle était sur le point de fondre en larmes. J’attrapai la chaîne attachée à son collier et la tirai vers moi, Je pressai ma bouche sur la sienne et laissai ma langue l’explorer. Elle était si douce que ma bite tremblait d’anticipation.

Je lâchai la chaîne de Monique et capturai son mamelon entre mes doigts.
« Alors, es-tu prête à regarder la cassette ? »
Elle m’a juste regardé sans rien dire.
« As-tu bien utilisé ce gros gode pour remplir ta chatte ? »
Je souris, puis je me suis levé et allai à la caméra. Je rembobinai la bande et j’accrochai les sorties pour que le film apparaisse à la télévision.
L’image est apparue à l’écran, c’était un gros plan du ventre de Monique. Même à l’écran, je pouvais voir qu’elle était terrifiée. Elle s’est reculée vers le lit, et quand son visage s’est montré à l’écran, je pus voir qu’elle pleurait. Elle s’assit sur le matelas et essaya de se couvrir tout en fixant la caméra.
Je me déshabillai et m’assis sur le lit à côté de Monique. J’étais déjà dur, et le pré-sperme coulait de la tête de ma bite. J’attirai Monique vers moi. Je me suis allongé sur le côté et je l’ai déplacée pour qu’elle soit devant moi, son corps collé au mien. Ma bite s’est enfoncée entre ses cuisses chaudes et je serrai mes mains autour de ses seins. LIRE LA SUITE


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Commentaires

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lundi 15 novembre 2021 à 14h57 - par  Henic

Deux hommes et cinq filles, ça peut donner lieu à d’intéressantes combinaisons !
On peut admirer la puissance sexuelle de Pat qui récupère à toute vitesse et dont la production de sperme semble inépuisable... Ces Américains ont peu ou prou chacun des velléités de se prendre pour Superman ! La vraisemblance y perd ce que le rythme du récit y gagne.