Premier emploi... Nouveaux émois
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Anne rectifie ma position afin que mon fessier soit à la place qu’elle désire.
La première claque choit sur mon derrière. Je comprends que ma Maîtresse a un talent naturel pour la fessée. Les autres suivent sur un rythme régulier, toujours sur ma fesse droite.
Je sens un courant d’air frais, perçois un bruit de pas alors que sans cesser le châtiment en cours, Anne dit d’une voix même pas essoufflée :
— Attends Claudine. Je suis occupée.
— Bien, Madame.
Ma position m’empêche de voir l’arrivante, mais ma honte d’être fessée nue croît et je proteste :
— Assez ! Pas devant quelqu’un… Aaaaaaaye !... Faites-la sortir… Maîtresse !
Je me mets à donner des coups de pied désordonnés, me débats autant que je peux de la ceinture du bras d’Anne. En vain.
La dénommée Claudine ne dit rien, mais doit jouir du spectacle de mon cul fessé et de mes cris qui montent alors que seul mon globe droit est frappé :
Asssssssez !... Changez… de… fesse… Maîtresse !... Pitiiiiiiié !...
Les larmes coulent jusqu’au sol ainsi que la bave.
Puis ça s’arrête. Anne s’enquiert :
— Avant que je passe à la fesse gauche, pourquoi es-tu venue ?
— Deux dossiers à signer, Madame.
— Ne peuvent-ils pas attendre ?
Elles papotent sans s’occuper de mes sanglots, comme si j’étais un meuble. Je remue sur les cuisses de ma Maîtresse qui, avant même que Claudine ne réponde, dit :
— Regarde comme elle s’impatiente pour la suite. Doivent-ils partir par le courrier du soir ?
— Oui, Madame.
— Dans ce cas, reste !
Anne reprend la fessée, vise ma fesse gauche où quarante claques choient douloureusement sur elle.
Mes cris ne perturbent ni l’une ni l’autre.
À croire que la fine main de ma fesseuse est plus solide que je ne le croyais. Mes hurlements et pleurs ininterrompus ne troublent aucune des deux femmes.
Enfin ça cesse, Anne me relâche, m’ordonne une fois que je suis sur pieds en train de frotter mes fesses douloureuses :
— Va te mettre là (elle désigne un coin gauche des lieux), et cesse de faire du bruit où je double la suite de ta punition.
Je ravale mes sanglots, me dirige vers le coin désigné, jette un coup d’œil vers la spectatrice, reconnaît la femme qui m’avait envoyée ici à mon arrivée ce matin. Je comprends qu’elle a dû voir d’autres femmes se faire corriger.
Leur colloque dure une dizaine de minutes pendant laquelle je sèche mes larmes d’une main, sans me retourner, de l’autre j’essaye de caresser mon derrière chaud et douloureux dans l’espoir d’en calmer la douleur. Sans très grand succès.
Le bruit de la porte qui se ferme, allié à celui des pas de ma Maîtresse (je ne peux plus que l’appeler ainsi) qui vient jusqu’à mes côtés me ramènent à la réalité. Sa voix douce m’invite :
— Ta fessée n’est pas terminée. Viens par ici. LIRE LA SUITE
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