L’homme de ma vie
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J’ai rencontré Gérard très jeune. Il était marié et je suis partie 3 ans à l’étranger. A mon retour, je me suis mariée avec Pierre. Quinze ans après, j’ai revu Gérard et tout a recommencé.
Je suis née peu après la fin de la dernière guerre. J’ai grandi dans un petit village au sein d’une famille modeste, mais chaleureuse. Alors que j’entrais dans l’adolescence, d’importants travaux d’aménagement du territoire eurent lieu dans la région. Sur le chantier, mon père se fit un copain : Gérard, un jeune chauffeur de camion. Alors que j’avais entre treize et quatorze ans, ce gars me fit monter dans son impressionnant engin. Il n’attendit pas longtemps avant de toucher mes petits seins en me faisant remarquer qu’ils poussaient comme des champignons. C’était la première fois que quelqu’un me caressait. Cette main d’homme sur mon corps innocent me marqua pour la vie.
Gérard venait parfois à la maison pour boire un verre avec mon père. Ces soirs-là, avant d’aller au lit, je faisais la bise à mon père puis toute rougissante, à son ami. Une fois couchée, je caressais mes seins en pensant à l’homme qui avait osé me les toucher. Ma technique était rudimentaire : nue dans mon lit, un coussin coincé entre les jambes, je croisais les bras pour tirailler mes petites fraises sauvages qui durcissaient en un clin d’œil.
Vers l’âge de dix-sept ans, je m’étais inscrite à une série de concerts de musique classique dans une ville située à une dizaine de kilomètres de mon village. Puisqu’il n’y avait plus de bus pour le retour, mon père demanda à son ami Gérard d’aller me chercher. Au sortir du concert, il m’attendait. Je portais une petite jupe légère et un chemisier sexy. À peine installée dans son auto, ses mains se glissèrent entre mes cuisses et je sentis immédiatement ma chatte devenir humide. À mi-chemin, mon chauffeur entra dans la forêt et me demanda de m’installer sur la banquette arrière. Je relevai ma jupe et me couchai sur le dos en relevant les fesses pour qu’il puisse enlever ma petite culotte.
Doucement, il m’écarta les jambes et se mit à lécher mon clitoris. J’étais gênée, car je ne savais même pas que ce genre de pratique existait. Je savais juste comment on faisait les bébés, car au début des années soixante, on ne parlait pas de sexe dans les campagnes. Heureusement, Gérard dut s’en rendre compte et passa à ce que j’attendais.
Doucement, il plaça son gland à l’entrée de mon minou puis entra sans forcer. Je n’avais pas mal, car j’étais en confiance : Gérard était marié et avait plus de dix ans plus que moi. Peu à peu son rythme accéléra et je pouvais le sentir entrer toujours plus profondément dans mon intimité. Naturellement, j’avais posé mes talons sur les appuie-têtes avant et arrière en me déplaçant pour que ma tirelire (nom utilisé par ma mère pour désigner le sexe des femmes) soit le plus accessible possible à l’extrémité de la banquette arrière. Après un temps que je ne saurais estimer, il se retira et éjacula dehors. J’étais heureuse, car j’avais été dépucelée par l’homme que j’aimais dans mes rêves d’adolescente.
Après le concert suivant, soit quinze jours plus tard, il me conduisit dans la caravane d’un copain, prêtée pour l’occasion. Gérard me demanda de me déshabiller. Comme j’étais trop timide, je me suis allongée telle quelle. Il m’embrassa passionnément tout en déboutonnant mon chemisier. Il dégrafa mon soutien-gorge et suça le bout de mes petits seins. Bien qu’il m’ait pénétrée après le premier concert, les sensations que je ressentais à ce moment étaient bien plus intenses encore. Était-ce à cause des phantasmes que cet homme éveillait quand il rendait visite à mon père ? Il a bien sûr fini par me déshabiller complètement et à me faire vraiment l’amour.
Il y eut d’autres concerts puis d’autres occasions de nous retrouver, mais le chantier aux alentours du village était terminé depuis longtemps et Gérard travaillait ailleurs. De plus, comme sa femme le surveillait de près, nos rencontres s’espacèrent avant de s’arrêter, mais sans pouvoir croire que c’était pour toujours. LIRE LA SUITE
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