Quand Thomas se réveilla ce matin-là, il savait que sa vie de majeur commençait.
Ce soir il fêtera ses 18 ans. Il se leva, et prit une douche.
Il avait pour lui seul, toute la maison, et ce, jusqu’à ce soir.
Ce qu’il aimait avant tout, dans pareille situation c’est qu’il pouvait se balader complètement à poil. Et surtout se mater des pornos, son genre à lui c’était le BDSM bien hard. Il faut dire que Thomas était un hyper actif concernant le sexe. Il pouvait jouir jusqu’à 4 ou 5 fois par jour avec ou sans compagnie, quitte à se masturber devant des vidéos qu’il matait sur sa tablette.
C’est ce qu’il comptait faire dès à présent.
Donc il s’installa dans la cuisine avec un bon café et sa tablette à la main.
Devant la scène du film qu’il matait, une soumise qui se faisait martyriser l’entrecuisse à coup de cravache, déclencha chez lui une érection. Il commença à se masturber quand il entendit derrière lui.
— Bonjour M Thomas je suis à votre entière disposition.
Thomas se figea, il venait de reconnaître la voix de Maria, la bonne qui entretenait la maison de son père.
Maria était une femme mature d’une cinquantaine d’années, une paire de seins énormes qu’il l’avait toujours fait fantasmer, et un cul pour lequel il avait souvent imaginé en train de la sodomiser avec violence.
Il réalisa que sa situation était très gênante.
Il se retourna doucement et se retrouva en face de Maria.
La boniche se tenait là, vêtue d’un seul petit tablier et d’une coiffe de boniche. Malgré son âge ses seins étaient encore fermes et seul le poids des anneaux qui lui transperçait chaque téton les faisait piquer un peu vers le bas.
Maria avait pris une position de soumission, jambes écartées et les mains derrière la nuque. Une petite pancarte autour du coup sur laquelle son père lui avait écrit un petit mot.

« Joyeux anniversaire mon fils !
Sachant que tu as une libido très forte, Maria de son propre chef voulait s’offrir à toi pour une journée entière de soumission totale. Profite bien de cette truie, car sa douleur c’est ton plaisir.
À ce soir pour une petite fête et garde des forces.
Biz papa. »

Thomas sourit légèrement, et se lécha les babines comme un lion devant sa proie
Thomas fit le tour de cette chienne, et au passage ne put s’empêcher de lui administrer une tape bien soutenue sur chaque fesse.
Puis il se plaça devant elle, et attrapa les tétons et lui pinça violemment. Maria poussa un cri de douleur les yeux pleins de larmes.
Pour accentuer son plaisir, car il bandait de tout son être, il attrapa un des seins par l’anneau et le gifla violemment, et ceci a plusieurs reprises, alternant sein droit et sein gauche.
Puis il fit le tour et lui assena plusieurs tapes sur les fesses. Il adorait voir des fesses écarlates. Il avisa un chariot à l’entrée de la cuisine amené sans doute par la soumise, sur lequel plusieurs objets sexuels s’entassaient pèle et mêle. Des sex-toys de toute les tailles, des vibromasseurs, des plugs de bonne taille, des menottes, des martinets, des pinces, un matériel pour lavement et même des aiguilles médicales, des coffrets de stimulation et de torture électrique. Il se planta devant tout ce matos et se figea comme un gamin qui venait de découvrir un trésor.
Il se saisit d’un petit martinet équipé de belles lanières.
— Écarte tes jambes lui dit-il d’un ton sec et tient ta chatte bien ouverte.
Le ton était autoritaire et tranchant. Maria s’exécuta rapidement et les premiers coups commencèrent à pleuvoir sur ses fesses.
Thomas visa l’entre-jambes, et Maria cria de douleur quand une des lanières du fouet cingla son clito et elle fléchit sur ces jambes sous l’effet de la douleur.
Thomas sourit cela l’excitait.
Il accélère le débit de ses coups, et plus Maria sanglote de douleur et plus son excitation s’amplifie. Mais malgré tout celle-ci garde la posture mains sur la tête.
Puis Thomas changea de tactique et se plaça de façon à lui flageller ces gros nichons.
Après plusieurs coups dont certains firent mouche sur les tétons percés, Maria tomba à genoux sous la douleur.
Thomas se plaça devant elle, son sexe en érection au niveau de son visage.
— Et bien dis donc je te croyais plus résistante que ça ! Ce n’est que le début, je vais te faire hurler de douleur et de plaisir. LIRE LA SUITE