Alain se connecte vers minuit, Élodie reste hors champ elle veut voir comment son mari va être traité par cet homme qu’elle ne connaît pas pour l’instant.
Claude a mis le plug anal, le cockring et les pinces sur ses tétons, il bande, sa femme l’a longuement sucé avant la connexion, son sexe décalotté ne tient pas dans le minuscule string fourni par Alain, à part le sous-vêtement il est nu.
Pour elle, tailleur strict avec dessous sexy, escarpins vernis a talons immenses plug anal, godemiché vibrant en marche inséré dans la chatte, et détail qui devrait intriguer Alain, elle porte la poire d’angoisse, pour répondre aux envies des 2 hommes, son sexe et son anus ont été libérés de leurs poils.
Alain se connecte
— Bonsoir Claude, je vois que tu es prêt à devenir ce que je t’ai proposé la nuit dernière, j’en suis ravi. Et en plus tu portes ce que je t’ai offert, tu me fais plaisir.
— Bonsoir Alain, heureusement que vous aviez fourni le mode d’emploi, j’aurais eu du mal à vous obéir.
— Montre-moi ton cul, oui superbe, il est dommage que je ne sois pas là physiquement pour t’administrer une bonne fessée, elle aurait été progressive, la main d’abord, puis le martinet, à nouveau la main, le martinet, le paddle, et la cravache pour finir. Entre chaque changement d’objet, tu m’aurais sucé, puis je t’aurais enculé comme la lopette que tu vas devenir.
— Je suis sûr que j’aurais aimé cela, je vois avec plaisir que vous êtes nu aussi, portez-vous un plug anal ?
— Non je ne suis pas une lopette comme toi, tire donc bien fort sur la chaîne, je veux t’entendre gémir de douleur, comme hier, écrase-toi les couilles, souffre pour moi.
Claude s’exécute, Élodie le regarde, elle voit son mari soumis à un homme, elle déverse des flots de cyprine dans son string, elle a une monstrueuse envie de baiser, le fait d’être soumise par son homme devant un autre homme est très excitant, pourtant il n’est pas facile de respirer avec la poire d’angoisse, le godemiché vibrant ajoute à son plaisir.
— Enlève le plus petit, prend le plus gros godemiché et sodomise-toi avec, cela va te servir d’entraînement quand je viendrais vous baiser toi et ta salope, elle est où d’ailleurs, elle dort ?
Claude ne répond pas il prend le lubrifiant et recouvre le bout de l’ersatz sexuel, très gros, bien plus gros à vue de nez que le sexe de son bourreau virtuel, il se place face à la caméra et essaie d’introduite le sexe en plastique dans son anus, pas évident a réussir quand on souple comme un verre de lampe.
— Bon j’attends, s’impatiente Alain, tu n’es vraiment pas doué il va falloir que je te punisse encore plus pour tes pitoyables tentatives.
Claude fait de son mieux, mais rester en face de la caméra et garder son équilibre à quatre pattes quand il en manque une, pas simple . Une main secourable attrape le gode, il peut se remettre à quatre pattes, c’est sa femme qui va le sodomiser, il faut dire qu’elle y prend un plaisir assez sadique aussi.
Elle progresse doucement, le gland de plastique vient de forcer l’anus, Claude souffre de cette introduction, elle prend une pause, retirant l’objet et le remettant en place, la pénétration est lente, mais implacable
À mi-chemin, elle fait une pause et regarde l’écran.
— Bonjour salope, alors tu apprécies ce que tu fais subir à ma lopette futur cocu, tu sais que toi aussi je vais te prendre par tous les trous, et te soumettre à ma volonté, tu seras ma maîtresse soumise et je viendrais vous dresser tous les le plus souvent possible.
— Oui, mon futur maître, mon mari, m’a dit ce qui m’attendait et je n’attends que la fin du confinement pour vous recevoir et devenir ce que je dois être pour vous.
— Bien, finis d’enculer ton mari, je bande comme jamais, j’imagine déjà nos futurs week-ends, j’aime ta tenue de professeur d’école sévère, j’imagine que dessous tu portes des choses qui me feront plaisir.
Elle reprend la sodomie, jusqu’au fond de son cul, elle effectue quelques mouvements de va-et-vient pour lui roder la rondelle, il n’a pas fini d’en prendre plein le cul, c’est elle qui a la main, elle enfonce le pieu au maximum, dommage que ce soit le plus gros qu’elle ait.
Une idée lui vient, elle retire le gode LIRE LA SUITE

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