Cheerleaders violées et torturées par Semiater
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J’ai entendu Emily gémir alors que je déplaçais mon poids et que ma bite glissait de sa chatte. J’aimais la sensation de dormir sur ma salope avec ma bite enfouie dans sa douce petite chatte, de cette façon je pouvais commencer à la baiser quand je le voulais. J’ai regardé avec convoitise les yeux d’Emily alors qu’ils s’ouvraient lentement.
« Il est temps de se lever connasse. »
Je me suis soulevé de la fille et j’ai cheminé sur son torse, la chevauchant jusqu’à ce que ma bite se balance juste devant ses yeux, mes couilles pendant juste au-dessus de ses lèvres. Elle n’a pas essayé de bouger sous moi, elle savait ce qu’elle avait à faire et elle n’a pas attendu ma commande pour commencer à me lécher doucement. Ses yeux me fixaient intensément alors que sa langue lapait la longueur de ma hampe, commençant d’abord par mes couilles, aspirant mes testicules dans ses lèvres douces alors qu’elle utilisait sa langue humide sur moi, puis se déplaçant lentement sur le dessous de ma hampe palpitante. Les yeux d’Emily se fermèrent un instant alors que je frappais ma bite sur son front, j’adorais la sensation de ma bite claquant sur le visage de la fille. Emily était toujours un peu choquée quand je le faisais, mais Monique semblait être aux anges, elle roucoulait presque de joie quand je lui frappais le visage avec ma bite. Je jure parfois que je pensais qu’elle aurait un orgasme rien qu’en sentant ma bite claquer sur sa peau. J’ai écrasé mon cul sur les lèvres d’Emily, forçant sa langue contre mes couilles alors que je gémissais de plaisir.
« C’est ça salope. »
J’ai attrapé l’arrière de sa tête, enroulant mes doigts dans ses cheveux doux, j’ai tiré sa tête vers le haut alors qu’elle poussait sa langue entre la fente de mon cul. Ma bite commençait à me faire mal et je savais que je devais bientôt baiser mon esclave, mais j’adorais la sensation de son souffle chaud sur ma peau.
« En position de chaleur, salope. »
Emily passa sa langue sur l’intérieur de mes cuisses alors que ses yeux me fixaient, ma bite se balançant à quelques centimètres de son visage. Je laissai Emily rouler sur son ventre alors que je m’agenouillais derrière elle. Je pouvais entendre Monique et Garage à bite bouger dans leur cage. Je savais que Monique devait être jalouse que je ne la baise pas, elle l’a toujours été, elle était une esclave si nécessiteuse. Emily écarta largement les genoux, poussant son cul en l’air et mettant ses paumes et sa joue à plat contre le matelas. J’ai giflé ma bite sur son cul en attrapant ses hanches, j’ai adoré la façon dont sa chatte se contractait et brillait de besoin.
« C’est ça esclave, tu es juste une petite salope dans le besoin aussi, n’est-ce pas. »
C’est vrai, c’était ma petite salope dans le besoin. J’ai claqué mes hanches vers l’avant, enfouissant ma bite dans la chatte serrée et palpitante d’Emily dans un mouvement brutal. J’ai adoré la sensation de mes couilles claquant contre son cul alors que je commençais à la pistonner fort et vite. Le son de son grognement avec la force de ma baise était une musique à mes oreilles, il y avait une partie de moi qui voulait la blesser avec ma bite, l’utiliser durement, lui faire savoir qu’elle était mon esclave, un objet pour me faire plaisir. LIRE LA SUITE
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