Une vie de femme soumise - 1

mercredi 6 janvier 2010
par  CClaudia
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16 votes

Mon mari adore que je le suce !

Et comme moi, j’adore mon mari, je vais au devant de son désir.

De toute façon je n’ai pas le choix : gare si j’oublie ! Gare si je n’ai pas compris le regard, le petit geste m’invitant à officier. Arrivée à la maison, mes cuisses s’en souviendront.

Nous nous sommes rencontrés à la fac, au début des années 80. Nous sommes rapidement sortis ensemble et je lui ai fait apprécié ma technique de fellation un soir au cinéma. Je me souviens de son regard quand je me suis penchée vers sa braguette. Dans le noir, j’ai sorti son sexe rapidement. Je voulais le sentir grossir encore entre mes lèvres. Il était chaud et doux. Je m’appliquais à titiller le gland avec le bout de ma langue et je fus surprise par sa main qui s’abattit à ce moment là sur ma nuque. Il me forçait à le prendre entièrement en bouche. Me tirant les cheveux en arrière, je remontais rapidement sa queue, reprenait ma respiration, et déjà, il me poussait à l’avaler de nouveau.

A cette occasion, je découvris plusieurs choses. Tout d’abord, la force de sa poigne ! Les larmes aux yeux je cherchais à me dégager de son emprise, mais sa main me ramener invariablement vers son sexe que j’embouchais. Également, je compris ce jour là ce qu’était un homme qui ne cherchait que sa jouissance. Sous son étreinte, je me sentais objet de plaisir. Il décidait du rythme de mes allées et venues. Il éjacula en me tenant fermement, m’obligeant à tout avaler. Enfin, la chose la plus étrange, je la découvris peu à peu dans l’heure qui suivit. Son bras autour de mes épaule, blottie contre lui, j’étais sensée regarder le film, mais je ne faisais que repasser dans ma tête la scène torride qui venait de se jouer entre nous. J’avais joui... Je devais me rendre à l’évidence, au moment où ses jets de sperme buttaient contre ma gorge, des milliards d’étoiles explosaient dans ma tête. Aucun amant ne m’avait prodigué une telle jouissance. J’avais joui sous ses manières de brute, ses méthodes sévères pour diriger nos ébats. Tel l’arroseur-arrosé, j’avais cru le surprendre par une fellation experte et m’étais retrouvée jouet dans ses mains habiles. Sur le trottoir, en sortant de la séance, j’aurais été incapable de vous donner le titre du film que nous venions de voir. Par contre, je n’avais jamais su aussi bien ce que j’allais faire : j’allais garder mon homme, le chérir et ne plus le quitter.

Un an plus tard, nous nous sommes mariés. Entre temps, j’avais découvert la fessée, la vraie, celle qui punit et qu’on redemande en même temps. Celle qui transporte vers des rivages chauds et ensoleillés. Celle qu’on craint aussi parce qu’elle signale une négligence, un oubli. Je due m’habituer à une nouvelle vie et ne pas craindre de le montrer. Au lit, je n’étais plus qu’une poupée gonflable qu’on manipulait. Tous mes orifices furent utilisés au plus grand bonheur de cet homme. Mais le plus difficile fut hors du lit, de la chambre, de la maison. Sans jamais être explicite, je devais toujours me tenir sous son contrôle. Invités dans la famille, chez des amis, il s’installait dans un fauteuil et je me mettais par terre à ses pieds. A moi de trouver une justification plausible... et la crainte de la fessée favorise l’imagination, je vous assure ! Vous voulez que je vous raconte la première fois chez ma sœur et son mari ? Pour le café, nous passons dans le salon. Il s’installe confortablement et je me place en face de lui, dans le canapé : quand même, chez ma sœur ! Il faut faire attention ! Me dis-je. Je l’entend claquer des doigts. Je le vois me toiser mais je ne bouge pas. La fin de la soirée fut alors horrible. Il discuta cordialement avec sa future belle-sœur et son futur beau-frère. Il se fit apprécier par son sens de l’humour, sa répartie, sa culture, tout en m’ignorant totalement. J’apparaissais ainsi bien terne à côté de lui, au point que ma sœur me coinça un instant dans la cuisine et me demanda pourquoi je faisais la gueule alors que j’avais la chance de connaître un type pareil.

Vers minuit, nous les quittâmes. Nous n’habitions pas encore ensemble à l’époque (les convenances !) et il devait me déposer chez moi, en ville, alors que ma sœur habitait un petit village à une quinzaine de km. Quand il quitta la route pour s’engager sur un chemin de terre, en pleine nuit, me revint à l’esprit qu’il connaissait bien cette région, depuis son enfance. Il arrêta la voiture quelques centaines de mètres plus loin. Paraphrasant un film qui était sorti quelques années plus tôt, il me dit :

« dans cette espace, nul ne t’entendra crier ». LIRE LA SUITE



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Commentaires

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mardi 26 janvier 2010 à 12h39 - par  alab

Très bien ! Continuez....

dimanche 10 janvier 2010 à 00h22

Magnifiquement écrit, j’oserais demander la suite des aventures de cette femme soumise !!